Rois du monde
  • Date de parution 15/01/2021
  • Nombre de pages 304
  • Poids de l’article 450 gr
  • ISBN-13 9782361836832
  • Editeur MOUTONS ELECTR
  • Format 211 x 164 mm
  • Edition Grand format
Bouquin Sympa, à lire Ouvrage de référence de l'auteur Fantasy Arthurienne

Rois du monde Tome 1 Même pas mort

4.19 / 5 (1101 notes des lecteurs Babelio)
AVIS DOLPO Bouquin sympa, à lire

Résumé éditeur

Je m'appelle Bellovèse, fils de Sacrovèse, roi des Turons. Pendant la guerre des Sangliers, le haut roi, mon oncle Ambigat, a tué mon père. Ma mère, mon frère et moi avons été exilés au fond du royaume biturige. Parce que nous étions de son sang, parce qu'il n'est guère glorieux de tuer des enfants, Ambigat nous a épargnés. Le temps a suivi son cours. Nous avons grandi. Alors mon oncle s'est souvenu de nous. Il a voulu régler ce vieux problème : il nous a envoyés, mon frère et moi, guerroyer contre les Ambrones. Dès le début des combats, nous nous sommes jetés au milieu du péril, et je suis tombé dans un fourré de lances. Mais l'impensable s'est produit : je ne suis pas mort." Premier tome d'une trilogie qui fera date, Même pas mort confirme tout le talent de Jean-Philippe Jaworski et le place au firmament des auteurs de fantasy.

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  • Date de parution 15/01/2021
  • Nombre de pages 304
  • Poids de l’article 450 gr
  • ISBN-13 9782361836832
  • Editeur MOUTONS ELECTR
  • Format 211 x 164 mm
  • Edition Grand format

l’avis des lecteurs

Quatrième de couv’ :

Je m’appelle Bellovèse, fils de Sacrovèse, fils de Belinos. Pendant la Guerre des Sangliers, mon oncle Ambigat a tué mon père. Entre beaux-frères, ce sont des choses qui arrivent. Surtout quand il s’agit de rois de tribus rivales… Ma mère, mon frère et moi, nous avons été exilés au fond du royaume biturige. Parce que nous étions de son sang, parce qu’il n’est guère glorieux de tuer des enfants, Ambigat nous a épargnés.

Là-dessus, le temps a suivi son cours. Nous avons grandi. Alors mon oncle s’est souvenu de nous. Il a voulu régler ce vieux problème : mon frère et moi, il nous a envoyés guerroyer contre les Ambrones. Il misait sur notre témérité et notre inexpérience, ainsi que sur la vaillance des Ambrones. Il avait raison : dès le début des combats, nous nous sommes jetés au milieu du péril. Comme prévu, je suis tombé dans un fourré de lances. Mais il est arrivé un accident. Je ne suis pas mort.


Mon avis :

Dans ma boulimie livresque actuelle, les livres y passent sous toutes leurs formes. Je me suis donc mise au livre audio avec Audible, je vais me limiter à quelques uns, ça coûte une blinde + l’abonnement mensuel même sans rien acheter, merci mais non ^^ comme le 1er mois le 1er livre est offert et l’abonnement gratuit j’en ai profité pour acheter les 2 tomes disponibles des Rois du monde.

Ayant écouté ce livre, je ne connais pas l’orthographe exacte des noms et lieux donc merci d’être indulgent et je ne pourrai pas non plus m’appesantir sur le style de l’auteur vu que je ne l’ai pas lu.

Par contre, Jean-Christophe Lebert est un conteur hors pair. Il faut un sacré talent pour retenir l’attention du lecteur pendant plus de 14h, il change son timbre selon les personnages ce qui fait que je savais parfaitement qui parlait (même s’il y avait régulièrement des rappels). Quand je dis 14h, je marche 40 min avant d’arriver au travail (idem pour le retour forcément) et 1h à tuer au travail avec une tâche mécanique sur ordinateur, donc en un peu plus d’une semaine j’ai terminé le livre en l’écoutant par-ci par-là, tout d’un coup aurait été indigeste je pense.

On se retrouve au temps des celtes, pour qu’un adolescent obtienne le statut d’homme, il doit participer à une guerre. Les fils de Sacrovèse sont assez téméraires et foncent sur l’ennemi, enfin surtout Ségovèse et donc son frère ainé, Bellovèse, le suit pour le protéger, et comme l’annonce le titre, Bellovèse (notre héros) se fait traverser par une lance de part en part et…il est pas mort ^^

Bellovèse est le conteur principal du récit, c’est lui qui rapporte tout ce qu’il a vu, entendu et vécu. Le récit débute quand il est très vieux, puis il relate sa venue sur une île magique très particulière et dangereuse pour éclaircir le mystère de sa non-mort et de là, il raconte son enfance en exil auprès de son petit frère, de sa mère et du guerrier Sumarios qui les entrainera et en fera des guerriers.

