La vérité sur l'affaire Harry Quebert
  • Date de parution 10/03/2022
  • Nombre de pages 669
  • Poids de l’article 778 gr
  • ISBN-13 9782889730063
  • Editeur ROSIE WOLFE
  • Format 227 x 157 mm
  • Edition Grand format
Romans policiers États-Unis Ouvrage de référence de l'auteur Vraiment Bon livre 21em siècle Thriller

La vérité sur l'affaire Harry Quebert

4.20 / 5 (34965 notes des lecteurs Babelio)
AVIS DOLPO Vraiment bon livre
Personnages
Style - qualité d'écriture
Univers narratif - Description du, d'un monde
Intrigue, scénario, structure du livre

Résumé éditeur

Qui a tué Nola Kellergan?À la fin de l'été 1975, à Aurora, dans le New Hampshire, Nola Kellergan, une jeune fille de quinze ans, disparaît dans des conditions mystérieuses. Au printemps 2008, à New York, Marcus Goldman, jeune écrivain à succès, est incapable d'écrire le nouveau roman qu'il doit remettre à son éditeur. Dans l'espoir de retrouver l'inspiration, il s'installe pour quelques semaines à Aurora, auprès de son ami et ancien professeur d'université, Harry Quebert, l'un des écrivains les plus respectés du pays. Peu après son retour à New York tout bascule : le cadavre de Nola Kellergan est retrouvé dans la propriété de Harry Quebert. Celui-ci, accusé du meurtre de la jeune femme, est immédiatement arrêté par la police. Convaincu de l'innocence de Harry, Marcus abandonne tout pour se rendre dans le New Hampshire et mener sa propre enquête. Il va rapidement être dépassé par les évènements.

En stock

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  • Date de parution 10/03/2022
  • Nombre de pages 669
  • Poids de l’article 778 gr
  • ISBN-13 9782889730063
  • Editeur ROSIE WOLFE
  • Format 227 x 157 mm
  • Edition Grand format

l’avis des lecteurs

Ce roman… déjà, alors que je prends souvent les résumés des éditeurs des livres, j’ai écrit mon propre résumé tellement ce livre m’a chamboulée.

Déjà, il faut savoir que je ne suis pas très policier, j’en lis comme ça, mais ce n’est pas ce que je préfère. Mais alors que tout le monde en parlait autour de moi, c’est une amie qui a les mêmes goûts que moi, qui m’a convaincue de lire La vérité sur l’affaire Harry Quebert.

Je n’ai pas été déçue ! Et là je suis en train de me dire que tout ce que je pense de ce roman ne tiendra pas ! Bon, d’abord… C’est évidemment un coup de cœur, la plume de l’auteur est vraiment addictive, des retournements de situations se font tout le long du roman, si bien que lorsque nous découvrons l’identité du coupable à la fin, nous ne nous y attendions pas le moindre du monde. Je pense que c’est là le véritable challenge pour un auteur de roman policier, de tenir le lecteur en suspense jusqu’au bout du récit et que la vérité ne soit pas attendue par les lecteurs.

« Ecrire, cela signifie que vous êtes capable de ressentir plus fort que les autres et de transmettre ensuite. »


Malgré sa taille (environ 800 pages), ce pavé se lit très rapidement même pour ceux qui ne lisent pas vite. En une semaine je l’avais terminé et j’étais totalement suprise au moment de la fin. La fin m’a attristée du fait de perdre les personnages auxquels je m’étais attachée au cours du livre.

Ce que j’ai beaucoup apprécié dans La Vérité sur l’affaire Harry Quevert, est le fait que lorsque les personnages racontent ce qu’ils ont vécu, l’auteur nous fait voyager dans le temps grâce à des flashback.

« – Marcus, savez-vous quel est le moyen de mesurer combien vous aimez quelqu’un?
– Non
– C’est de le perdre. »

Autre point : les citations. Si je devais vous mettre toutes les citations que j’ai aimé, je vous en mettrais 30. Les chapitres vont en nombre décroissant et à chaque début de chapitre, l’auteur à inséré des paroles de Marcus et de Harry qui sont magnifiques.

