Love on the Brain

Vous le savez, je suis une GROSSE fan de The Love Hypothesis d’Ali Hazelwood et j’ai adoré toutes ses nouvelles alors que j’ai souvent du mal avec ce format. Ainsi, il me semblait NÉCESSAIRE de craquer pour son tout nouveau roman Love on the Brain qui était clairement LA sortie que j’attendais la plus de l’année (avec le dernier Morgane Moncomble, certes). Je l’ai même directement acheté en papier et annoté lors de ma première lecture ce que je ne fais JAMAIS au grand jamais.

Mais je l’avoue, après avoir autant aimé TLH, je redoutais de ne pas accrocher autant, mais c’est tout l’inverse qu’il s’est passé étant donné que Love on the Brain a été un gros coup de cœur pour ma part. Que ce soit la romance en elle-même, les personnages, les décors, l’intrigue et les éléments qui font de cette histoire une romance unique dont je me souviendrai longtemps. 

Je l’avoue, ce qui m’a fait le plus craquer dans cette histoire, ce sont les personnages et en particulier celui de Levi. Vraiment, malgré le fait que nous n’ayons pas son point de vue et qu’il n’ait pas immédiatement ravi mon cœur (vous comprendrez pourquoi en le lisant), il a suffi de quelques pages pour que je l’adore. C’est un personnage très touchant, intelligent, drôle auquel on ne peut que s’attacher. Et j’ai d’autant plus aimé la façon dont Ali Hazelwood nous fait voir l’intérieur de la petite tête de Levi (mon moment préféré).

Si j’ai adoré Levi, j’ai ressenti tout autant d’affection envers Bee, la protagoniste, qui a su me faire rire et pleurer à la fois. C’est un personnage comme Olive, qu’on ne peut pas détester et j’ai plus qu’adoré sa passion pour la science et Marie Curie. 

Ce livre, comme The Hating Game ou The Love Hypothesis, c’est aussi plein de petits éléments qui le rendent uniques : c’est des chats, que ce soit celui de Levi ou le petit chaton fantôme, c’est la NASA, les références à Star Wars, le style de Bee, des discussions en ligne, bref plein de petits trucs et de petits moments atrocement mignons qui ont fait fondre mon petit cœur. 

La romance m’a fait vibrer, pleurer (je pleure toujours beaucoup quand c’est trop mims), rire aussi. Je l’ai adorée (oui j’utilise beaucoup le verbe “adorer” dans cette chronique haha mais c’est le mot qui correspond le plus oups), naturelle, fluide avec les meilleures tropes comme je les aime. 

Les tropes (= des schémas/éléments qui se répètent souvent dans des livres ou films) parlons-en !!! Un enemies-to-lovers, avec un peu (beaucoup) de mauvaise communication entre deux collègues, de la proximité forcée, THEY ARE EACH OTHER’S HOME !!!

Voilà ! Pour conclure, une romance parfaite sur tous les points qui était à la hauteurs de mes attentes géantes et je peux maintenant classer sans hésiter Ali Hazelwood comme une autrice de valeur sûre et auto-buy, parce qu’elle sait mettre en valeur les femmes en STEM comme personne et maîtrise vraiment les codes de la romance !

L’avez-vous lu ? Voulez-vous le lire ? Qu’en avez-vous pensé ? Connaissez-vous l’autrice ?