Druide
  • Date de parution 05/04/2012
  • Nombre de pages 608
  • Poids de l’article 322 gr
  • ISBN-13 9782290054048
  • Editeur J'AI LU
  • Format 178 x 111 mm
  • Edition Livre de poche
Dark Fantasy Heroic Fantasy Ouvrage de référence de l'auteur Romans policiers

Druide

4.08 / 5 (738 notes des lecteurs Babelio)

Résumé éditeur

Les druides règnent sur une forêt primordiale et sacrée sise au coeur du monde. Détenteurs d'une sagesse millénaire, ils sont les gardiens du Pacte Ancien, dont le respect garantit la paix entre les peuples. Mais un crime de sang d'une violence inouïe met en péril le fragile échiquier politique des royaumes du Nord. Le druide Obrigan, aidé de ses deux apprentis, ne dispose que de vingt et un jours, pas un de plus, pour élucider les circonstances du drame, faute de quoi une guerre totale éclatera. Et tandis que le compte à rebours tourne, chaque lune apporte son lot de nouveaux cadavres, l'entraînant toujours plus loin dans l'horreur...

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  • Date de parution 05/04/2012
  • Nombre de pages 608
  • Poids de l’article 322 gr
  • ISBN-13 9782290054048
  • Editeur J'AI LU
  • Format 178 x 111 mm
  • Edition Livre de poche

l’avis des lecteurs

Druide a obtenu le prix révélation de l’année 2011 aux Futuriales, le prix Imaginales des lycéens en 2013. Druide est le premier roman d’Olivier Peru également illustrateur, scénariste et dessinateur de bandes dessinées. Il travaille aussi pour le cinéma et la télévision. Il est également l’auteur d’une série de romans en collaboration avec Patrick McSpare Les hauts conteurs.

 J’avais acheté ce roman l’année dernière, intriguée par son titre et son thème. Son thème, d’abord, évoque un thriller dans un monde médiéval fantastique. Ensuite, son titre car le druide est un thème somme toute assez peu utilisé en fantasy. Quand on pense au druide, on imagine le plus souvent un vieux bonhomme avec sa serpe et son gui à la main. Le druide était très important dans la société celtique, à la fois proche de la nature mais aussi conseiller militaire et gardien du savoir. Mais on pense également à Merlin l’enchanteur, célèbre druide de Bretagne au temps de notre bon roi Arthur. En tant que grande fan de Kaamelott, quand je pense à Merlin, je pense au rassemblement du corbeau, au marron ou encore à la potion de vivacité mais beaucoup moins au personnage légendaire célèbre de la littérature médiévale. Mais revenons en à nos moutons, euh plutôt à notre druide, héro de ce roman d’Olivier Peru.

Le druide dans l’univers créé par Olivier Peru tire ses pouvoirs de la nature et de la grande forêt millénaire qui se trouve au cœur du monde. Les druides sont les gardiens du Pacte Ancien dont le respect garantit la paix entre les peuples. Pourtant, 2 royaumes du Nord se haïssent depuis des années et la paix est fragile. Voilà pour le contexte du roman. Bien entendu, un évènement déclencheur arrive ( comme le dit Aristote dans la poétique, il faut toujours dans une histoire un événement déclencheur, même Perceval le sait!) et là c’est le meurtres de 49 personnes dans d’horribles circonstances. Un druide, Obrigan, accompagné de ses 2 apprentis va devoir élucider ces crimes, a priori sans réel mobile. Ce pitch laisse penser que l’on va avoir à faire à une enquête policière mélangée à de la magie, puisqu’on est dans un univers de fantasy. Et, c’est ce que l’on a dans la première partie du roman qui est très bien réussie. Cependant, c’est après que les choses se gâtent à mon avis. Le roman change totalement de registre et bascule vers la high fantasy avec un groupe de héros luttant contre un redoutable ennemi, ultra puissant et inconnu. J’ai trouvé cela gênant car je ne m’attendais pas à cela et ensuite le thème de la high fantasy est ultra utilisé alors que celui du thriller en fantasy moins. Du coup, le roman lorgne clairement du côté du Seigneur des anneaux avec certains passages qui y font clairement penser, comme le siège de la cité des druides qui m’a fait penser au gouffre de helm.

