Gheritarish : Les terres de sang
  • Date de parution 08/09/2011
  • Nombre de pages 573
  • Poids de l’article 293 gr
  • ISBN-13 9782266202060
  • Editeur POCKET
  • Format 178 x 109 mm
  • Edition Livre de poche
Dark Fantasy Heroic Fantasy Ouvrage de référence de l'auteur

Gheritarish : Les terres de sang

3.83 / 5 (62 notes des lecteurs Babelio)

Résumé éditeur

Aux confins du plan primaire s'étendent les Terres de Sang. Une région aride et sauvage dévastée autrefois par la guerre entre la Lumière, les Ténèbres et le Chaos, où se déchaînent parfois des tempêtes de magie meurtrières et incontrôlées. Ici, n'existe qu'une seule loi, celle du plus fort. Certains s'y aventurent en quête d'une vie nouvelle ; d'autres, à la recherche de fabuleux trésors de légende. Voici l'histoire de l'un d'entre eux : Gheritarish, guerrier Loki, mercenaire du Chaos. " Grâce à une plume extrêmement visuelle, Michel Robert nous livre un roman abouti aussi bien dans les descriptions des paysages que dans les combats ou les scènes érotiques. " ActuSF

Rupture éditeur

  • Date de parution 08/09/2011
  • Nombre de pages 573
  • Poids de l’article 293 gr
  • ISBN-13 9782266202060
  • Editeur POCKET
  • Format 178 x 109 mm
  • Edition Livre de poche

l’avis des lecteurs

Quatrième de couv ‘ :

Aux confins du plan primaire, loin des glorieuses cités-franches, s’étendent les Terres de Sang. Une immense étendue aride et sauvage dévastée autrefois par la grande guerre entre la Lumière, les Ténèbres et le Chaos, où se déchaînent parfois des tempêtes de magie meurtrières et incontrôlées. Ici, les races se mélangent. Ici, n’existe qu’une seule loi, celle du plus fort. Certains s’y aventurent en quête vie nouvelle; d’autres, à la recherche de fabuleux trésors que la légende prétend enfouis au cœur des terres encore inexplorées. Voici l’histoire de l’un d’entre eux: Gheritarish, guerrier Loki, mercenaire du Chaos.

Mon avis :

Un petit cadeau de mon namoureuse chérie pour Nowel dernier, MERKIIII, comme l’auteur sera aux Trolls et légendes, j’en profite pour le sortir :

Gheritarish est le second couteau dans la série principale L’agent des ombres avec le fameux Cellendhyl de Cortavar comme personnage principal. J’aime beaucoup cette série même si la représentation féminine n’est pas fameuse voire inexistante en dehors de la prostitution, c’est 100% testostérone, des mecs, des durs, qui s’en prennent plein la gueule et rendent puissance 1000 Quand j’ai vu que ce spin-off avait été écrit à la demande des fans ça m’a un peu crispée j’avoue, et c’est effectivement un peu moins bon qu’avec Cellendhyl mais on y retrouve les recettes qui marchent avec la saga première.

Gheritarish est un guerrier du Chaos qui prend quelques mois de vacances et il joue sa destination à pile ou face, bien vite on va comprendre que des entités sont toujours à l’affût pour jouer avec la destinée des personnages dont ce fameux être bizarre qu’on croise régulièrement, Maurice. Seuls les lecteurs de L’agent des ombres sauront à peu près le remettre bien qu’il reste encore très mystérieux J’avais tout de même envie de savoir ce qui était arrivé à notre guerrier bleu avant de lire son retour dans le T8 avec Cellendhyl. Pas de doute, il s’en prend plein la tronche et manque mourir à 2 ou 3 reprises mais c’est sans compter les divinités qui mettent leur grain de sel pour récupérer un objet mystère…Leur marionnette doit rester en vie.

Bon, voyons si j’ai bien retenu ma leçon auprès d’Apophis, c’est de la fantasy violente, mercenariat de Gheritarish, on se déplace dans ce monde à travers des portails qui mènent à différents plans d’existence et le contexte de la Bordure est type Farwest, on se trouve donc dans de la Science Dark Fantasy sauce Western, yeah ah  avec une amourette désastreuse parce que les perso tu vois ils en bavent genre Tout Le Temps, Michel Robert est un sadique

Comme d’habitude, dès qu’il y a une scène de banquet j’ai qu’une envie, c’est de me munir d’une fourchette et tout goûter, même le vin (l’auteur est amateur d’œnologie et ça se sent) alors que je ne bois pas d’alcool.

En pointillé on a une dénonciation du racisme avec ce guerrier qui se prend beaucoup de « peau bleue » par ses ennemis, et dans le contexte Western sur territoire gorgé de magie brute on y croise des tribus Indies qui forcément nous font pensés aux Indiens d’Amerique avec guerres de tribus et chamanisme (vite fait).

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