Humaine trop humaine
  • Date de parution 06/09/2019
  • Nombre de pages 120
  • Poids de l’article 390 gr
  • ISBN-13 9782366294767
  • Editeur ACTUSF
  • Format 180 x 110 mm
  • Edition Livre de poche
Urban Fantasy Vampires & Loup-Garou Bit lit Fantasy parodique Anticipation Ouvrage de référence de l'auteur

Humaine trop humaine

3.99 / 5 (50 notes des lecteurs Babelio)

Résumé éditeur

Je m'appelle Agnès Cleyre et je suis une sorcière. Une vraie cette fois. Ignorée durant toute mon existence par mes consoeurs, voilà que la Grande Mère a enfin décidé de m'intégrer dans un convent. Mais pas le temps de m'interroger sur cet étrange revirement de situation. Au même moment, tous les vampires du Cénacle Majeur viennent de périr dans un mystérieux attentat, laissant à l'étude notariale de mon oncle la délicate question de la succession à régler et la garde d'un étrange coffre qui attire bien des convoitises. Serait-ce à cause de lui d'ailleurs qu'une pieuvre géante de l'espace s'est mise en tête de nous rayer de la surface de la Terre ?<br /> <br /> <br /> <br /> Ma parole, tout l'AlterMonde semble devenir fou au même moment. Il ne manquerait plus que la fin du monde...

livré en 5 jours

livré en 5 jours

  • Date de parution 06/09/2019
  • Nombre de pages 120
  • Poids de l’article 390 gr
  • ISBN-13 9782366294767
  • Editeur ACTUSF
  • Format 180 x 110 mm
  • Edition Livre de poche

l’avis des lecteurs

Ah qu’il est bon d’avoir des références sûres sur lesquelles retomber avec confiance en cas de coup dur. Après un rare et douloureux abandon avec À la pointe de l’épée, quelques doutes sur ma capacité à me replonger durablement dans un roman un peu long, il me fallait quelque chose pour me remettre d’aplomb. Et de fait, après la plaisante et surprenant découverte de L’Héritière puis la délicieuse continuation d’Alouettes, j’avais toutes les raisons de croire qu’Humain.e.s, trop humain.e.s ferait office d’un tremplin de retour tout à fait acceptable dans mes affaires littéraires ; entre la légèreté attendue de sa narration et son exigence thématique, je me disais que l’équilibre serait bon.

Erreur, il était excellent, à l’instar du roman lui-même, qui vient conclure avec brio une trilogie que je pourrais désormais affirmer adorer, en particulier ce troisième et dernier volume.

Et évidemment, je vais vous expliquer précisément pourquoi.


Quelques temps après les événements d’Alouettes, la vie a plus ou moins repris son court dans l’office notariale de Géraud et Agnès, souffrant encore de tous les dossiers de divorce découlant encore de la récente épidémie de Roméo & Juliette ayant touché l’AlterMonde. On s’ennuierait presque. Sauf que voilà que débarque, confié par le Cénacle Majeur des Vampires parisiens, un étrange coffre, qui semble déchaîner plus d’une convoitise. À tel point qu’on pourrait croire que l’apocalypse approche, et pour de bon.


Évacuons d’emblée l’évidence : les bases sont solides. Très solides. Forcément, avec deux très bons volumes sous le coude, Jeanne-A Debats partait gagnante. Entre le casting désormais bien connu et attaché à nos petites émotions, le world-building complet et précis qui ne souffre plus d’aucun risque d’incompréhension ou d’impression d’incohérence, on peut se concentrer sur le bouclage définitif de tous les enjeux préparés auparavant. Et évidemment, de ce point de vue, c’est une complète réussite à mes yeux. Si j’ai aimé le très léger changement de format narratif, qui vient éclairer certaines choses selon un point de vue nouveau à l’aune de la saga, j’ai surtout beaucoup aimé la confiance de l’autrice en son lectorat, qui vient reboucler sur toutes les informations précédemment disséminées à coup de références plus ou moins subtiles et de rappels aussi malins qu’efficaces. Du pur point de vue de l’intrigue, mon grand plaisir a été de voir mes effort d’attention récompensés ; anticipant certaines choses, d’autres un peu moins, mais sans jamais me sentir perdu ni trahi, et encore moins déçu.


