Le soldat désaccordé
  • Date de parution 03/01/2024
  • Nombre de pages 224
  • Poids de l’article 144 gr
  • ISBN-13 9782253243380
  • Editeur LGF
  • Format 179 x 110 mm
  • Edition Livre de poche
Réédition moins d'1 an

Le soldat désaccordé

4.27 / 5 (1682 notes des lecteurs Babelio)

Résumé éditeur

Paris, années 20, un ancien combattant est chargé de retrouver un soldat disparu en 1917. Arpentant les champs de bataille, interrogeant témoins et soldats, il va découvrir, au milieu de mille histoires plus incroyables les unes que les autres, la folle histoire d'amour que le jeune homme a vécue au milieu de l'Enfer. Alors que l'enquête progresse, la France se rapproche d'une nouvelle guerre et notre héros se jette à corps perdu dans cette mission désespérée, devenue sa seule source d'espoir dans un monde qui s'effondre.

livré en 5 jours

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  • Date de parution 03/01/2024
  • Nombre de pages 224
  • Poids de l’article 144 gr
  • ISBN-13 9782253243380
  • Editeur LGF
  • Format 179 x 110 mm
  • Edition Livre de poche

l’avis des lecteurs

L’ombre du champ de bataille

Gilles Marchand nous revient avec un roman historique qui retrace l’enquête menée pour retrouver un soldat disparu dans la Grande Guerre. Ce faisant, il poursuit son exploration des cabossés de la vie avec toujours la même humanité.

Au sortir de la Grande Guerre et de ses millions de morts, on a de la peine à imaginer la grande pagaille qui a suivi. Les soldats qui mettent des semaines à rentrer, les traumatisés et les amnésiques, les invalides et ceux qui ont perdu l’esprit. Le narrateur est chargé d’enquêter sur ces hommes dont on a perdu la trace, dont on ignore le destin. Tâche complexe et le plus souvent vouée à l’échec. C’est du reste ce qu’il signifie à Jeanne Joplain qui ne se résout pas à accepter la mort de son fils. Après des années à espérer, elle va mettre ses derniers espoirs en lui. Même si nous sommes déjà en 1925, elle est persuadée que son fils est vivant.

Commence alors un long travail de recherche, une enquête qui va mener le narrateur des bureaux de l’armée aux lieux qui ont vu un déluge de feu transformer le paysage et les hommes, en passant par l’Alsace et l’Allemagne. Une quête riche de témoignages, mais aussi de non-dits et de secrets, mais que Gilles Marchand transforme en épopée. Son homme est en effet un poète amoureux. Avec Lucie, il s’est juré de construire un monde au sein duquel leur passion pourra s’épanouir. Et la jeune fille, rencontrée du côté de Molsheim, ne voudra pas attendre la fin du conflit pour le retrouver. La légende de la jeune fille qui erre dans le no man’s land, entre les armées françaises et allemandes, et qui réconforte les blessés, n’est peut-être pas un délire de soldats traumatisés.

Gilles Marchand nous offre un cinquième roman qui, s’il est parfaitement documenté, n’en laisse pas moins la place à la poésie et à cette humanité qui a fait sa marque de fabrique depuis Une bouche sans personne. Des gens ordinaires jetés dans la Grande Histoire et qui tentent de croire que la vie l’emportera. Ou quand un air d’accordéon prend bien plus d’importance que des semaines à parcourir les champs de bataille, quand une lettre d’amour inachevée en dit bien davantage que des livres d’histoire, quand une nuit dans un train de marchandises aux côtés de deux infirmières allemandes est une grande leçon de diplomatie.

Loin de tout angélisme ou manichéisme – j’ai beaucoup entendu dans mon enfance ces récits de famille d’Alsace-Moselle qui se sont trouvées suivant les aléas géopolitiques d’un côté des belligérants puis de l’autre – le romancier raconte à partir de choses vues, de mille histoires glanées durant cette enquête combien la guerre est une connerie. Mais à peine aura-t-il bouclé la boucle que déjà le nazisme pointe le bout du nez. La der des ders ne l’aura été que dans l’esprit d’hommes de bonne volonté. Et les soldats désaccordés continuent à battre la campagne du côté de l’Ukraine.

