
Un détail nazi dans la pensée de Carl Schmitt : La justification des lois de Nuremberg du 15 septembre 1935
Résumé éditeur
Ce texte a fait l'objet d'une communication dans le cadre de l'Institut Villey et a été publié dans la revue Droits (Puf, n° 40, nov 2004), il est intitulé : Carl Schmitt, l'ennemi substantiel et la législation nazie et fait partie d'un dossier "Contre Schmitt ?". Il est augmenté de commentaires supplémentaires concernant deux textes de Schmitt qui sont également publiés dans cet ouvrage. Il sont traduits par Denis Trierweiler : La Constitution de la liberté (1e octobre 1935) - La législation national-socialiste et la réserve de l'ordre public dans le droit privé international (28 novembre 1935) "Je vais tenter de vous montrer que l'adhésion de Schmitt au nazisme a été si consciente et profonde qu'il n'est pas possible d'étudier ses textes juridico-politiques, même ceux qui ont été écrits en amont ou en aval du nazisme, en mettant entre parenthèses son engagement en faveur des principes nazis et la caution qu'il a apportée aux pires lois du régime de Hitler.... Il faut tenir compte du fait que Schmitt n'a jamais critiqué ses options de la période nazie et qu'il a au contraire tout fait pour leur fournir une justification a posteriori... Je souhaite montrer sur un point important le rapport des thèses théoriques de Schmitt avec son engagement comme doctrinaire de la législation national-socialiste, en particulier des lois de Nuremberg du 15 septembre 1935, concernant la citoyenneté allemande et la protection du sang allemand.
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