Les révélations dans ce roman nous surprennent sans que l’on s’y attende, non seulement dans le moment mais aussi dans leurs compositions.

Mais ce roman est rempli d’humour. J’ai eu plusieurs fou rires en lisant les frasques et les idées de Marcus durant son enfance, ou encore les discussions entre Marcus et sa mère.

« ’L’important n’est pas la chute, parce que la chute, elle, est inévitable, l’important est de savoir se relever .« 


J’espère que mon avis vous aura plu et qu’il vous a donné envie de lire La Vérité sur l’affaire Harry Quebert. N’hésitez pas à écrire dans les commentaires si vous l’avez lu, si vous avez déjà lu un livre de l’auteur, ou déjà lu un roman semblable.

 » Un bon livre, Marcus, est un livre que l’on regrette d’avoir terminé. « 


En dépit de la note d’intention de l’éditeur qui semble avoir été reprise par tous les critiques et bloggeurs littéraires, La Vérité sur l’Affaire Harry Québert est un polar. Mais, comme si l’on avait voulu le débarasser de ce titre de genre infamant et l’introduire dans les « grands salons littéraires parisiens », on évoque avant tout les thèmes de second plan que sont la relation écrivain-public, les clés et les notions du succès et les affres de la création. Il est pourtant évident que la question qui taraude le lecteur et qui fait qu’il tourne les pages sans pouvoir s’arrêter, c’est de savoir qui a tué la jeune Nola Kellergan, disparue en 1975 et dont le cadavre est découvert trente ans plus tard dans le jardin de l’écrivain de renom Harry Quebert que tout accuse puisqu’il admet avoir eu une liaison avec cette jeune fille de 15 ans. C’est son ami et ancien étudiant, Marcus Goldman, jeune écrivain à succès, momentanément en panne d’inpiration qui mènera son enquête dans cette petite ville d’Aurora du New Hampshire pour découvrir ce qu’il s’est réellement passé durant cet été de 1975.

Une liaison entre un homme de plus de trente ans et une jeune adolescente et l’on ne manquera pas d’évoquer Lolita de Nabokov. Une jeune fille assassinée dans une petite ville d’Amérique et l’on se rapellera sans doute de la série Twin Peaks. Pour les affres de la création on ne peut s’empêcher de penser à Misery ou Shining de Stephen King. Il y a un peu de tout cela dans la Vérité sur l’Affaire Harry Quebert même si Joël Dicker nous livre dans son roman des personnages beaucoup plus lisses et beaucoup moins torturés.

Mais que l’on ne s’y trompe pas, La Vérité sur l’Affaire Harry Quebert est un ouvrage qui se lit d’une traite grace notamment à sa superbe construction narrative qui entraîne le lecteur d’une époque à l’autre au gré des multiples rebondissements qui jalonnent l’histoire et des différents points de vue des protagonistes sur les évènements relatés. Une écriture convenue mais extrèmement fluide nous permet de venir à bout des 670 pages de ce récit en découvrant l’atmosphère presque surrannée de cette petite ville du New Hampshire. Une Amérique qui correspond bien à la couverture du livre avec ce tableau d’Edward Hopper qui nous livre l’image idillyque d’une petite ville bien propre sur elle mais dont on ne peut s’empêcher de ressentir un sentiment de malaise ou d’inquiétude.

En guise d’introduction à chacun des chapitres, on découvrira les 31 conseils que Harry Quebert prodigue à son jeune étudiant pour façonner un grand roman à succès ce qui explique le décompte de cette numérotation des chapitres. Des conseils qu’il faudra mettre en perpective avec l’un des derniers rebondissement concernant l’un des protagonistes de cet excellent polar.