Mais là où je dois dire que j’ai été surpris, encore plus positivement, c’est du point de vue thématique. Pendant très longtemps, je me suis cru partisan d’une inclusivité relativement douce en Littérature, de quelque genre qu’elle soit. Aborder tous les thèmes, mais pas forcément frontalement ou au travers d’un prisme trop unique qui en réduirait la force évocatrice. Si cela fait déjà un certain temps que je doute moi-même de cette approche au fil de mes découvertes, Jeanne-A Debats a définitivement fini de me convaincre que j’avais tort ; ou du moins qu’il me faut sévèrement nuancer mon opinion à ce sujet. Parce que bon sang, ce que ce roman est énervé, et quel plaisir c’est que de le lire. S’il ne se départit évidemment pas de son humour ravageur, il sait régulièrement, et avec une force rare, nous balancer quelques scènes d’anthologie en pleine tronche sans prendre de gants autre que des gants de boxe. Si un roman se passant dans le futur devait vous convaincre que parler du futur c’est avant tout parler du présent ; en voilà un magnifique exemple.


Et si on ajoute à ce ton délicieusement revendicatif l’efficacité de ses démonstrations et le même sens de l’équilibre que dans les volumes précédents, forcément, on arrive à un excellent roman, et de fait, à une excellente trilogie. D’autant, d’ailleurs, qu’elle a su à mon goût se conclure de la meilleure des façons, aussi spectaculaire qu’intime, laissant la place à toutes les émotions qu’on aimerait retrouver dans une grande œuvre. Si j’avais trouvé le deuxième tome parfaitement satisfaisant, j’ai trouvé que ce troisième était finalement le meilleur des trois, à la fois dans ses qualités de continuité, de renouvellement, et d’éclatement des conventions ; y compris au niveau de la trilogie à laquelle il appartient lui-même. Et ça aussi, je trouve ça assez cool, en soi, parce que ça dénote que sur les constats et les évolutions auxquel·le·s Jeanne-A Debats s’était elle-même astreinte au début de cette trilogie, elle en a trouvé de nouvelles à intégrer à sa fiction. J’aime cette capacité de remise en question et d’adaptation.


Donc voilà.

Pour le dire en bref, super troisième tome d’une super trilogie. La France a du talent, et Jeanne-A Debats est sans aucun doute une autrice avec laquelle ma bibliothèque va devoir compter à l’avenir : joyeuse perspective. Je ne vois guère ce que je pourrais rajouter sur tout ce que j’ai déjà dit, dans cette chronique ou les autres.

Alors je conclurai ici, sur le constat d’une inénarrable joie, celle de découvrir, encore et toujours, des ouvrages qui savent tout à la fois m’émouvoir (un peu), me faire rire (pas mal), et me faire réfléchir (beaucoup), dans un flux incessant de plaisir.

Un toast à cette découverte ci, et à la santé de la prochaine.

Ah qu’il est bon d’avoir des références sûres sur lesquelles retomber avec confiance en cas de coup dur. Après un rare et douloureux abandon avec À la pointe de l’épée, quelques doutes sur ma capacité à me replonger durablement dans un roman un peu long, il me fallait quelque chose pour me remettre d’aplomb. Et de fait, après la plaisante et surprenant découverte de L’Héritière puis la délicieuse continuation d’Alouettes, j’avais toutes les raisons de croire qu’Humain.e.s, trop humain.e.s ferait office d’un tremplin de retour tout à fait acceptable dans mes affaires littéraires ; entre la légèreté attendue de sa narration et son exigence thématique, je me disais que l’équilibre serait bon.

Erreur, il était excellent, à l’instar du roman lui-même, qui vient conclure avec brio une trilogie que je pourrais désormais affirmer adorer, en particulier ce troisième et dernier volume.

