L'Île au trésor

Voici le cinq centième article de mon blog, et j’aurais aimé marquer le coup avec un coup de coeur, mais le hasard fait mal les choses et c’est d’un livre qui m’a bien ennuyée dont je vais vous parler. D’ailleurs je ne suis pas surprise que ce grand classique de la littérature jeunesse m’ait ennuyée, je n’en attendais rien d’autre, ce n’est pas pour rien que je ne l’avais encore pas lu. Donc pourquoi le faire aujourd’hui ? Uniquement dans le cadre d’un match opposant deux équipes sur notre forum ; je devais lire un livre traitant de la piraterie, ayant déjà lu ceux, bien plus intéressants, de Deniau et Berry sur le sujet, j’ai choisi ce grand classique.

Il s’agit vraiment d’une histoire de garçons, il n’y a aucun personnage féminin dans le livre, hormis la mère de Jim qui ne joue pas un grand rôle. Au dix-huitième siècle, Jim Hawkins, ans et ses parents tiennent une auberge au bord de la mer en Angleterre. Un jour, un vieux marin peu sympathique vient squatter l’établissement. Le père est malade et n’ose se faire respecter du vieil ivrogne, qui sème la terreur. Il s’entend assez bien avec Jim et lui demande de surveiller qu’aucun marin unijambiste ne débarque à l’auberge. Le père meurt, tout comme le vieux marin quelques jours plus tard. La mère fouille ses affaires pour trouver de quoi se rembourser de la note non acquittée et tombe sur la carte d’une île avec ses coordonnées, révélant l’emplacement d’un fabuleux trésor.

Jim , ainsi que le docteur et le chevalier, deux notables de la communauté locale, décident de partir à la chasse au trésor, durant laquelle ils auront des aventures rocambolesques, mais toujours bon enfant, malgré de nombreux morts. On est dans un livre jeunesse et les méchants ne le sont pas complètement.

J’ai eu bien de la peine à me passionner pour ce livre, même si Jim est un personnage attachant, c’est bien le seul d’ailleurs. Comme ce grand classique a déjà reçu moult chroniques et que ce n’est évidemment pas un service de presse, j’en resterai là, mon avis compte bien peu en l’occurrence.