Le succès, le rapport avec le public, tout cela fait écho avec le battage médiatique qui concerne ce jeune auteur genevois qui vient de se voir attribuer le Grand Prix de l’Académie Française et qui reste encore en lice pour le prestigieux Prix Goncourt. Ce qui est réjouissant c’est que Joël Dicker semble avoir adopté un rapport décomplexé avec le succès à l’instar des auteurs nord-américain dont il décrit les affres et les vicissitudes mais également la satisfaction et la plénitude de se savoir apprécié par un public conquis par le talent mais également par les subterfuges du marketing.

Ne lui en déplaise, Joël Dicker est un auteur de polar qui a su se saisir des codes pour construire un récit haletant. Mais peut-être est-ce en même temps l’échec de l’écrivain qui prétend ne pas lire ce genre de roman et qui semble, dans ses entretiens, absolument vouloir réduire l’aspect polar de son récit pour mettre en avant l’évocation des mécanismes de la création littéraire et les rapports entre l’élève et le maître qui ne sont pourtant qu’une succession de clichés convenus qui n’apportent pas grand chose au cœur du récit.

Finalement ce qu’il manque sur la couverture, juste en dessous du titre, c’est l’adjectif « policier » accolé au mot « Roman » pour faire de la Vérité sur l’Affaire Harry Quebert un roman de genre pleinement assumé. Mais est-ce qu’un grand prix littéraire récompensera un polar pleinement assumé ? En guise de réponse il faudra se pencher sur la souffrance de l’imposture et le poids du marketing qui sont également des sujets abordés dans ce magnifique récit. Deux sujets qui résonnent étrangement autour de la trajectoire médiatique dont l’auteur et son roman font désormais l’objet.

Quatrième de couverture


A New York, au printemps 2008, Harry Quebert, l'un des écrivains les plus respectés du pays, se retrouve accusé d'avoir assassiné, en 1975, Nola Kellergan, une jeune fille de 15 ans, avec qui il aurait eu une liaison. Convaincu de l'innocence de son ami Harry, Marcus Goldman, jeune écrivain à succès, abandonne tout pour se rendre dans le New Hampshire et mener son enquête.


Mon avis


Au fond les écrivains n'écrivent qu'un seul livre par vie...


Mes habitudes de lecture sont plutôt du style boulimique, je me plonge dans les livres et je lis en apnée. Cette fois-ci, j'ai abordé ce livre d'une autre façon : une lecture régulière, plusieurs chapitres par jour, mais limitée. Cela m'a sans doute permis de prendre du recul par rapport à un style parfois emphatique, notamment lorsque Harry parle du « métier » d'écrivain... avec des formulations qui m'ont semblé parfois « ampoulées »....


« Écrivez parce que c'est le seul moyen pour vous de faire de cette minuscule chose insignifiante qu'on appelle vie une expérience valable et gratifiante.

Écrivez pour donner du sens à votre vie. »


En dehors de ces détails, j'ai apprécié cette lecture malgré une pléthore de rebondissements qui gâchent un peu l'ensemble.

Les personnages et leurs travers (sans mauvais jeux de mots) sont abordés avec doigté pour que nous les découvrions petit à petit, avec leur face sombre mais aussi l'amour qui envahit la vie de chacun...


Le fait qu'un homme ou une femme admiré, adulé, ovationné, puisse être détruit en temps record, est bien décortiqué. Il suffit de peu, une rumeur, une photo, un voisin qui fait courir un bruit... L'ambiance d'un petit village où tout se sait mais « moi je ne dis rien, ce n'est pas mon problème » est habilement retranscrite. Le livre dans le livre avec une chronologie à l'envers est également un bon point car c'est une construction qui évite toute lassitude avec les avancées, les retours en arrière et le point de vue des uns et des autres.


J'avais, bien entendu, beaucoup entendu parler de cet ouvrage à sa sortie et j'attendais la bonne occasion pour le lire. Je ne regrette rien, je n'ai pas vu le temps passer et la construction assez originale et le suspense (même un peu exagéré) m'ont satisfaite.