Et évidemment, je vais vous expliquer précisément pourquoi.

Quelques temps après les événements d’Alouettes, la vie a plus ou moins repris son court dans l’office notariale de Géraud et Agnès, souffrant encore de tous les dossiers de divorce découlant encore de la récente épidémie de Roméo & Juliette ayant touché l’AlterMonde. On s’ennuierait presque. Sauf que voilà que débarque, confié par le Cénacle Majeur des Vampires parisiens, un étrange coffre, qui semble déchaîner plus d’une convoitise. À tel point qu’on pourrait croire que l’apocalypse approche, et pour de bon.

Évacuons d’emblée l’évidence : les bases sont solides. Très solides. Forcément, avec deux très bons volumes sous le coude, Jeanne-A Debats partait gagnante. Entre le casting désormais bien connu et attaché à nos petites émotions, le world-building complet et précis qui ne souffre plus d’aucun risque d’incompréhension ou d’impression d’incohérence, on peut se concentrer sur le bouclage définitif de tous les enjeux préparés auparavant. Et évidemment, de ce point de vue, c’est une complète réussite à mes yeux. Si j’ai aimé le très léger changement de format narratif, qui vient éclairer certaines choses selon un point de vue nouveau à l’aune de la saga, j’ai surtout beaucoup aimé la confiance de l’autrice en son lectorat, qui vient reboucler sur toutes les informations précédemment disséminées à coup de références plus ou moins subtiles et de rappels aussi malins qu’efficaces. Du pur point de vue de l’intrigue, mon grand plaisir a été de voir mes effort d’attention récompensés ; anticipant certaines choses, d’autres un peu moins, mais sans jamais me sentir perdu ni trahi, et encore moins déçu.

Mais là où je dois dire que j’ai été surpris, encore plus positivement, c’est du point de vue thématique. Pendant très longtemps, je me suis cru partisan d’une inclusivité relativement douce en Littérature, de quelque genre qu’elle soit. Aborder tous les thèmes, mais pas forcément frontalement ou au travers d’un prisme trop unique qui en réduirait la force évocatrice. Si cela fait déjà un certain temps que je doute moi-même de cette approche au fil de mes découvertes, Jeanne-A Debats a définitivement fini de me convaincre que j’avais tort ; ou du moins qu’il me faut sévèrement nuancer mon opinion à ce sujet. Parce que bon sang, ce que ce roman est énervé, et quel plaisir c’est que de le lire. S’il ne se départit évidemment pas de son humour ravageur, il sait régulièrement, et avec une force rare, nous balancer quelques scènes d’anthologie en pleine tronche sans prendre de gants autre que des gants de boxe. Si un roman se passant dans le futur devait vous convaincre que parler du futur c’est avant tout parler du présent ; en voilà un magnifique exemple.

Et si on ajoute à ce ton délicieusement revendicatif l’efficacité de ses démonstrations et le même sens de l’équilibre que dans les volumes précédents, forcément, on arrive à un excellent roman, et de fait, à une excellente trilogie. D’autant, d’ailleurs, qu’elle a su à mon goût se conclure de la meilleure des façons, aussi spectaculaire qu’intime, laissant la place à toutes les émotions qu’on aimerait retrouver dans une grande œuvre. Si j’avais trouvé le deuxième tome parfaitement satisfaisant, j’ai trouvé que ce troisième était finalement le meilleur des trois, à la fois dans ses qualités de continuité, de renouvellement, et d’éclatement des conventions ; y compris au niveau de la trilogie à laquelle il appartient lui-même. Et ça aussi, je trouve ça assez cool, en soi, parce que ça dénote que sur les constats et les évolutions auxquel·le·s Jeanne-A Debats s’était elle-même astreinte au début de cette trilogie, elle en a trouvé de nouvelles à intégrer à sa fiction. J’aime cette capacité de remise en question et d’adaptation.

Donc voilà.