L’univers du roman est assez classique, il y a des guerriers, des royaumes qui se détestent et les druides au milieu. La magie semble seulement présente par le biais des druides. La société druidique est elle bien décrite et on sent que l’auteur s’est focalisé sur la caste des druides. J’aurais tout de même aimé en savoir un peu plus sur le reste de l’univers.

Le début du roman est très bien fait et on se plonge assez vite dans l’histoire. Pourtant après le premiers tiers du livre, j’ai eu beaucoup plus de mal à le lire, la faute à un rythme trop lent et trop changeant. De nombreuses longueurs viennent faire que le roman s’enlise et a du mal à vraiment décoller. De plus, j’ai eu du mal à vraiment m’attacher aux personnages, peut être trop nombreux. Ils sont intéressants mais assez classiques dans le registre fantasy et sans réelle surprise. L’auteur a également tendance à recourir à des ficèles trop souvent utilisées dans le récit, ce qui créé un manque de surprise évident. Quand on devine à l’avance ce qui va arriver, c’est qu’il y a quand même un problème.

Druide n’est pas un mauvais livre, l’auteur l’a visiblement beaucoup travaillé, mais il aurait gagné à être délesté de certains passages pour y gagner un rythme plus intense. La plume d’Olivier Peru est agréable mais un peu trop narrative par moment. Le début est très intense, on est dans l’urgence, ensuite on se retrouve dans l’enquête et la fin est une succession de batailles, bien décrites mais trop nombreuses.

J’ai donc été assez déçue par ce roman, surtout parce qu’il n’a pas répondu à mes attentes concernant sa thématique et que l’on est dans un roman de high fantasy assez classique qui n’apporte pas grand chose de neuf, hormis l’utilisation des druides, à la place des mages. La société druidique est intéressante et leur univers assez développé mais je n’ai pas éprouvé d’empathie pour les personnages. Le premier tiers du roman apportait beaucoup d’espoir sur la qualité du récit et tout cela s’est malheureusement dilué dans des longueurs. Comme le dit Aristote (désolée pour les références à Kaamelott mais c’est plus fort que moi :)), un récit est constitué d’un début, d’un milieu et d’une fin, et pour que le tout soit réussi, un bon début ne suffit malheureusement pas.


1123 après le Pacte.

Au nord vivent les hommes du froid et de l’acier, au sud errent les tribus nomades et au centre du monde règnent les druides. Leur immense forêt millénaire est un royaume d’ombres, d’arbres et de mystères. Nul ne le pénètre et tous le respectent au nom du Pacte Ancien. Les druides, seigneurs de la forêt, aident et conseillent les hommes avec sagesse mais un crime impensable bouleverse la loi de toutes les couronnes : dans la plus imprenable citadelle du Nord, quarante-neuf soldats ont été sauvagement assassinés sans que personne ne les entende seulement crier.

Certains voient là l’oeuvre monstrueuse d’un mal ancien, d’autres usent du drame comme d’un prétexte pour relancer le conflit qui oppose les deux principales familles régnantes. Un druide, Obrigan, et ses deux apprentis ont pour mission de retrouver les assassins avant qu’une nouvelle guerre n’éclate. Mais pour la première fois, Obrigan, l’un des plus réputés maître loup de la forêt, se sent impuissant face à l’énigme sanglante qu’il doit élucider… Chaque nouvel indice soulève des questions auxquelles même les druides n’ont pas de réponses.

Une seule chose lui apparaît certaine : la mort de ces quarante-neuf innocents est liée aux secrets les plus noirs de la forêt.

Mon avis : 

Un début mitigé mais qui fini par remonter la pente et de manière que j’ai vraiment bien aimé.

Pour ce que je n’ai pas aimé au début du livre, je pense que c’était surtout qu’il me fallait un temps d’adaptation au style. Le fait que tout soit raconté à la troisième personne met une une espèce de barrière aux sentiments j’ai trouvé. On a l’impression que c’est quelqu’un qui nous raconte l’histoire et du coup je ne ressentait pas du tout les émotions des personnages. Surtout qu’on est pas trop dans le détail au début, j’avais plus l’impression que les personnages passaient d’un étant émotionnel a un autre en un claquement de doigts, ce qui n’aide pas à se plonger dedans. 

