Nous sommes tous morts
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Nous sommes tous morts est le journal de bord de Nathaniel Nordnight, jeune second du baleinier Providence. Le voyage tourne au cauchemar lorsque le bateau est pris dans les glaces. Entre un récit d’aventure à la Stevenson et un roman d’épouvante lovecraftien.
Quelle révélation! Salomon de Izarra nous offre à travers son roman un petit bijou d’horreur, de fascination morbide, de frissons. Le titre donne déjà le ton. « Nous sommes tous morts » sont les premières paroles prononcées par le narrateur Nathaniel. Ce dernier s’est embarqué sur un baleinier « La Providence ». Alors que tout se déroule pour le mieux, l’équipage essuie une violente tempête. Le lendemain, au réveil, les marins se rendent compte que leur bateau est emprisonné par une mer de glace. Impossible de s’en extraire!
Comment cela est-il possible d’ailleurs? Le capitaine assure que le bateau n’a pu dériver en aussi peu de temps aussi loin vers le pôle nord. Alors chacun fait des hypothèses. Et puis, il y a cette brume à perte de vue qui ne laisse deviner que des contours, et ces marins retrouvés le matin en état catatonique, pupilles grandes ouvertes comme gorgées d’horreur. Qu’ont-ils vu? Où se trouvent-ils désormais? Dans les limbes, au purgatoire ou en enfer comme le laisse sous-entendre le pieux capitaine? Et que dire de cette glace qui semble vivante et qui grignote peu à peu le bateau?
Salomon de Izarra sème le doute chez ses personnages et chez le lecteur. Ce qui devait être une formidable expédition pleine d’aventures devient un huis-clos, angoissant, tétanisant où chaque homme devient peu à peu fou. Nathaniel et ses camarades vont devoir se sacrifier et renoncer à leur humanité jusqu’au dernier tabou…
L’auteur embarque son lecteur dans une aventure peuplée de fantômes, de ténèbres, d’angoisse. On frissonne, on se pose des questions, on se demande si les marins vivent cette réalité décalée ou la rêvent. Bref, on navigue en plein dans le fantastique. La tension monte petit à petit jusqu’à l’explosion, la révélation finale.
L’auteur a su créer une ambiance vaporeuse, faite de brume et de glace qui permet de ressentir le froid, la peur. Il joue avec les nerfs du lecteur et ceux de Nathaniel, son narrateur. Sa maîtrise du genre vaut vraiment le coup d’œil et ne laissera pas insensible quiconque osera franchir cette mer de glace…
Nous sommes tous morts est le journal de bord de Nathaniel Nordnight, jeune second du baleinier Providence. Le voyage tourne au cauchemar lorsque le bateau est pris dans les glaces. Entre un récit d’aventure à la Stevenson et un roman d’épouvante lovecraftien.
Quelle révélation! Salomon de Izarra nous offre à travers son roman un petit bijou d’horreur, de fascination morbide, de frissons. Le titre donne déjà le ton. « Nous sommes tous morts » sont les premières paroles prononcées par le narrateur Nathaniel. Ce dernier s’est embarqué sur un baleinier « La Providence ». Alors que tout se déroule pour le mieux, l’équipage essuie une violente tempête. Le lendemain, au réveil, les marins se rendent compte que leur bateau est emprisonné par une mer de glace. Impossible de s’en extraire!
Comment cela est-il possible d’ailleurs? Le capitaine assure que le bateau n’a pu dériver en aussi peu de temps aussi loin vers le pôle nord. Alors chacun fait des hypothèses. Et puis, il y a cette brume à perte de vue qui ne laisse deviner que des contours, et ces marins retrouvés le matin en état catatonique, pupilles grandes ouvertes comme gorgées d’horreur. Qu’ont-ils vu? Où se trouvent-ils désormais? Dans les limbes, au purgatoire ou en enfer comme le laisse sous-entendre le pieux capitaine? Et que dire de cette glace qui semble vivante et qui grignote peu à peu le bateau?
Salomon de Izarra sème le doute chez ses personnages et chez le lecteur. Ce qui devait être une formidable expédition pleine d’aventures devient un huis-clos, angoissant, tétanisant où chaque homme devient peu à peu fou. Nathaniel et ses camarades vont devoir se sacrifier et renoncer à leur humanité jusqu’au dernier tabou…
L’auteur embarque son lecteur dans une aventure peuplée de fantômes, de ténèbres, d’angoisse. On frissonne, on se pose des questions, on se demande si les marins vivent cette réalité décalée ou la rêvent. Bref, on navigue en plein dans le fantastique. La tension monte petit à petit jusqu’à l’explosion, la révélation finale.
L’auteur a su créer une ambiance vaporeuse, faite de brume et de glace qui permet de ressentir le froid, la peur. Il joue avec les nerfs du lecteur et ceux de Nathaniel, son narrateur. Sa maîtrise du genre vaut vraiment le coup d’œil et ne laissera pas insensible quiconque osera franchir cette mer de glace…
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