Les Annales du Disque-Monde Tome 7 Pyramides
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l’avis des lecteurs
Quand j’ai une overdose de réalité morose, j’ai une solution facile, reprendre l’intégrale du Disque Monde. Avec ce septième volume, Terry Pratchett fait son premier voyage dans un pays connu, mais revisité à sa sauce. Je vous laisse deviner où nous amène Pyramides.
Teppic est enfin arrivé au jour le plus important de son cursus universitaire : Celui de l’examen final pour boucler sa formation à la Guilde des Assassins. Un examen sans repêchage, à élimination directe en quelque sorte.
Après, s’il y a un après, il ne sait pas trop ce qu’il fera. Il faut dire qu’il est le fils de Teppicymon XXVII, Dieu et Pharaon (ou l’inverse) de la Vallée. Et le jour où Teppicymon mourra, quand il sera inhumé dans une nouvelle pyramide dans la Nécropole, ce sera à Teppic de lui succéder. S’il passe son examen. Il se trouvera alors responsable du lever de soleil, de la crue du fleuve, de tout un peuple qui n’a pas évolué d’un poil depuis plus de 7000 ans. Pas l’avenir idéal pour un grand ado qui a pour l’instant un seul souci en tête. Comment survivre aux pièges préparés par Méricet, une légende de la Guilde, le prof le plus vache et le plus mortel de la formation.
Ce n’est pas le meilleur de la série, ni le meilleur des voyages. C’est surtout l’intrigue qui est parfois inutilement complexe, même si l’idée de départ, outre la visite de l’Egypte, que les pyramides ancrent tellement le pays dans le passé qu’elles piègent même le temps est bonne.
Mais on prend quand même un immense plaisir à retrouver l’humour typique du Disque-Monde, et des pépites comme
« Le jeudi, une guerre éclata entre ceux qui vénéraient la Déesse Mère sous son aspect lunaire et ceux qui la vénéraient sous la forme d’une grosse femme aux fesses monstrueuses. Après quoi les maîtres intervinrent pour expliquer que la religion, si elle avait du bon, menait parfois à des excès. »
ou
« Dios, premier ministre et grand prêtre parmi les grands prêtres, n’était pas religieux de nature. Ce n’était pas une qualité souhaitable chez un grand prêtre, elle troublait le jugement, dérangeait l’esprit. Qu’il se mette à croire, et toute l’affaire tournait à la farce. »
Comme toujours, Terry Pratchett se moque gentiment de tout le monde, aime ses personnages, met en scène architectes fous et financiers pénibles, sans compter le grand prêtre / vizir abominable, et on passe un excellent moment hors du temps et du confinement.
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