En fait c’est vraiment ça le point qui m’a le plus dérangé jusqu’à ce que je m’y fasse : l’impression de ne pas comprendre les changements d’émotions car ils sont juste expliqué froidement et rapidement. Par exemple a un moment donné Obrigan passe de la suspicions à la colère pour finalement devenir ami avec quelqu’un en moins d’une page et j’étais perdue dans ce que je devais ou pas ressentir concernant la situation.

Bon, heureusement cette impression c’est résorbée par la suite.

En se qui concerne le scénario, je n’ai rien à redire. l’histoire se tiens, elle est bien développée. Contrairement à certains je n’ai pas trouvé de longueurs, le rythme étant un peu lent mais ça ne gène pas les choses vu qu’on suis l’enquête d’Obrigan et dans une enquête il y a toujours des moments ou on ne trouve rien.

Ce coté enquête c’est d’ailleurs un des points que j’ai bien aimé, j’ai adoré les mystères et les recherches, on est à la limite dans une ambiance de thriller fantasy pendant une grande partie du roman.

Il y a une vrai ambiance dans ce livre, on est sur un univers totalement unique en fait, on n’a pas de références ni de comparaisons à faire avec d’autres et je trouve ça vraiment super, cette nouveauté.

Le livre joue avec nos peurs du noir, de l’inconnu, des secrets du passé.

Les humains présents sont vraiment tous nuancés, bien qu’on ne les suive pas vraiment souvent. Au début on voudrait prendre un camp et en faire les gentils et l’autre les ennemis mais en fait impossible car des deux cotés il c’est passé des horreurs et des deux cotés ils sont fautifs et en même temps ils ne l’ont pas vraiment voulu vu que la guerre est présente depuis des générations.

J’ai aussi adoré la morale de l’histoire. Je ne peux pas trop en dire pour ne pas spoiler mais ça m’a un peu fait penser à une morale de comics, ou on dit que de grands pouvoir amènent de grandes responsabilité et que le pouvoir corrompt.

Le fait que la peur et l’envie font faire des horreurs aux gens alors qu’il n’y avait aucune raison au départ et que tout aurait pu bien finir si la confiance avait régné. C’est un peu un constat triste mais vrai quand on voit l’actualité en se moment.

Au final un livre qui a mal commencé mais qui c’est fini très bien, je peux vraiment dire que je l’ai aimé, malgré tous les défauts que j’ai vite oublié dans la seconde moitié du récit !

16/20


Quatrième de couv’ :

Les druides règnent sur une forêt primordiale est sacrée sise au cœur du monde. Détenteurs d’une sagesse millénaire, ils sont les gardiens du Pacte Ancien, dont le respect garantit la paix entre les peuples. Mais un crime de sang d’une violence inouïe met en péril le fragile échiquier politique des royaumes du Nord. Le druide Origan, aidé de ses deux apprentis, ne dispose que de 21 jours, pas un de plus, pour élucider les circonstances du drame, faute de quoi une guerre totale éclatera. Et tandis que le compte à rebours tourne, chaque lune apporte son lot de nouveaux cadavres, l’entraînant toujours plus loin dans l’horreur…

Mon avis :

Olivier Péru est un nom que je croise beaucoup sur Booktube et la blogo, ma curiosité a été piquée par le nombre d’éloges que ce soit pour Druide, son dyptique Martyrs et la saga Les hauts conteurs, cette dernière étant axée jeunesse, je me suis penchée sur Druide pour commencer, le fait que ce soit un one-shot y est pour beaucoup.

Les druides sont des personnages mystérieux, qui sont rarement mis en avant en tant que personnages principaux à part Merlin l’enchanteur et un peu plus en retrait Panoramix (on a la culture qu’on peut ^^). Ce sujet a été la motivation première pour ouvrir ce livre.

