Un Commencement qui n'en finit pas : Transfert, interprétation, théorie
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Résumé éditeur
Reconnaître la psychanalyse à sa place. On parle toujours de moins que d'elle si on oublie qu'elle est partie, dans la relation Freud-Fliess, du transfert. Que c'est seulement à partir du transfert que l'interprétation – celle que Freud engage alors sur les rêves – est possible. Et que c'est seulement sur la base de cette interprétation-là qu'une théorie – ainsi de la métapsychologie chez Freud – est, en analyse, possible.Symétriquement, ce serait demander à la psychanalyse plus qu'elle ne peut prétendre, que de vouloir lui assigner la solution de problèmes propres à d'autres pratiques, tel l'enseignement, ou à des sciences, même quand elles lui sont voisines, telle la linguistique.La clé ici où se repérer pour bien marquer les différences, c'est et cela reste le transfert.Octave Mannoni (1899-1989), psychanalyste, était un esprit libre qui a vécu presque 30 ans en Martinique et à Madagascar. Sa rencontre avec Lacan, fin 1945, déclenche la rédaction d'un premier livre qui soulèvera un tollé en 1950 : Psychologie de la colonisation (Seuil) marquera profondément son époque. Il n’aura de cesse ensuite de s’appuyer sur sa connaissance fine de l'ethnologie et de la philosophie pour étoffer sa pratique psychanalytique. Ses écrits théoriques ont été publiés au Seuil, dans les collections "Esprit" et "Le Champ freudien" dont Clefs pour l’imaginaire ou l’Autre Scène et Ça n’empêche pas d’exister.
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