Kenzie & Gennaro Tome 4 Gone, Baby, Gone
Résumé éditeur
livré en 5 jours
l’avis des lecteurs
A la demande pressante de Béatrice McCready, Patrick Kenzie et Angela Gennaro recherchent Amanda, sa nièce de quatre ans disparue en pleine nuit de son domicile, pendant qu’Helen, la mère de l’enfant, s’était absentée pour aller chez une amie. Ladite mère ne semble guère déborder d’attention maternelle; de plus, elle accuse un sérieux penchant pour la bière, voire pour certains stupéfiants. En collaboration avec deux inspecteurs de la PEAS (Brigade de protection de l’enfance), les détectives suivent la piste de trafiquants de drogue qui seraient impliqués dans l’enlèvement, mais la petite fille demeure introuvable.
Voici le retour d’un P.Kenzie et d’une A.Gennaro en pleine forme, bénéficiant, suite à l’affaire Glynn (cf. "Ténèbres, prenez-moi la main"), d’une renommée pourvoyeuse de nombreux clients. Ce quatrième volet de leurs aventures voit également réapparaître leur ami Bubba, «sympathique psychopathe» relégué derrière les barreaux durant le précédent volume ("Sacré"). Leurs efforts pour retrouver la petite Amanda vont s’unir à ceux de Poole et Broussard, inspecteurs de police au caractère bien trempé, et personnages que D.Lehane rend particulièrement réalistes et attachants.
N’allez pas croire pour autant que l’atmosphère de "Gone baby gone" est détendue ! Tout au long du roman, l’auteur ne se contente pas de jouer avec nos nerfs, en créant un dénouement (au milieu du récit) qui n’en n’est pas un, en étirant l’intrigue sur des mois, en faisant retomber l’enquête à néant au trois quart de l’ouvrage… non, il ne contente pas de jouer avec nos nerfs –et ceux des personnages- : il sait pincer la petite corde sensible de nos émotions, celle qui nous fait maudire la raison, et parvient à nous laisser un goût d’amertume à l’issue de l’histoire, en nous faisant nous interroger sur le bon sens de la loi et de la justice, qu’elle soit humaine ou divine.
On sait, qu’en lisant Lehane, c’est à une incursion dans le «vrai monde» que l’on prend part : il n’y a pas de héros pour sauver in extremis toutes les victimes innocentes, et quand bien même elles sont arrachées à leur bourreau, les désillusions auxquelles la vie va les exposer font que l’on ne peut jamais parler de « happy end ».
Un seul bémol : une invraisemblance sur la fin, bien que cela ne m’ait pas gêné plus que ça… Malheureusement, je ne peux pas en dire plus, cela gâcherait la surprise des futurs lecteurs…
Livraison soignée
Nos colis sont emballés avec soin pour des livres en excellent état
Conseil de libraires
et des sélections personnalisées pour les lecteurs du monde entier
1 millions de livres
romans, livres pour enfants, essais, BD, mangas, guides de voyages...
Paiement sécurisé
Les paiements sur notre site sont 100% sécurisés