Les druides sont partagés en 4 catégories, les Ombres et les Cerfs ne sortent jamais de la forêt, par contre les Loups et les Corbeaux font le lien entre la Mer verte (le nom de la forêt) et le monde des Hommes. Qu’on soit bien clair, les druides sont des humains avec quelques particularités mystiques, mais des humains, ils viennent des familles pauvres des cités qui ont abandonné leurs enfants devant la Mer verte et pris en charge par les Druides. C’est un peu comme les orphelinats chrétiens de l’époque quand on abandonnait un bébé devant la porte d’une église.

Notre héros principal est un maître Loup, Obrigan aidé de ses deux disciples, Kesher et TobiasIl est diligenté par les anciens pour enquêter sur un massacre survenu dans la citadelle de Wishneight. Le roi du Sonrygar convoque celui du Rahimir en l’accusant de la mort de ses soldats, Obrigan arrive à obtenir un sursis de 21 jours pour trouver les vrais coupables qu’il soupçonne ne pas être de simples hommes…Il va rapidement se séparer de ses disciples pour exploiter le plus de pistes possibles dans le temps imparti.

Le récit démarrait super bien, les 200 à 250 premières pages j’étais super accrochée, plusieurs personnages font leur entrée, le prince du Rahimir, Jarekson, est un être pas très clair, retord et mystérieux, tous les coups sont permis, la survie seule compte bien plus qu’un quelconque code d’honneur. Sa façon de se confier à Obrigan sur les raisons de son visage ravagé m’a paru trop rapide mais en même temps ça permet d’avancer. Dès qu’on baisse notre garde et qu’on commence à apprécier le prince, il dit ou fait un truc horrible, j’ai bien aimé ce personnage tout en zones de gris. Tobias étant un petit rat de bibliothèque, il apprend rapidement à se faire apprécier en tant qu’émissaire de la forêt auprès du jeune roi du Sonrygar même s’ils ne s’accordent pas sur tout, Ylias tient à faire la guerre au Rahimir, une prophétie a prédit qu’un roi du Sonrygar réunirait les deux terres du Nord sous une même couronne et il est sûr d’être celui-là. Kesher reste à la citadelle et finit par tomber sur un os…

Comme je le laissais pressentir, ça commençait bien…oui, très bien même, mais une fois Obrigan arrivé à la Cité des druides, le récit devient lent, mais lent….200 pages auraient pu être condensées au milieu du bouquin, en plus d’un récit qui s’étire en longueur sur les tergiversations diverses des protagonistes, le vieux maître d’Obrigan, Frénéon, prend des décisions totalement illogiques coupant les druides de tout secours extérieur et l’explication tarde beaucoup à arriver. Les 150 dernières pages reprennent du rythme même si les batailles très rapprochées font que ça devient vite redondant

En brefmême si j’ai un avis assez mitigé, dans l’ensemble, je ne peux pas dire que j’ai détesté ma lecture, ça reste bien écrit malgré les longueurs en milieu de livre et comme j’ai entendu dire que Martyrs était mieux, je ne suis pas du tout refroidie pour le découvrir à son tour. Je continue donc dans la découverte de cet auteur. Pour un premier roman, il est bien.

Il existe un monde où les hommes et les druides vivent en parfaite harmonie. Mais tout bascule le jour où le plus effroyable des crimes survient à la citadelle de Wishneight, située dans le royaume du Sonrygar. En effet, quarante-neuf soldats y ont été littéralement massacrés sans que personne n’ait vu ou entendu quoi que ce soit. Pourtant, la forteresse était réputée imprenable. Suite à ces odieux meurtres, le roi Yllias fait appel aux druides pour comprendre ce qui s’est passé et comment cela a pu se produire ? Mais pour lui, c’est le royaume du Rahimir, ennemi de toujours, qui est à l’origine de cette infamie. Avec ces meurtres, c’est la paix maintenue par le Pacte Ancien qui est menacée. La guerre entre les hommes est sur le point d’éclater à nouveau.


