Esclave de la liberté

Près de deux siècles séparent une esclave africaine travaillant à Cuba dans les champs de canne à sucre et une jeune Madrilène, cadre dans une grande banque. Une même soif de justice et de liberté les anime. Une fresque éblouissante, par l'auteur espagnol de La Cathédrale de la mer (2008), best-seller international traduit dans 40 pays. Deux femmes, deux époques, un même combat.Une fresque magistrale par l'auteur de La Cathédrale de la mer. Cuba, 1856. Un bateau où sept cents femmes et fillettes ont été entassées accoste sur l'île. Enlevées dans leurs villages d'Afrique, elles vont désormais travailler jusqu'à épuisement dans les champs de canne à sucre et donner naissance à des enfants qui deviendront esclaves à leur tour.L'une d'entre elles, Kaweka, a rejoint la plantation du marquis de Santadoma. Bientôt ses talents de guérisseuse font merveille, et il se murmure même qu'elle posséderait le don de communiquer avec Iemanja, une divinité africaine. Grâce à son intercession, Kaweka trouvera-t-elle la force nécessaire pour lutter, avec les siens, contre ceux qui ont réussi à asservir leur corps – mais pas leur âme.Madrid, de nos jours. Lita est une jeune métisse et la fille de Concepción – qui a passé sa vie entière au service des marquis de Santadoma, au cœur du riche quartier de Salamanca, comme le faisaient ses ancêtres dans le Cuba colonial.Contrainte de travailler pour la banque appartenant à la famille Santadoma, Lita découvre les origines de leur fortune. Déterminée à réparer les injustices du passé, la jeune femme s'engage dans une longue bataille pour obtenir la justice que méritent sa mère et toutes les femmes avant elle qui ont sacrifié leur vie au service des puissants.Près de deux siècles séparent ces deux femmes, une même soif de justice et de liberté les anime. Une fresque époustouflante par l'auteur de La Cathédrale de la mer. " Un roman qui éclaire l'un des épisodes les plus honteux de l'histoire espagnole – et ce faisant, son présent ", El País " Chacun des nouveaux romans d'Ildefonso Falcones est événement ", La Vanguardia