Mille femmes blanches
  • Date de parution 02/05/2013
  • Nombre de pages 400
  • Poids de l’article 500 gr
  • ISBN-13 9782749121079
  • Editeur CHERCHE MIDI
  • Format 240 x 156 mm
  • Edition Grand format
Anglo-Saxon Romans étrangers

Mille femmes blanches Tome 1 Mille femmes blanches

4.13 / 5 (4780 notes des lecteurs Babelio)

Résumé éditeur

En 1874, à Washington, le président Grant accepte la proposition incroyable du chef indien Little Wolf : troquer mille femmes blanches contre chevaux et bisons pour favoriser l’intégration du peuple indien. Si quelques femmes se portent volontaires, la plupart viennent en réalité des pénitenciers et des asiles… L’une d’elles, May Dodd, apprend sa nouvelle vie de squaw et les rites des Indiens. Mariée à un puissant guerrier, elle découvre les combats violents entre tribus et les ravages provoqués par l’alcool. Aux côtés de femmes de toutes origines, elle assiste à l’agonie de son peuple d’adoption…

En stock

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  • Date de parution 02/05/2013
  • Nombre de pages 400
  • Poids de l’article 500 gr
  • ISBN-13 9782749121079
  • Editeur CHERCHE MIDI
  • Format 240 x 156 mm
  • Edition Grand format

l’avis des lecteurs

En 1874, à Washington, le président américain Grant accepte dans le plus grand secret la proposition incroyable du chef indien Little Wolf: troquer mille femmes blanches contre chevaux et bisons pour favoriser l’intégration du périple indien. Si quelques femmes se portent volontaires, la plupart des « Mille femmes » viennent en réalité des pénitenciers et des asiles de tous les États-Unis d’Amérique… Parvenue dans les contrées reculées du Nebraska, l’une d’entre elles, May Dodd, apprend alors sa nouvelle vie de squaw et les rites inconnus des Indiens. Mariée à un puissant guerrier, elle découvre les combats violents entre tribus et les ravages provoqués par l’alcool. Aux côtés de femmes de toutes origines, May Dodd assiste alors à la lente agonie de soi, peuple d’adoption…

 

J’ai beaucoup aimé ce roman magnifique basé sur des faits historiques réels. En effet, cette histoire s’est réellement déroulée ainsi et Jim Fergus en donne sa version dans ce roman.

Tout commence avec May Dodd, l’héroïne. Elle est internée dans un asile. Sa famille riche et puissante ne supporte pas qu’elle ait pu s’unir à un homme d’une condition inférieure à la sienne. May Dodd voit en la proposition de l’État, l’unique moyen pour se sortir de son calvaire.

Autant dite tout de suite que j’ai adoré cette héroïne fière et indépendante jusqu’au bout. Elle incarne la femme moderne qui vit selon ce que lui dicte son cœur et non la société.

C’est grâce à son journal de bord que nous suivons la folle aventure dans laquelle toute ces femmes se sont lancées. May Dodd s’entoure bientôt de tout une galerie de personnages, des femmes venant d’origines et d’horizons très différents. J’ai adoré ce côté: toutes ces femmes sont si différentes mais apportent tellement à l’intrigue!

Les femmes blanches découvrent la vie nomade à l’indienne. C’est une vraie plongée dans l’inconnu à la fois pour elle et pour le lecteur. J’ai beaucoup aimé apprendre sur la vie des cheyennes: les rites, les coutumes, la vie quotidienne jusqu’aux accouchements pratiqués dans une tente dédiée. Chaque blanche reçoit également un nom indien en rapport avec son caractère!

Sans aucun doute, j’ai voyagé à travers ce roman qui revient sur une triste page des États-Unis: l’éradication des Indiens. Comme May Dodd, on ne peut qu’être révolté à cette idée. Les idées de l’homme blanc ne sont pas toujours bonnes et l’alcool y est pour beaucoup.

Seul bémol au roman qui vient peut-être de la traduction: certains dialogues m’ont parue un peu « bateau », trop conventionnels à grand renfort de grands sentiments. C’est l’unique reproche que je ferai à ce roman des grands espaces et de la liberté.

En 1874, à Washington, le président américain Grant accepte dans le plus grand secret la proposition incroyable du chef indien Little Wolf: troquer mille femmes blanches contre chevaux et bisons pour favoriser l’intégration du périple indien. Si quelques femmes se portent volontaires, la plupart des « Mille femmes » viennent en réalité des pénitenciers et des asiles de tous les États-Unis d’Amérique… Parvenue dans les contrées reculées du Nebraska, l’une d’entre elles, May Dodd, apprend alors sa nouvelle vie de squaw et les rites inconnus des Indiens. Mariée à un puissant guerrier, elle découvre les combats violents entre tribus et les ravages provoqués par l’alcool. Aux côtés de femmes de toutes origines, May Dodd assiste alors à la lente agonie de soi, peuple d’adoption…

 

J’ai beaucoup aimé ce roman magnifique basé sur des faits historiques réels. En effet, cette histoire s’est réellement déroulée ainsi et Jim Fergus en donne sa version dans ce roman.

Tout commence avec May Dodd, l’héroïne. Elle est internée dans un asile. Sa famille riche et puissante ne supporte pas qu’elle ait pu s’unir à un homme d’une condition inférieure à la sienne. May Dodd voit en la proposition de l’État, l’unique moyen pour se sortir de son calvaire.

Autant dite tout de suite que j’ai adoré cette héroïne fière et indépendante jusqu’au bout. Elle incarne la femme moderne qui vit selon ce que lui dicte son cœur et non la société.

C’est grâce à son journal de bord que nous suivons la folle aventure dans laquelle toute ces femmes se sont lancées. May Dodd s’entoure bientôt de tout une galerie de personnages, des femmes venant d’origines et d’horizons très différents. J’ai adoré ce côté: toutes ces femmes sont si différentes mais apportent tellement à l’intrigue!

Les femmes blanches découvrent la vie nomade à l’indienne. C’est une vraie plongée dans l’inconnu à la fois pour elle et pour le lecteur. J’ai beaucoup aimé apprendre sur la vie des cheyennes: les rites, les coutumes, la vie quotidienne jusqu’aux accouchements pratiqués dans une tente dédiée. Chaque blanche reçoit également un nom indien en rapport avec son caractère!

Sans aucun doute, j’ai voyagé à travers ce roman qui revient sur une triste page des États-Unis: l’éradication des Indiens. Comme May Dodd, on ne peut qu’être révolté à cette idée. Les idées de l’homme blanc ne sont pas toujours bonnes et l’alcool y est pour beaucoup.

Seul bémol au roman qui vient peut-être de la traduction: certains dialogues m’ont parue un peu « bateau », trop conventionnels à grand renfort de grands sentiments. C’est l’unique reproche que je ferai à ce roman des grands espaces et de la liberté.

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