Martiens, go home !
Résumé éditeur
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l’avis des lecteurs
Quatrième de couv’ :
« Salut Toto ! Salut Chouquette ! », voilà les mots prononcés lors de la première rencontre entre un martien et un homme. L’étonnement et l’émerveillement vont être cependant de courte durée. En effet, les petits hommes verts ne sont pas du tout comme nous avions pu les imaginer jusqu’à présent. Malpolis, prétentieux, indécents, curieux à l’extrême, ils sont tout simplement insupportables. Ils prennent, de plus, un malin plaisir à révéler les secrets les mieux gardés. Grâce au « couimage », ils sont insaisissables et se déplacent instantanément où ils veulent. Seuls les psychiatres et les pharmaciens profitent de leur arrivée. Lorsqu’on leur demande pourquoi ils sont là, ils répondent : « Qu’est-ce que les gens vont faire dans les zoos sur ta cochonnerie de planète ? »
Que pourra bien faire un auteur de science-fiction en mal d’inspiration, un marabout africain ou un portier de Chicago face à ce fléau impitoyable.
Mon avis :
Lors des Utopiales, l’homme m’a offert ce livre en me disant que c’était drôle et qu’il fallait que je le lise de toute façon car un classique :
- L’intrigue :
Le 26 mars 1964 est un jour à marquer d’une pierre blanche. Luke Devereaux est un auteur de science-fiction âgé de 37 ans, fraîchement séparé de sa femme, en plein syndrome de la page blanche, il s’est réfugié dans la cabane d’un ami au bord du désert américain. Ce jour du 26 mars 1964, légèrement alcoolisé et toujours bloqué pour débuter son bouquin, Luke se demande à haute voix ce qu’il se passerait si les martiens venaient sur Terre. A l’instant T où cette phrase traverse ses lèvres, il entend « Toc, Toc, Toc ». C’est le début des emmerdes.
- Bordel à tous les étages :
Les martiens débarquent sur la Terre entière au même moment et ils sont 1 milliard selon les estimations. D’abord étonnés de se trouver face à ce qui avait réellement été imaginé par les écrivains et autres cinéastes, les martiens sont bel et bien des petits hommes tout vert entre 65 et 90 cm, les humains vont rapidement déchanter. Les martiens ne sont pas nos amis, ils avouent clairement observer les humains comme on va au zoo et ils sont absolument détestables.
Ils peuvent se téléporter partout, n’importe où, n’importe quand et sont dotés d’une vision à rayon X. Les couples ne vont plus pouvoir baiser tranquillement au moins au départ avant de finir par le faire avec boule quiès et noir total sous les couvertures (mais sans effet pour les petits curieux) et les gouvernements de tous les pays vont vivre un enfer, ces petites crapules sont foncièrement honnêtes et annoncent tout, absolument tout le contenu des documents classés secret défense aux ennemis et inversement, la situation est intenable.
Sur le plan de la population, avec le bronx mis par les martiens, le chômage frappe les pays de manière colossale, il n’y a que les pharmaciens, les psychiatres, les pompes funèbres et les débits d’alcool qui s’en tirent haut la main, la violence humaine explose que ce soit contre les autres ou contre soi-même.
En bref, je sais désormais pourquoi Baroona m’appelais Toto lors du bilan des Utos mais en fait gamin moi, c’est Chouquette ^^, lecture rapide mais un peu barrée, il a beau être court j’ai fini par trouver le temps long.
D’autres avis chez :
Bonne lecture !
Ce court roman est connu pour être un modèle de la science-fiction humoristique : un beau jour un milliard de Martiens arrivent sur Terre. Un milliard de petits hommes verts insupportables.
Ils sont constamment présents auprès des humains, même dans les moments les plus intimes. Impossibles à tuer, ils peuvent voir à travers les murs, lire les livres et les données plus secrètes… Et en profitent pour saccager la vie quotidienne des hommes et des femmes qu’ils harcèlent. Insolents voire insultants envers les humains, ils prennent un plaisir perfide à ficher en l’air les relations humaines ou à rendre fous ceux qui ne les supportent plus.
Vraiment insupportables ! Au cours de cette immense farce, l’auteur se plaît surtout à égratigner les humains et leurs travers, les couples, les gouvernements…
La deuxième partie se lance sur une intrigue et perd un peu l’aspect drolatique, mais heureusement Fredric Brown retrouve de sa verve à la fin du roman, en s’amusant de l’ego de quelques quidams.
Une histoire sympathique qui détend.
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