
L'arche Titanic
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TTT - Très Bien "Les animaux, en voie de disparition ou non, pullulent bien davantage dans les titres des romans d’Éric Chevillard (La Nébuleuse du crabe, Du hérisson, Sans l’orang-outan, L’Explosion de la tortue, Iguanes et moines, L’autofictif voit une loutre, L’autofictif repousse du pied un blaireau mort) que... disons, par exemple, les machines à calculer ou les cyclotrons. Il était donc naturel qu’il choisisse, pour écrire dans la collection « Ma nuit au musée », dont le titre résume le concept, la Grande Galerie de l’évolution du Muséum d’histoire naturelle que le musée des Arts et Métiers. Dressant son bivouac dans la Salle des espèces disparues et menacées, Éric Chevillard mêle, comme à son habitude, à une fascination pour le verbe à la Perec, faite de vocables méconnus et de listes savantes, une réflexion désabusée sur le monde comme il va. L’empaillement et la zoophilie (rêvée, mais non accomplie...) suscitent en lui le regret de ce qui n’est plus et l’émerveillement pour ce qui a été. Ici, les victimes animales de la cupidité humaine, dodo, æpyornis ou rhinocéros, éveillent à la fois réflexions amères, bons mots, rêveries fantastiques, craintes ancestrales et constat du vieillissement. Éric Chevillard, qui publie parallèlement le quinzième volume de son journal, L’Autofictif nu sous son masque (éd. L’Arbre vengeur), navigue à des années-lumière de la lamentation bien-pensante. Son odyssée de l’espèce n’en sonne que plus juste."
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