Le protectorat de l'ombrelle Tome 1 Sans âme
Résumé éditeur
livré en 5 jours
l’avis des lecteurs
Alexia Tarabotti doit composer avec quelques contraintes sociales. Primo, elle n’a pas d’âme. Deuxio, elle est toujours célibataire et fille d’un père italien, mort. Tertio, elle vient de se faire grossièrement attaquer par un vampire qui, défiant la plus élémentaire des politesses, ne lui avait pas été présenté. Que faire ? Rien de bien, apparemment, car Alexia tue accidentellement le vampire. Lord Maccon – beau et compliqué, Écossais et loup-garou à ses heures – est envoyé par la reine Victoria pour enquêter sur l’affaire. Des vampires indésirables s’en mêlent, d’autres disparaissent, et tout le monde pense qu’Alexia est responsable. Découvrira-t-elle ce qui se trame réellement dans la bonne société londonienne ? Qui sont vraiment ses ennemis, et aiment-ils la tarte à la mélasse ?
Ce livre était exactement ce que j’attendais qu’il soit. Je n’ai donc pas été surprise, ni par le ton ni par le style d’histoire ni par l’humour. Un peu comme si je l’avais déjà lu et je ne m’en souvenais pas, j’avais une espèce de familiarité avec l’univers et l’humour pince sans rire.
Donc d’un coté c’était super parce que je me sentais vraiment à l’aise dans ce livre, comme à la maison, mais d’un autre coté j’ai regretté cette absence de surprise, elle m’a manqué.
Ce livre se passe pendant le règne de la reine Victoria, dans un Londres alternatif steampunk-fantasy, dans lequel les vampires et autres loups garous on trouvé refuge car c’est l’un des rares pays ou ils sont acceptés pour ce qu’ils sont, sans être chassés ni obligé de se cacher.
L’humour est très présent, il a une foultitude de passages qui m’ont bien fait sourire.
Melle Tarabotti, le personnage principale est le vilain petit canard de sa famille, issu du premier mariage de sa mère elle a vécu toute sa vie avec sa belle famille. A 26 ans elle a dépassé depuis longtemps l’age du mariage, bien trop intelligente pour son bien elle a tendance à se faire remarquer pour ses « excentricités », chose que l’on attribut à son sang italien.
Alexia fait pourtant tout pour s’intégrer, elle connais le battage social bien mieux que tout le monde, est toujours à la dernière mode et parfaitement comme il le faut, mais inexorablement il arrive toujours des événements dont elle n’est pas responsable mais qui la mettre au ban de la société.
D’un coté on pourrait croire que ce personnage pourrait faire pitié, mais ce n’est pas du tout le cas, elle n’est pas du tout du genre à se plaindre, et prend les choses avec philosophie, se satisfaisant tout à fait de sa position qui lui donne un peu de liberté, chose qu’elle n’aurait pas si elle était mariée. (Mais malgré tout, malgré l’humour on est des fois triste pour elle)
Alexia est aussi très aventurière, elle n’hésite pas à se lancer à l’assaut de tous les problèmes qui se présentent.
Lord Maccon de son coté est aussi dissonant dans la bonne société londonienne qu’elle. Il est aussi étranger, depuis peu dans le pays, et en plus il est un Loup Garou, donc quoi qu’il fasse ses manières sont toujours jugées trop violentes.
C’est vraiment marrant de regarder comment cet homme si sur de lui et si puissant arrive à se faire vraiment mener par le bout du nez par Alexia.
J’ai vraiment adoré leur relation, la façon qu’ils avaient d’interagir !
Le scénario est classiquement une enquête, des surnaturels disparaissent et Lord Maccon et Alexia enquêtent pour les retrouver. C’est sur ce point que je n’ai pas été surprise, j’avais deviné la fin bien avant et donc j’ai regretté le manque de surprise. Néanmoins la deuxième partie du récit comporte la majorité des éléments steampunk du livre, et j’ai vraiment bien aimé ces passages. J’ai trouvé que c’était vraiment très visuel, je me représentais tout les éléments avec plaisir !