Marcus Goldman, écrivain qui a connu un succès phénoménal avec son premier roman, est victime de la page blanche en 2008. Plus d’inspiration. Il rejoint son ami et mentor, Harry Quebert, écrivain célèbre qui fut son professeur. Mais Marcus finit par retourner à New York, toujours incapable de commencer le moindre manuscrit. Soudain, le corps d’une adolescente portée disparue depuis 1975 est retrouvé dans le jardin d’Harry, qui avoue aux policiers avoir aimé cette jeune fille. Le scandale est retentissant ; toute l’Amérique voue aux gémonies l’ancien auteur respecté. Mais Marcus ne croit pas que son ami ait pu la tuer, et il revient à Aurora pour mener son enquête.


Ce roman policier a connu un destin incroyable, que faut-il en penser quand on le lit plusieurs années plus tard, une fois que la vague est passée ? A mon, avis, il s’agit un bon polar, qui contient certains ingrédients qui ont fait le succès du genre : une ambiance américaine, et plus précisément cette Amérique campagnarde où tout le monde se connaît, de multiples personnages qui cachent des secrets, des fausses pistes et des rebondissements qui rebattent les cartes.


L’histoire utilise aussi la mise en abîme : un roman qui décrit un écrivain qui écrit un roman sur une enquête en cours. Pourtant, cet élément n’est pas le plus intéressant de l’intrigue, car les conseils du mentor sur l’écriture — ou sur la vie — ne sont pas extraordinaires.


En regardant des critiques, j’ai vu que certains lecteurs attendaient beaucoup du livre grâce aux prix reçus (dont le prix Goncourt des Lycéens et le prestigieux prix de l’Académie Française), et qu’ils avaient été déçus. Je reconnais que ces belles récompenses étonnent, notamment le prix de l’Académie Française : la prose est classique mais sans effet, le vocabulaire courant et les dialogues peu recherchés. Les mots d’amour ne font pas vibrer, loin de là ; et les extraits du merveilleux roman qu’aurait écrit Harry Quebert sont quelconques. C’est même le point faible du roman : il est difficile de croire au livre publié dans les années 70 qui serait reconnu comme un chef d’œuvre quand les morceaux choisis sont si pauvres ; il est impossible de se figurer un amour lumineux entre Nola et Harry alors que leurs déclarations d’amour sont si basiques.


Malgré tout, Joël Dicker sait mener une intrigue policière, et il a un certain talent de « page turner ». À tout moment, le lecteur se demande qui est l’assassin, et la fin m’a surprise (dans le bon sens : un polar où la résolution de l’énigme n’était pas aisée, avec un élément sur le fameux roman qui a rendu célèbre Harry qui m’a plu).


En conclusion : à lire comme un policier solide qui ménage ses révélations, et c’est déjà beaucoup.

À New York, au printemps 2008, lorsque l’Amérique bruisse des prémices de l’élection présidentielle, Marcus Goldman, jeune écrivain à succès, est dans la tourmente : il est incapable d’écrire le nouveau roman qu’il doit remettre à son éditeur d’ici quelques mois. Le délai est près d’expirer quand soudain tout bascule pour lui : son ami et ancien professeur d’université, Harry Quebert, l’un des écrivains les plus respectés du pays, est rattrapé par son passé et se retrouve accusé d avoir assassiné, en 1975, Nola Kellergan, une jeune fille de 15 ans, avec qui il aurait eu une liaison.

Convaincu de l’innocence de Harry, Marcus abandonne tout pour se rendre dans le New Hampshire et mener son enquête. Il est rapidement dépassé par les événements : l’enquête s’enfonce et il fait l’objet de menaces. Pour innocenter Harry et sauver sa carrière d écrivain, il doit absolument répondre à trois questions : Qui a tué Nola Kellergan ? Que s’est-il passé dans le New Hampshire à l’été 1975 ? Et comment écrit-on un roman à succès ?