Pour le dire en bref, super troisième tome d’une super trilogie. La France a du talent, et Jeanne-A Debats est sans aucun doute une autrice avec laquelle ma bibliothèque va devoir compter à l’avenir : joyeuse perspective. Je ne vois guère ce que je pourrais rajouter sur tout ce que j’ai déjà dit, dans cette chronique ou les autres.

Alors je conclurai ici, sur le constat d’une inénarrable joie, celle de découvrir, encore et toujours, des ouvrages qui savent tout à la fois m’émouvoir (un peu), me faire rire (pas mal), et me faire réfléchir (beaucoup), dans un flux incessant de plaisir.

Un toast à cette découverte ci, et à la santé de la prochaine.


Un tome qui termine bien la trilogie, plein d’humour comme toujours, mais avec quelques défauts.

Agnès a enfin été acceptée dans un convent ! Un fait inhabituel totalement éclipsé par l’actualité car tous les vampires du Cénacle majeur meurent dans un attentat. Et voila donc l’étude notariale au centre de toutes les magouilles car le cénacle a légué un mystérieux coffre que tout le monde semble vouloir ouvrir …

Franchement c’était une bonne fin. Une façon de boucler totalement la trilogie mais aussi l’univers en lui même.

C’était un plaisir de retrouver tous nos personnages, de Navarre à Zalia ou Géraud. Ils sont vraiment fidèles à eux même tout du long.

On retrouve aussi l’humour toujours aussi présent, le ton caustique comme jamais, et qui m’a fait éclater de rire de nombreuses fois.

Du coup ça ne m’a pas du tout gêné que tout parte un peu dans tout les sens niveau intrigue, parce que ça reste vraiment dans l’esprit de la série et de l’humour, et ça c’était excellent.

Par contre il y a quelques points sur lesquels j’aimerais revenir parce qu’ils ont été plus mitigés.

Le premier point que j’ai moins aimé est la façon dont le coté militant est mis en œuvre dans ce tome. Et si c’est vrai qu’on abordait déjà dans les tomes précédents des sujets importants et militants, c’était plus subtil. Ici non, on a droit à un matraquage en règle de tous les problèmes actuels : la terre est trop peuplée il faudrait faire moins de bébés, oui, il y a du racisme envers les noirs, les gros, les asiatiques, les trans, les LGBT+ …, oui, la planète est dans une mauvaise phase parce que tout est pollué, il faudrait moins de voiture pour les particules fines, moins de nucléaire, oui, la police est violente et raciste … etc …Mais du coup j’ai trouvé que c’était un peu la sur-abondance niveau thèmes. On avait à peine le temps de parler d’un qu’on passait à un autre. Chaque sujet particulier était noyé dans la masse des autres et on avait l’impression qu’il ne se passait pas une scène sans qu’on n’en aborde un différent, à la chaine.

Du coup ça noyait aussi leur importance et leur impact car au final chaque thème est important mais face à l’accumulation on fini par les passer sans grand intérêt. C’est dommage !


Il y a pas mal de passages du livre n’ont lieu d’être que pour nous faire passer une des opinons de l’auteur sans avoir de réel intérêt dans l’intrigue. Avec à chaque fois un commentaire bien pensant d’un des personnages qui nous explique gentiment ce qu’on doit en penser. Et j’ai trouvé que ça faisait un peu maitresse d’école à nous donner des leçons.J’étais quasiment d’accord avec tout ce qui se disait mais je n’ai pas trop aimé la façon dont c’était fait, pour moi ce n’est pas très bien intégré.

D’autant plus que tout est vraiment centré sur les problèmes actuels de 2017. Je ne dis pas que ce n’est pas possible que dans 15-20 ans on n’en parle pas encore, mais ça m’étonnerais vraiment que par exemple le #notallmen reste dans les mémoires, après tout, qui se souvient vraiment des problèmes de ce genre de 1995 à l’heure actuelle?

Le dernier point a été pour moi les nouveaux personnages introduits dans ce tome. Notamment les deux sorcières du convent d’Agnès. J’ai eu l’impression qu’elles n’étaient la que pour ce que j’ai expliqué dans la partie précédente, qu’elles ne sont utile que pour nous faire la leçon.