L’ombre du champ de bataille

Gilles Marchand nous revient avec un roman historique qui retrace l’enquête menée pour retrouver un soldat disparu dans la Grande Guerre. Ce faisant, il poursuit son exploration des cabossés de la vie avec toujours la même humanité.

Au sortir de la Grande Guerre et de ses millions de morts, on a de la peine à imaginer la grande pagaille qui a suivi. Les soldats qui mettent des semaines à rentrer, les traumatisés et les amnésiques, les invalides et ceux qui ont perdu l’esprit. Le narrateur est chargé d’enquêter sur ces hommes dont on a perdu la trace, dont on ignore le destin. Tâche complexe et le plus souvent vouée à l’échec. C’est du reste ce qu’il signifie à Jeanne Joplain qui ne se résout pas à accepter la mort de son fils. Après des années à espérer, elle va mettre ses derniers espoirs en lui. Même si nous sommes déjà en 1925, elle est persuadée que son fils est vivant.

Commence alors un long travail de recherche, une enquête qui va mener le narrateur des bureaux de l’armée aux lieux qui ont vu un déluge de feu transformer le paysage et les hommes, en passant par l’Alsace et l’Allemagne. Une quête riche de témoignages, mais aussi de non-dits et de secrets, mais que Gilles Marchand transforme en épopée. Son homme est en effet un poète amoureux. Avec Lucie, il s’est juré de construire un monde au sein duquel leur passion pourra s’épanouir. Et la jeune fille, rencontrée du côté de Molsheim, ne voudra pas attendre la fin du conflit pour le retrouver. La légende de la jeune fille qui erre dans le no man’s land, entre les armées françaises et allemandes, et qui réconforte les blessés, n’est peut-être pas un délire de soldats traumatisés.

Gilles Marchand nous offre un cinquième roman qui, s’il est parfaitement documenté, n’en laisse pas moins la place à la poésie et à cette humanité qui a fait sa marque de fabrique depuis Une bouche sans personne. Des gens ordinaires jetés dans la Grande Histoire et qui tentent de croire que la vie l’emportera. Ou quand un air d’accordéon prend bien plus d’importance que des semaines à parcourir les champs de bataille, quand une lettre d’amour inachevée en dit bien davantage que des livres d’histoire, quand une nuit dans un train de marchandises aux côtés de deux infirmières allemandes est une grande leçon de diplomatie.

Loin de tout angélisme ou manichéisme – j’ai beaucoup entendu dans mon enfance ces récits de famille d’Alsace-Moselle qui se sont trouvées suivant les aléas géopolitiques d’un côté des belligérants puis de l’autre – le romancier raconte à partir de choses vues, de mille histoires glanées durant cette enquête combien la guerre est une connerie. Mais à peine aura-t-il bouclé la boucle que déjà le nazisme pointe le bout du nez. La der des ders ne l’aura été que dans l’esprit d’hommes de bonne volonté. Et les soldats désaccordés continuent à battre la campagne du côté de l’Ukraine.

L’ombre du champ de bataille

Gilles Marchand nous revient avec un roman historique qui retrace l’enquête menée pour retrouver un soldat disparu dans la Grande Guerre. Ce faisant, il poursuit son exploration des cabossés de la vie avec toujours la même humanité.

Au sortir de la Grande Guerre et de ses millions de morts, on a de la peine à imaginer la grande pagaille qui a suivi. Les soldats qui mettent des semaines à rentrer, les traumatisés et les amnésiques, les invalides et ceux qui ont perdu l’esprit. Le narrateur est chargé d’enquêter sur ces hommes dont on a perdu la trace, dont on ignore le destin. Tâche complexe et le plus souvent vouée à l’échec. C’est du reste ce qu’il signifie à Jeanne Joplain qui ne se résout pas à accepter la mort de son fils. Après des années à espérer, elle va mettre ses derniers espoirs en lui. Même si nous sommes déjà en 1925, elle est persuadée que son fils est vivant.

