
Le Sang des 7 Rois Tome 7 Le Sang des 7 Rois, tome 7
livré en 4 jours
l’avis des lecteurs
Un tome très percutant qui termine la série en beauté !
Nous voila donc à la fin de cette longue saga. Les derniers survivants doivent de tout coté faire fasse aux envahisseurs. Jahrod fait tout pour essayer de sauver le monde mais il est seul contre tout une armée et une science qui a bien changé depuis qu’il a été bloqué sur cette planète.
Orville et les autres errent encore mais vont devoir se regrouper pour survivre quand viendra le temps de l’ultime confrontation !
Que dire de plus une fois qu’on en arrive si loin dans la série. Ce tome est parfaitement dans la continuité des précédents. Ce cycle est parfaitement ambitieux et grandiose. L’auteur a vraiment su modifier l’intrigue de départ petit à petit pour y inclure les éléments de science-fiction qu’on n’attendait pas du tout mais qui se révèlent être bien intégré.
L’humour est toujours présent, par petites touches. Et ça fait du bien d’alléger un peu l’ambiance car ici on est vraiment au cœur de l’apocalypse de ce monde dont les humains restants se voient systématiquement éliminés pour alimenter la recycleuse qui fabrique des clones guerriers avec du matériel humain.
Du coup l’ambiance général est très sombre. Les morts s’accumulent par milliers/millions, et parmi eux pas mal de personnages qu’on connaissait et qu’on suivait depuis longtemps. On peut dire que l’auteur n’épargne pas ses personnages.
On continue a avoir plein de points de vue différents. La ou on pouvait penser à certains moments dans les tomes précédents que leur vie était difficile, en fait ce n’était limite qu’une répétition en comparaison de ce qu’il se passe maintenant. La vie anéantie, le simple calcul froid et sans émotion, les humains restants, comme ses propres alliés ne sont que des atomes utilisables et ré-utilisables au besoin par Maddox l’envahisseur pour atteindre son but.
Certes on peut dire qu’il est un peu unidirectionnel ce Maddox mais ça ne m’a pas tant gêné que ça vu qu’il a tout de même passé 600 ans à voyager pour arriver ici. Il a dépassé la folie en quelque sorte, il n’est plus vraiment humain. Il n’a pas eu d’autres contacts humain depuis tout ce temps vu que les personnes à bord de son vaisseau ne sont la que pour le coté utilitaire et donc sont recyclés à l’infini rendant impossible tout contact prolongé. Du coup rien d’autre n’a d’importance à se yeux après un temps si long à attendre dans un seul but.
Il ne lâchera rien, tel un chien sur son os, le rongeant dans ses moindres recoins jusqu’à ce qu’il n’en reste rien.
Le final en lui même m’a bien plus, il est finalement à l’image du reste. Les personnages continuent à se questionner et à évoluer tout au long du livre. J’ai bien aimé qu’ils soient finalement si humains. On sent chez tous ce besoin individuel qui reste présent malgré leur implication dans cette guerre plus grande qu’eux.
Que ça soit Orville, Rose ou les autres, aucun n’est resté dans son état initial, même Jahrod qui pourtant est vieux comme le monde trouve son évolution. La fin elle même est une évolution et un challenge pour les personnages qui doivent tout reconstruire en évitant de reproduire les erreurs du passé.
Dans l’ensemble cette saga a été une excellente lecture. Certes elle n’est pas sans longueurs et le virage du milieu ne plaira pas à tout le monde. Mais malgré tout ce final apocalyptique était vraiment épique et a su me convaincre.
Depuis quelques semaines, le dernier tome de la grande saga de fantasy de Régis Goddyn est disponible en poche dans toutes les librairies. Une excellente nouvelle pour les lecteurs de seconde main qui, comme moi, attendait cette sortie avec impatience pour enfin connaître le fin mot de cette histoire.
Lu dans le cadre d'un partenariat avec les éditions L'Atalante, je remercie Emma pour l'envoi de ce service de presse.