En fait le problème c’est aussi que dés qu’elles sont apparues je les ai trouvé clichées. C’est peut être fait exprès, je ne sais pas, mais pourquoi faut-il que la guadeloupéenne soit grande et bien en chair alors que l’asiatique est très mince et androgyne? Pour un livre qui est autant militant j’ai trouvé ça un peu triste de tomber la dedans et ça m’a déplu. J’aurais préféré que ça soit l’inverse, pour changer.

On a peut être l’impression que je n’ai pas vraiment aimé ma lecture après avoir lu tout ça mais en fait non, en globalité c’était très sympa, surtout la fin.

(Il est toujours plus facile d’expliquer pourquoi on n’a pas aimé certains points que pourquoi on a aimé.)

15.5/20

Alors que 2019 vit ses derniers instants, je voulais conclure cette belle année de lectures, de découvertes littéraires et autres coups de cœur avec un grand cru de l'Imaginaire français


Reçu en service de presse, je me plonge enfin dans le final de cette saga vendue à 10 000 exemplaires. Mais avant toute chose, je remercie encore une fois Jérôme Vincent et les éditions ActuSF pour ce nouveau partenariat. 


Ainsi, Humain.e.s, trop humain.e.s conclut dans un joyeux bazar ce cycle de fantasy urbaine d'une autre trempe.


Un mystérieux coffre est arrivé à l'Etude de l'oncle Géraud. Le cénacle de dame Bathilde charge notre équipe de choc de veiller dessus en attendant de déterminer s'il en héritera maintenant que le Cénacle Majeur a été décimé par un attentat. Au même moment, une pieuvre géante, semblant venir de l'espace, fait irruption dans les locaux pour solliciter leur aide. Il semblerait que tout l'AlterMonde ait décidé de mettre le quotidien d'Agnès sens dessus-dessous comme si sa vie n'était pas déjà assez compliquée. 


Avec Humain.e.s, trop humain.e.s, Jeanne-A Debats signe un ultime tome à la mesure de son cycle. Rebondissements, révélations, retournements égrainent les chapitres de ce tome. 


Ses deux premiers volets ont semé suffisamment de petits cailloux intrigants pour achever cette trilogie en apothéose. Rappelons que la plus grande énigme ici reste le personnage d'Agnès, la narratrice de Jeanne-A Debats ou plutôt ses origines. Après tout à chaque aventure, on ne sait pas si elle est réellement la fille de son père, puis celle de sa mère. C'est même à se demander si elle est vraiment humaine. Finalement qui est Agnès ? Que de mystères autour de cette héroïne. Point de mire de notre attention, elle focalise tout notre intérêt. Mais au-delà de suivre ses péripéties toutes plus loufoques les unes des autres, partager le quotidien des autres héros de Jeanne-A Debats n'est pas mal non plus. Pensons à Navarre, par exemple. Voici également un personnage pivot que l'on apprécie. Alors, les extraits de ses mémoires glissés par l'autrice pour venir égayer les chapitres de ce roman sont bienvenues. Des passages qui nous éclairent sur le passé du vampire. Aimable distraction qui sert d’entracte mais qui aussi très révélateur, alors soyez attentifs ! 


Quelle magnifique découverte ! Testaments est une saga de fantasy urbaine innovante qui m'a autant tenue en haleine que fait rire. 


Somptueux bijou de l'Imaginaire français avec pour écrin une superbe écriture, ce cycle est assurément un incontournable du genre qu'il faut avoir lu.


AUTRES LIVRES DE Jeanne-A. Debats4
DOLPO RECOMMANDE4

Livraison soignée

Nos colis sont emballés avec soin pour des livres en excellent état

Conseil de libraires

et des sélections personnalisées pour les lecteurs du monde entier

1 millions de livres

romans, livres pour enfants, essais, BD, mangas, guides de voyages...

Paiement sécurisé

Les paiements sur notre site sont 100% sécurisés