En résumé c’est un bon roman, avec des personnages et leurs interaction très divertissant, dans un univers steampunk anglais, avec un humour pince sans rire, très agréable à lire. J’ai passé un super moment, je regrette juste que l’intrigue soit si classique et ne m’ai pas apporté la surprise que j’aurais aimé avoir !
16/20
Gail Carriger est une autrice américaine qui se plait à écrire des récits se déroulant sous le règne de la reine Victoria.
Composé de cinq tomes, Le protectorat de l'ombrelle est l'une de ses trois sagas qui mêlent harmonieusement romance, fantasy et uchronie.
Avec Sans âme, on fait la connaissance d'Alexia Tarabotti, une jeune Anglaise, née d'un père Italien. Une combinaison qui explique sans doute son caractère indépendant et autoritaire. Âgée de 26 ans, toujours célibataire, Alexia est le désespoir de sa mère qui ne manque jamais une occasion de l'humilier. Fille de bonne famille, cette situation est intolérable. Mais il y a longtemps que la jeune femme en a pris son parti. Son problème se situe à un tout autre niveau. En effet, elle n'est pas une jeune femme ordinaire, elle est une "paranaturelle". Dépourvue d'âme, sa proximité annule chez les surnaturels les caractéristiques les rendant si spéciaux. De fait, elle représente un réel danger pour eux qui la traitent comme une pestiférée. Alors lorsqu'elle se fait attaquer par un jeune vampire au cours d'une soirée mondaine qui l'oblige à le tuer, elle sent bien que les choses pourraient dégénérer. Se retrouver dans le collimateur de la ruche de Westminster gouvernée par une très ancienne et puissante vampire ou dans celui du BUR, tenu par le séduisant mais non moins horripilant lord Maccon, accessoirement loup alpha de la meute du coin, vont lui promettre quelques moments inconfortables pour ne pas dire dangereux. Mais peut-elle décemment se tenir en retrait face au danger qui l'assaille ? N'en déplaise à certains, Alexia n'est pas femme à se laisser faire. Qu'ils se le tiennent pour dit, les méchants n'auront qu'à bien se tenir.
Dans Le protectorat de l'ombrelle, Gail Carriger insère son récit dans un Londres du XIXe siècle dystopique. Les êtres surnaturels côtoient les humains. Ils occupent même parfois de hautes fonctions auprès du pouvoir. Pour preuve, la reine Victoria dispose d'un cabinet fantôme dans lequel siègent un représentant de la cour vampirique et un autre de la meute des Loups-Garous. Par son entrefaite, elle garde ainsi un œil sur tout ce qui se passe au sein de l'Empire britannique. Ainsi, en suivant les aventures d'Alexia Tarabotti, on fréquente autant les salons mondains que la société surnaturelle. Entre dentelle, dents longues et fourrure, notre intrépide héroïne devra se la jouer effrontée si elle espère avoir le dernier mot.
Outre cet univers mystérieux et feutré, on prend plaisir à passer du temps aux côtés des héros de Gail Carriger. Alexia Tarabotti est une femme très attachante. Aristocrate et bavarde, elle dissimule son manque de confiance en elle derrière une culture et une conversation débordante. Elle a le chic pour se mettre dans des situations compromettantes, burlesques et drôles. Elle est un personnage rafraîchissant qui réussit à faire régulièrement sortir de ses gonds l'impassible lord Maccon. Chef de meute, il n'en est pas moins un noble et à ce titre, représente un parti très en vue. Notre vieille fille n'est d'ailleurs pas insensible à son charme malgré ses manières bourrues. D'ailleurs, le duo qu'ils vont former pour résoudre cette série disparitions promet de nombreuses étincelles.
Cluedo littéraire dans l'univers des romans de Jane Austen, Sans âme m'a embarquée au sein d'une aventure captivante et atypique mêlant enquête et fantastique.
Avec ce premier volet, j'ai poussé la porte d'une saga passionnante que je compte retrouver bientôt.
Livraison soignée
Nos colis sont emballés avec soin pour des livres en excellent état
Conseil de libraires
et des sélections personnalisées pour les lecteurs du monde entier
1 millions de livres
romans, livres pour enfants, essais, BD, mangas, guides de voyages...
Paiement sécurisé
Les paiements sur notre site sont 100% sécurisés