Série Les Frères de Saint-Sérapion Ernst Theodor Amadeus Hoffmann

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Les Frères de Saint-Sérapion Tome 2 : Les Frères de Saint-Sérapion

Résumé éditeur

En se lançant dans la composition de ce recueil géant (quatre volumes), Hoffmann rêvait d'une oeuvre qui serait un peu les Mille et une nuits de l'Occident. Il s'agit en effet, au long de huit « Veillées » où le vin et le punch coulent à flots, d'une série ininterrompue de Contes et d'Entretiens à bâtons rompus au cours desquels Hoffmann et ses inséparables compagnons nous livrent, sur un mode très libre, le plus saisissant catalogue de fantasmes qui se puisse imaginer. Les Entretiens, qui forment la part peut-être la plus originale du recueil, n'avaient jamais été traduits à ce jour. On les découvrira ici avec autant d'émerveillement que les célèbres Contes (dans ce volume :  « Doge et dogaresse », « Maître Martin », « L'enfant étranger », etc.)   Sous la direction d'Albert Béguin et de Madeleine Laval

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Les Frères de Saint-Sérapion Tome 3 : Les Frères de Saint-Sérapion

Résumé éditeur

Dans ce troisième volume des Frères de Saint-Sérapion, Hoffmann ne renonce pas aux vertus d'un humour subtilement dissonant (« Le choix d'un fiancée »), pas plus qu'il ne résiste, selon les humeurs de sa nature paradoxale, aux élans euphoniques où l'entraîne son imagination de musicien (« Le baron de B. » ) Mais les contes ici rassemblés nous emportent aussi sur des chemins assez peu rassurants. Dans l'étonnant récit intitulé « Mademoiselle de Scudéry », le maître-conteur évoque les pulsions meurtrières qui précipitent les meilleurs sujets dans le crime. Dans « Le bonheur au jeu », il se fait ¿ comme plus tard Dostoïevski ou Schnitzler ¿ l'analyste du destin d'un joueur. La folie et la mort, une fois de plus, rôdent entre les lignes.

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Les Frères de Saint-Sérapion Tome 4 : Les Frères de Saint-Sérapion

Résumé éditeur

Les contes rassemblés dans ce volume ultime des Frères de Saint-Sérapion appartiennent aux toutes dernières années de la vie d'Hoffmann, placées sous le signe de la maladie et marquées par quelques désillusions de plus. Le fait est que le sourire du conteur, volontiers sarcastique, se teinte parfois d'amertume. Et pourtant, aux portes de la mort, l'imagination déploie toujours aussi somptueusement ses fastes (« Signor Formica », « L'enchaînement des choses »). Comme jadis Schéhérazade, Hoffmann à la fin de ces « veillées » peut s'estimer satisfait : il aura tenu son rôle jusqu'à la dernière nuit.