Commence alors un long travail de recherche, une enquête qui va mener le narrateur des bureaux de l’armée aux lieux qui ont vu un déluge de feu transformer le paysage et les hommes, en passant par l’Alsace et l’Allemagne. Une quête riche de témoignages, mais aussi de non-dits et de secrets, mais que Gilles Marchand transforme en épopée. Son homme est en effet un poète amoureux. Avec Lucie, il s’est juré de construire un monde au sein duquel leur passion pourra s’épanouir. Et la jeune fille, rencontrée du côté de Molsheim, ne voudra pas attendre la fin du conflit pour le retrouver. La légende de la jeune fille qui erre dans le no man’s land, entre les armées françaises et allemandes, et qui réconforte les blessés, n’est peut-être pas un délire de soldats traumatisés.

Gilles Marchand nous offre un cinquième roman qui, s’il est parfaitement documenté, n’en laisse pas moins la place à la poésie et à cette humanité qui a fait sa marque de fabrique depuis Une bouche sans personne. Des gens ordinaires jetés dans la Grande Histoire et qui tentent de croire que la vie l’emportera. Ou quand un air d’accordéon prend bien plus d’importance que des semaines à parcourir les champs de bataille, quand une lettre d’amour inachevée en dit bien davantage que des livres d’histoire, quand une nuit dans un train de marchandises aux côtés de deux infirmières allemandes est une grande leçon de diplomatie.

Loin de tout angélisme ou manichéisme – j’ai beaucoup entendu dans mon enfance ces récits de famille d’Alsace-Moselle qui se sont trouvées suivant les aléas géopolitiques d’un côté des belligérants puis de l’autre – le romancier raconte à partir de choses vues, de mille histoires glanées durant cette enquête combien la guerre est une connerie. Mais à peine aura-t-il bouclé la boucle que déjà le nazisme pointe le bout du nez. La der des ders ne l’aura été que dans l’esprit d’hommes de bonne volonté. Et les soldats désaccordés continuent à battre la campagne du côté de l’Ukraine.

L’ombre du champ de bataille

Gilles Marchand nous revient avec un roman historique qui retrace l’enquête menée pour retrouver un soldat disparu dans la Grande Guerre. Ce faisant, il poursuit son exploration des cabossés de la vie avec toujours la même humanité.

Au sortir de la Grande Guerre et de ses millions de morts, on a de la peine à imaginer la grande pagaille qui a suivi. Les soldats qui mettent des semaines à rentrer, les traumatisés et les amnésiques, les invalides et ceux qui ont perdu l’esprit. Le narrateur est chargé d’enquêter sur ces hommes dont on a perdu la trace, dont on ignore le destin. Tâche complexe et le plus souvent vouée à l’échec. C’est du reste ce qu’il signifie à Jeanne Joplain qui ne se résout pas à accepter la mort de son fils. Après des années à espérer, elle va mettre ses derniers espoirs en lui. Même si nous sommes déjà en 1925, elle est persuadée que son fils est vivant.

Commence alors un long travail de recherche, une enquête qui va mener le narrateur des bureaux de l’armée aux lieux qui ont vu un déluge de feu transformer le paysage et les hommes, en passant par l’Alsace et l’Allemagne. Une quête riche de témoignages, mais aussi de non-dits et de secrets, mais que Gilles Marchand transforme en épopée. Son homme est en effet un poète amoureux. Avec Lucie, il s’est juré de construire un monde au sein duquel leur passion pourra s’épanouir. Et la jeune fille, rencontrée du côté de Molsheim, ne voudra pas attendre la fin du conflit pour le retrouver. La légende de la jeune fille qui erre dans le no man’s land, entre les armées françaises et allemandes, et qui réconforte les blessés, n’est peut-être pas un délire de soldats traumatisés.