Dans ce septième tome, on retrouve tous les personnages de Régis Goddyn en fâcheuse posture, chacun placé face à son propre combat à mener. Ainsi, Aldemond est retourné auprès d'Armine et de ses deux filles afin de défendre le Goulet au péril de sa vie. Rosa a également débarqué sur l'île avec Delwynn, le temps qu'Orville s’acquitte d'une mission importante, à savoir rapporter quelques précieux objets du trésor de Lucius Never qui pourraient servir à l'ultime bataille. De son côté, Fanette, lassée de l'indifférence de Jahrod, a repris la route et espère bien porter secours aux réfugiés qui s'acheminent vers la forteresse de Hauterre. Chemin faisant, elle recroise, d'ailleurs, Rouault et l'aide à se mettre à l'abris. Quant à Jahrod, il apporte les dernières touches à son plan car il sait que la confrontation avec son pire ennemi, Maddox est imminente. Mais réussira-t-il à sauver les dernières vies qui subsistent à la surface de cette planète face à l'aveuglement et la folie d'un homme ?
Avec ce septième tome, Régis Goddyn achève son cycle en apothéose car il nous y narre la fameuse confrontation à laquelle on s'attendait, au vu des enjeux dévoilés au fur et à mesure des livres. En outre, ce dernier volet nous fait prendre la pleine mesure de cet univers mêlant fantasy, science-fiction et apocalypse. En le lisant, on prend conscience que l'auteur nous a bien baladé depuis le début. En effet, alors qu'à la lecture du premier tome, on était campés sur nos certitudes de lire une saga de fantasy pure, les éléments anachroniques au genre, disséminés ici ou là par l'auteur nous a vite détrompés. Tout cela pour en arriver à ce tome final qui nous révèle finalement une toute autre histoire, et nous propose un univers qui a bien évolué.
En fait, Régis Goddyn nous emmène sur une planète où le pilote Jahrod a trouvé refuge depuis des siècles pour échapper au redoutable Maddox, qui souhaite s'emparer de la technologie mise au point par celui-ci afin de dominer le cosmos. Or, il s'avère que cette terre où Jahrod a élu domicile est ancrée au Moyen-Âge. Cela laisse le loisir à l'auteur de nous proposer un récit médiéval où la technologie a soigné ses entrées. Voilà de quoi teinter cet univers d'une certaine singularité qui n'est pas sans rappeler d'autres cycles de fantasy comme Les Dieux Sauvages de Lionel Davoust, même si le métissage des genres est abordé de manière différente. De plus, la magie qui imprègne ses lignes trouve ses origines dans cette puissante technologie ramenée par ces envahisseurs, même si les mages ont presque tous oubliés leur passé. Ensuite, il est à noter l'existence d'un peuple dont on ne sait que peu de choses si ce n'est qu'il dispose de certains pouvoirs (la lévitation) et d'une immortalité : les draks. Néanmoins, leur présence donne bien à ce texte toute sa dimension onirique.
En outre, dans ce dernier volet, Régis Goddyn colore son récit de quelques notes d'apocalypse. En effet, la menace de ce Maddox marque la fin d'un monde. En envoyant ses légions capables de se régénérer à l'infini et en bombardant cette terre à tout-va, il ne laisse que peu de chance à l'humanité en place de survivre. C'est donc un roman marqué par des batailles qui ne cherchent qu'à faire place nette et donne à ce final une sensation de fin du monde.
En lisant ce tome 7, on apprend également tout ce qu'il y a à savoir sur chacun de ses personnages. Ainsi, on cerne mieux ceux qui demeuraient encore mystérieux et surtout on connait maintenant le sort que l'auteur leur a réservé.
En passant rapidement de l'un à l'autre, Régis Goddyn a su garder, tout au long de ces sept romans, un bon rythme d'écriture.
Clairement avec cette saga du Sang des 7 Rois, l'auteur signe un premier cycle ambitieux et réussi qui propose un récit à la croisée des genres très novateur.
Ainsi, en floutant les frontières, il démontre que l'Imaginaire français sait se renouveler avec talent.
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