 

Voilà un roman dont j’avais entendu beaucoup de bien et qui me tentait depuis un petit moment. Aussi, quand une gentille collègue a proposé de me le prêter, je n’ai pas hésiter. Je me suis aussitôt plongée dans cette lecture et quel bonheur! Je regrette de l’avoir terminé aussi vite. C’est un coup de cœur pour moi. Cela faisait bien longtemps qu’un roman ne m’avait pas fait cet effet: lire pendant des heures sans pouvoir s’arrêter en se disant « ok, après ce chapitre j’arrête » mais sans pouvoir s’empêcher de tourner les pages suivantes!

C’est simple: j’ai tout aimé dans ce roman. A commencer par les personnages. Il y a d’abord Marcus, ce jeune écrivain, qui après avoir connu un énorme succès tombe en panne d’inspiration. Pour remédier à cela, il se tourne vers son mentor, Harry Québert, écrivain lui aussi et très renommé au point qu’il donne des conférences et enseigne à la fac de Burrows. Ces deux hommes sont liés par une amitié très forte dont l’origine nous est relatée à travers les différents chapitres du livre. Cette amitié se nourrit de littérature, de sport mais aussi du doute d’être un bon écrivain, du questionnement et du dépassement de soi. Cette relation entre les deux hommes m’a énormément touchée car l’auteur, Joël Dicker, parvient à en transcrire toute la beauté, sans jamais tomber dans le pathos. Cette amitié atteint son acmé lorsque Harry est accusé du meurtre d’une jeune fille, disparue depuis 33 ans. Marcus va alors tout faire pour innocenter son ami.

C’est aussi cette intrigue menée tambour battant qui m’a tant plu dans le livre. Il n’y a pas un seul temps mort. Le lecteur suit l’enquête menée par Marcus et découvre en même temps que celui-ci des secrets jusque là inavoués par Harry, à commencer par cette histoire d’amour complètement folle dont il ne se remettra jamais. Comme Marcus nous tâtonnons. Comme il en fait part un peu plus loin dans le roman: « comment mène-t-on une enquête? ». En effet, Marcus est écrivain, pas policier. C’est donc en reconstituant cette fameuse journée du 30 août, jour de la disparition de la jeune Nola Kellergan, et en imaginant ce qui aurait pu se passer qu’il va tenter d’éclaircir ce mystère. Les révélations vont bon train et je me suis fait baladée d’un bout à l’autre par l’auteur qui mène son intrigue d’une manière presque démoniaque. Parce qu’au-delà de l’intrigue, l’auteur mène une réflexion sur les pouvoirs du roman et de l’écriture. Qu’est-ce qui fait qu’une histoire est crédible et tient son lecteur en haleine? Comment bien écrire? Comment rencontrer le succès? Ces questions Marcus se les pose et les pose aussi au lecteur.

Enfin, j’ai adoré l’atmosphère créée par l’auteur. L’intrigue se déroule sur la côte Est des États-Unis. L’auteur décrit à la fois une Amérique pétrie de traditions mais aussi dominée par l’intelligentsia. La petite ville d’Aurora est la ville typique des USA telle qu’on se l’imagine: ses gentils petits parterres de fleurs, ses rues propres et entretenues, son unique diner mais aussi sa plage encore sauvage. Quand Harry débarque un beau jour, c’est l’effervescence: pensez-vous! Un grand écrivain qui vient vivre à Aurora. Il attire même toutes les convoitises du beau sexe. Harry habite dans ce havre de paix, à Goose Crove, une magnifique demeure au bord de l’océan d’où il peut nourrir les mouettes. Sa vie se partage entre l’écriture, les longues promenades au bord de l’eau et sa visite quotidienne au Clark’s, le diner de la ville. Mais sous cette belle façade, chacun cache un secret inavouable qui sera bientôt mis au jour par Marcus… Joël Dicker a le don de montrer au lecteur que le beau vernis a tendance à se craqueler pour montrer la face la plus noire de l’humanité.

C’est donc un coup de cœur pour moi. Ce roman m’a tenue en haleine jusqu’au bout et ma lecture actuelle me paraît bien fade en comparaison du monde créé par Joël Dicker et du rythme endiablé auquel il m’a habitué pendant quelques jours…



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