Dans la rue ou devant l’ordi, j’ai plusieurs fois rigolé suite à des réparties, des mots crus de notre époque. La culture celte est très ancienne mais je pense que dans l’idée les insultes restent les mêmes ^^ Big up pour Bouhos un guerrier type gros balèse sans cervelle qui sort, au moment de la recherche d’une stratégie pour reprendre une forteresse hyper bien protégée notamment par sa position en hauteur, cette ânerie qui me fait encore rire rien que d’y penser « Ben on a qu’à monter sur ce Mont machin là, frapper à la porte et leur dire de sortir s’ils ont des couilles » « T’en as d’autres des conneries comme ça ? » ^^

En bref, j’ai adoré cette écoute d’ailleurs sitôt terminée, j’ai enchainé avec le 2ème volume. Je ferai l’impasse sur Gagner la guerre que je me réserve en lecture classique histoire de plonger dans le style de Jean Philippe Jaworski qui m’a l’air excellent, en tout cas son histoire m’a transporté !

Je m’appelle Bellovèse, fils de Sacrovèse, fils de Belinos. Pendant la Guerre des Sangliers, mon oncle Ambigat a tué mon père. Entre beaux-frères, ce sont des choses qui arrivent. Surtout quand il s’agit de rois de tribus rivales… Ma mère, mon frère et moi, nous avons été exilés au fond du royaume biturige. Parce que nous étions de son sang, parce qu’il n’est guère glorieux de tuer des enfants, Ambigat nous a épargnés.

Là-dessus, le temps a suivi son cours. Nous avons grandi. Alors mon oncle s’est souvenu de nous. Il a voulu régler ce vieux problème : mon frère et moi, il nous a envoyés guerroyer contre les Ambrones. Il misait sur notre témérité et notre inexpérience, ainsi que sur la vaillance des Ambrones. Il avait raison : dès le début des combats, nous nous sommes jetés au milieu du péril. Comme prévu, je suis tombé dans un fourré de lances. Mais il est arrivé un accident. Je ne suis pas mort.

Conseillé par Bazar de la littérature après notre lecture commune de Janua Vera, je me suis lancée avec délectation dans Même pas mort de Jean-Philippe Jaworski. Quelle claque, quelle puissance! Le bonhomme connaît son sujet et il parvient à entraîner son lecteur loin, très très loin dans son royaume biturige aux confins de l’histoire et du merveilleux.

L’histoire est racontée par Bellovèse, fils du roi mort Sacrovèse, tué par son oncle Ambigat, à présent haut-roi. Flanqué de deux guerriers celtes, Bellovèse a pour charge de se rendre sur l’île des Vieilles pour que ces dernières lèvent le tabou qui pèse sur lui. En effet, lors d’une bataille, Bellovèse n’est pas mort alors qu’il aurait dû trépasser. La mort s’est refusée à lui. Ni mort, ni vivant, seules les étranges Gallicènes, femmes mi-sorcières mi-devineresses pourront le rendre au royaume des hommes. C’est ainsi que nous découvrons le jeune Bellovèse abandonné sur une île battue par les vents, aux habitantes fort inquiétantes…Et l’intrigue s’emballe lorsque Bellovèse raconte de quelle manière il en est arrivé là. Jean-Philippe Jaworski va alors brillamment entremêler les fils de son histoires pour nous conter l’enfance de Bellovèse.

Oscillant sans cesse entre le merveilleux et le quotidien, entre la réalité et le rêve, Jean-Philippe Jaworski nous livre ici un conte parfois terrifiant souvent inquiétant. Il reconstitue l’univers celte: les traditions, la façon de parler, de se battre. Son univers est parfaitement immersif. S’il est parfois compliqué de s’y retrouver entre tous les personnages, j’ai cependant pris beaucoup de plaisir à côtoyer tous ces guerriers fiers, souvent violents. Les têtes coupées tombent à foison, ça gicle, ça bataille dur mais on s’y croit vraiment!

Ce que j’ai cependant préféré dans ce roman, c’est la dimension mythologique, presque mythique des choses. A la manière d’un conte dit à la veillée, Jaworski nous glisse à l’oreille des histoires d’ogres, de forêts hantées, de bêtes qu’il ne vaudrait mieux pas croiser le soir au coin d’un bois. On frissonne, on savoure cette façon de retomber en enfance comme lorsque nos parents nous contaient le Petit chaperon rouge.

L’écriture merveilleuse, détaillée de l’auteur vient contribuer à cet état d’enchantement, de merveilleux. Les mots sont pesés. La lecture demande concentration et exigence bien sûr mais l’univers décrit est tellement riche!

Avec Même pas mort, Jean-Philippe Jaworski offre à son lecteur un récit merveilleux, immersif, qui reste longtemps en tête. Un beau coup de cœur pour moi!

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