Lizzie Martin et Ben Ross
  • Date de parution 20/06/2013
  • Nombre de pages 384
  • Poids de l’article 202 gr
  • ISBN-13 9782264058737
  • Editeur 10 X 18
  • Format 179 x 110 mm
  • Edition Livre de poche
Policier historique Cosy mystery et énigmes Royaume-Uni Epoque Victorienne

Lizzie Martin et Ben Ross Tome 1 Un intérêt particulier pour les morts

3.75 / 5 (536 notes des lecteurs Babelio)

Résumé éditeur

Londres, 1864. Lizzie Martin accepte un emploi auprès d'une riche veuve dont la précédente dame de compagnie s'est enfuie avec un inconnu. Mais quand le corps de la jeune fi lle est retrouvé dans le chantier de la gare St Pancras, Lizzie décide de mener sa propre enquête. Elle pourra compter sur l'aide d'un ami d'enfance devenu inspecteur, Benjamin Ross, pour découvrir la vérité sur la mort de cette femme... dont le sort semble étroitement lié au sien. " Cette auteure chevronnée connaît parfaitement la période et la restitue avec tout le charme de la morale et des manies victoriennes. " Kirkus Reviews " Un sens aigu de l'humour à l'anglaise et une oreille douée pour les dialogues. " The Times

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  • Date de parution 20/06/2013
  • Nombre de pages 384
  • Poids de l’article 202 gr
  • ISBN-13 9782264058737
  • Editeur 10 X 18
  • Format 179 x 110 mm
  • Edition Livre de poche

l’avis des lecteurs

Nous sommes en 1864 et Lizzie Martin accepte un poste de dame de compagnie à Londres auprès d’une riche veuve qui est aussi une propriétaire de taudis. Lizzie est intriguée d’apprendre que la précédente dame de compagnie a disparu, apparemment après s’être enfuie avec un inconnu. Mais quand le corps de la jeune fille est retrouvée dans les décombres de l’un des bidonvilles démolis récemment autour de la nouvelle gare de St Pancras, Lizzie commence à se demander ce qui s’est passé. Elle renoue avec un ami d’enfance, devenu l’inspecteur Benjamin Ross, et commence à enquêter avec son aide, au péril de sa vie, pour découvrir la vérité sur la mort de la jeune fille dont le sort semble étroitement lié au sien.

Avis de Lianne

Je n’ai pas vraiment apprécié ma lecture.

En fait le principal problème a été que je m’attendais à lire du policier historique, alors qu’en fait ce lui est un historique avec juste un peu de policier.Lizzie est un personnage un peu terne j’ai trouvé. Bon je veux bien reconnaitre qu’elle fait vrai dans le sens qu’elle n’a rien de particulier. Elle n’est pas particulièrement intelligente, ni particulièrement débrouillarde, elle n’a pas d’humour particulier, elle est normale quoi. Limite je la dirais banale. Je n’ai pas du tout réussi à m’attacher au personnage, il ne m’a en fait rien inspiré. Je ne l’ai pas non plus détesté, en fait elle ne m’a même pas ennuyé, ce qui normalement est un bon point mais dans la banalité du reste de mes conclusions en fait ça en devient un.

J’ai mieux aimé Ben Ross, il a su se sortir d’une situation fermée (la mine) pour devenir quelqu’un et monter les échelons, sans avoir d’ambition particulière ce qui est bien. Il n’a pas soif de pouvoir, il veut juste bien faire son boulot. Et dans ce sens on en revient au point que je reproche, on retrouve à nouveau ce coté « trop lisse » car en dehors de ce que j’ai cité il n’a non plus rien de particulier, pas de caractère et presque trop gentil.

En fait ce livre m’a rappelé un autre que j’ai lu il n’y a pas si longtemps, Une Etude en Soie de Emma Jane Holloway. Mais la ou Une étude avait su m’intéresser avec des personnages intéressants malgré la lenteur de l’intrigue, Un intérêt particulier pour les morts n’y arrive pas.

L’intrigue principale se résume au quotidien de Lizzie dans la maison qui l’accueille à la suite du décès de son père. Et ce n’est pas vraiment la joie pour elle, je dirais qu’elle subit la vie plus qu’elle n’y participe, elle n’a pas vraiment le choix. Et la encore ces passages la n’ont pas réussi à me tenir en halène, je dois dire que passer des pages sur le raccommodage d’une ancienne robe de sa maitresse ou l’heure et la composition des repas ne sont pas des sujets propices à l’enthousiasme.

Bon et l’enquête la dedans? Et bien elle n’est pas vraiment un sujet important au final. Elle ne fait que stagner la plupart du temps jusqu’au moment ou « par hasard » une personne qui n’est pas la police trouve un élément. Par vraiment motivant non plus dans cette lecture.