Pour l’empêcher, le druide Obrigan est dépêché sur les lieux afin de comprendre et d’innocenter ou au contraire d’incriminer les hommes du Nord. Il se rend à la citadelle accompagné de ses deux jeunes apprentis. Un spectacle aussi effroyable que sanglant les y attend. Cette manière de tuer, de dépecer les corps n’est pas humaine. Agir avec une telle violence, les hommes du Nord ne peuvent pas en être responsables. Pour Obrigan, la cause est ailleurs. Ainsi, il demande au roi du Sonrygar un délai pour lui permettre de trouver les vrais coupables. Mais ce dernier ne lui accorde que vingt et un jours avant de déclarer la guerre au Rahimir. Obrigan le sait, c’est dans une course contre la montre qu’il s’engage. C’est pourquoi, il charge Tobias de convaincre le souverain Yllias de changer sa position et Kesher de rester à la citadelle pour collecter des indices par l’intermédiaire du don afin d’élucider ces meurtres. Quant à lui, il décide de retourner à la Cité-Racine pour prendre conseil auprès des doyens.


Il sera secondé dans sa quête de vérité par l’héritier du Rahimir, et par une jeune druidesse. Ensemble ils vont faire de terribles découvertes, comme la légende des origines de l’ordre druidique qui a été fondée sur un mensonge.


Persécutés par les vrais coupables, des créatures des ténèbres, ils vont devoir lutter pour leur vie et pour comprendre pour quelles raisons celles-ci agissent ? C’est un itinéraire sanglant que vont suivre Obrigan et ses alliés, les conduisant toujours plus loin dans l’horreur.


Un roman de high fantasy particulièrement délectable. Olivier Peru a su marier les genres. En effet, même si clairement ici, il s’agit d’un univers fantasy, il y dissémine également des éléments de polar noir. Avec une écriture incisive, il nous prouve encore une fois que les hommes n’ont aucune limite dans l’abomination.


Druide, c’est la rencontre avec une nature sacrée, un peuple disparu, une magie ancestrale, mais cela met en scène aussi un monde menacé où le danger et la malveillance rôdent.


Authentique coup de cœur, ce roman est une révélation fantasy, quand sera-t-il pour vous ?


Voici un livre qui a connu un grand succès et que j’avais hâte de découvrir à mon tour et en effet son succès est largement mérité, c’est un des meilleurs romans de fantasy que j’aie jamais lu.

Obrigan, un druide de l’ordre du loup est appelé dans la ville de Wishneight pour enquêter sur le massacre sanglant de 49 guerriers. Le roi Yllas déteste son voisin, le roi du Rahimir, les deux royaumes sautent sur le moindre prétexte pour se faire la guerre et Yllas pense que ses voisins sont coupables du massacre, ce dont il compte bien les punir. Obrigan, accompagné de ses deux jeunes apprentis obtient un délai de trois semaines pour démasquer le vrai coupable. Au cours de son enquête il se rend compte que son univers et son ordre sont basés sur un mensonge. Il doit percer un secret ancestral pour préserver la paix fragile entre les deux royaumes. Un passé honteux remonte brutalement à la surface et se déchaîne. Des assassins aux yeux jaunes traquent Obrigan dans la forêt. Les druides devront se battre pour sauver leur monde.

On suit l’enquête du druide au cours de ce roman mi-fantasy, mi-thriller plein de rebondissements. Les seuls personnages du livre sont des hommes, il n’y a pas de magicien, de dragon ou autre créature imaginaire, ce qui change agréablement de la fantasy classique. Les personnages sont très travaillés et surtout ne sont pas manichéens, il n’y a pas les bons d’un côté et les méchants de l’autre, j’ai beaucoup apprécié cet aspect-là qui manque souvent dans les romans de fantasy.

Le lecteur est pris dans l’ambiance mystérieuse de ce roman, il a l’impression de vivre l’enquête en même temps que les héros. Certaines scènes sont très sanglantes, mais cela ne m’a pas dérangée. Peru n’a pas tiré tout le potentiel de certains personnages, très développés dans la première partie et qui disparaissent ensuite presque complètement du récit, mais n’oublions pas que c’est un premier roman.

C’est un gros coup de coeur que je vous recommande chaleureusement.

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