Gilles Marchand nous offre un cinquième roman qui, s’il est parfaitement documenté, n’en laisse pas moins la place à la poésie et à cette humanité qui a fait sa marque de fabrique depuis Une bouche sans personne. Des gens ordinaires jetés dans la Grande Histoire et qui tentent de croire que la vie l’emportera. Ou quand un air d’accordéon prend bien plus d’importance que des semaines à parcourir les champs de bataille, quand une lettre d’amour inachevée en dit bien davantage que des livres d’histoire, quand une nuit dans un train de marchandises aux côtés de deux infirmières allemandes est une grande leçon de diplomatie.

Loin de tout angélisme ou manichéisme – j’ai beaucoup entendu dans mon enfance ces récits de famille d’Alsace-Moselle qui se sont trouvées suivant les aléas géopolitiques d’un côté des belligérants puis de l’autre – le romancier raconte à partir de choses vues, de mille histoires glanées durant cette enquête combien la guerre est une connerie. Mais à peine aura-t-il bouclé la boucle que déjà le nazisme pointe le bout du nez. La der des ders ne l’aura été que dans l’esprit d’hommes de bonne volonté. Et les soldats désaccordés continuent à battre la campagne du côté de l’Ukraine.

L’ombre du champ de bataille

Gilles Marchand nous revient avec un roman historique qui retrace l’enquête menée pour retrouver un soldat disparu dans la Grande Guerre. Ce faisant, il poursuit son exploration des cabossés de la vie avec toujours la même humanité.

Au sortir de la Grande Guerre et de ses millions de morts, on a de la peine à imaginer la grande pagaille qui a suivi. Les soldats qui mettent des semaines à rentrer, les traumatisés et les amnésiques, les invalides et ceux qui ont perdu l’esprit. Le narrateur est chargé d’enquêter sur ces hommes dont on a perdu la trace, dont on ignore le destin. Tâche complexe et le plus souvent vouée à l’échec. C’est du reste ce qu’il signifie à Jeanne Joplain qui ne se résout pas à accepter la mort de son fils. Après des années à espérer, elle va mettre ses derniers espoirs en lui. Même si nous sommes déjà en 1925, elle est persuadée que son fils est vivant.

Commence alors un long travail de recherche, une enquête qui va mener le narrateur des bureaux de l’armée aux lieux qui ont vu un déluge de feu transformer le paysage et les hommes, en passant par l’Alsace et l’Allemagne. Une quête riche de témoignages, mais aussi de non-dits et de secrets, mais que Gilles Marchand transforme en épopée. Son homme est en effet un poète amoureux. Avec Lucie, il s’est juré de construire un monde au sein duquel leur passion pourra s’épanouir. Et la jeune fille, rencontrée du côté de Molsheim, ne voudra pas attendre la fin du conflit pour le retrouver. La légende de la jeune fille qui erre dans le no man’s land, entre les armées françaises et allemandes, et qui réconforte les blessés, n’est peut-être pas un délire de soldats traumatisés.

Gilles Marchand nous offre un cinquième roman qui, s’il est parfaitement documenté, n’en laisse pas moins la place à la poésie et à cette humanité qui a fait sa marque de fabrique depuis Une bouche sans personne. Des gens ordinaires jetés dans la Grande Histoire et qui tentent de croire que la vie l’emportera. Ou quand un air d’accordéon prend bien plus d’importance que des semaines à parcourir les champs de bataille, quand une lettre d’amour inachevée en dit bien davantage que des livres d’histoire, quand une nuit dans un train de marchandises aux côtés de deux infirmières allemandes est une grande leçon de diplomatie.

Loin de tout angélisme ou manichéisme – j’ai beaucoup entendu dans mon enfance ces récits de famille d’Alsace-Moselle qui se sont trouvées suivant les aléas géopolitiques d’un côté des belligérants puis de l’autre – le romancier raconte à partir de choses vues, de mille histoires glanées durant cette enquête combien la guerre est une connerie. Mais à peine aura-t-il bouclé la boucle que déjà le nazisme pointe le bout du nez. La der des ders ne l’aura été que dans l’esprit d’hommes de bonne volonté. Et les soldats désaccordés continuent à battre la campagne du côté de l’Ukraine.

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