J’ai trouvé cette lecture très longue, avec beaucoup de passages totalement sans intérêt. Je me disais toujours : « mais ce n’est que le premier tome, c’est normal qu’on présente la situation en détail, l’enquête arrivera plus tard ». Et j’ai été très déçue quand je me suis aperçue que non. L’enquête fini d’un coup avec l’unique scène d’action du livre, alors qu’on a à peine eu le temps de s’inquiéter pendant une demi page.En résumé une lecture lente qui n’était pas du tout ce que j’attendais de ce livre. Je n’ai pas du tout accroché aux personnages que j’ai trouvé lisses et sans personnalités. L’intrigue se perd dans les scènes du quotidien des protagonistes alors qu’il ne se passe rien du tout pour faire avancer l’enquête. Une déception. Je ne pense pas lire la suite.

11/20


Nous sommes en 1864 et Lizzie Martin accepte un poste de dame de compagnie à Londres auprès d’une riche veuve qui est aussi une propriétaire de taudis. Lizzie est intriguée d’apprendre que la précédente dame de compagnie a disparu, apparemment après s’être enfuie avec un inconnu. Mais quand le corps de la jeune fille est retrouvée dans les décombres de l’un des bidonvilles démolis récemment autour de la nouvelle gare de St Pancras, Lizzie commence à se demander ce qui s’est passé. Elle renoue avec un ami d’enfance, devenu l’inspecteur Benjamin Ross, et commence à enquêter avec son aide, au péril de sa vie, pour découvrir la vérité sur la mort de la jeune fille dont le sort semble étroitement lié au sien.

 

Un Intérêt particulier pour les morts est le 1er tome de la série mettant en scène l’héroïne Elizabeth Martin et l’inspecteur Ben Ross. J’ai d’abord craqué sur la magnifique couverture des éditions 10/18 puis j’ai apprécié le résumé de l’intrigue.

Nous voilà, dès les premières pages du roman, plongés au cœur du Londres victorien en pleine mutation. Elizabeth débarque de sa campagne anglaise pour devenir dame de compagnie auprès d’une riche veuve. Dès le début du récit, Ann Granger plonge son lecteur dans l’ambiance de l’époque: les piétons côtoient les fiacres, les voleurs se mêlent aux bourgeois dans une joyeuse pagaille. Elizabeth porte un regard neuf et parfois naïf sur la vie qui l’entoure. Fille de médecin, elle a été élevée dans la compassion et la compréhension de l’autre. Elle a ainsi du mal à comprendre les lois hiérarchiques qui régissent la société londonienne où la misère côtoie l’opulence.

S’il est un personnage pour lequel toute va ma sympathie, c’est bien cette héroïne victorienne Elizabeth Martin. C’est une jeune femme de 30 ans, célibataire, autant dire une vieille fille pour l’époque. Si elle va à Londres, ce n’est pas par choix. Sans parent et sans le sous, elle doit à tout prix trouver de quoi subvenir à ses besoins. Engagé par Mrs Parry, elle va prendre part à une intrigue policière. Car Elizabeth n’est pas une femme comme les autres. Elle a d’abord moins de retenue et elle n’a guère sa langue dans sa poche. Ainsi, elle n’hésite pas à remettre en place l’odieux Dr Tibett. C’est aussi une fine observatrice: grâce à sa pertinence , elle va grandement faire progresser l’enquête. Enfin, elle n’est pas « chochotte » pour un sou. Son père médecin l’a formée à la dure: elle connaît la misère sociale des mineurs, la mort qui vient trop tôt. Le terme « non conventionnelle » la qualifierait le mieux. Cependant, Ann Granger n’en fait pas non plus une super héroïne: Elizabeth sait rester à sa place quand il le faut et elle a conscience de sa qualité de femme.

L’intrigue du roman reste assez simple et banale finalement. Elle est menée à son terme très agréablement. Le lecteur va ainsi naviguer des bas fonds de Londres aux plus hautes sphères. Ann Granger décrit avec minutie les quartiers miteux des bords de la Tamise tout comme les luxueux hôtels particuliers avec élégance, fluidité et finesse. Le rôle de la police y est très intéressant. Ben Ross, l’inspecteur, prend son métier à cœur et décide de mener l’enquête au sujet du meurtre d’une jeune femme jusqu’au bout. Bien qu’on lui mette des bâtons dans les roues, il s’avère pugnace. Il est d’ailleurs le seul à vouloir faire éclater la vérité. Qui en effet se soucie du sort d’une jeune fille sans importance?

Pour résumer, Un intérêt particulier pour les morts est le premier tome d’une série policière mettant en scène une héroïne forte et intelligente comme je les aime. L’ambiance du Londres victorien raviront ceux qui affectionnent cette époque. J’attends la traduction de la suite des aventures d’Elizabeth avec impatience!

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