Série Portulans de l'imaginaire Orson Scott Card
Portulans de l'imaginaire Tome 1 : L'Homme transformé - Récits d'angoisse
Résumé éditeur-
Avec L’Homme transformé (Récits d'angoisse), commence la publication en quatre volumes des nouvelles d’Orson Scott Card, un genre où le créateur d’Alvin et d’Ender excelle particulièrement.Récits d’angoisse plus que de terreur, car « des trois formes de la peur l’angoisse est la plus forte : c’est cette tension, cette attente qui naît quand on sait qu’il y a quelque chose à craindre mais qu’on n’a pas encore identifié l’objet de cette crainte ».Ainsi : « Je n’écris pas d’histoires d’horreur. C’est vrai, il arrive à mes personnages des événements désagréables, voire terribles, mais je ne vous les montre pas en technicolor. Je n’en ai pas besoin et je n’en ai pas envie parce que, pris par l’angoisse, vous imaginerez bien pire que tout ce que je pourrais inventer. »Traduit de l'anglais par Arnaud Mousnier-Lompré et Luc Carissimo.
Portulans de l'imaginaire Tome 2 : Avatars - Récits d'avenir
Résumé éditeur-
La science-fiction est la littérature des mutations. Elle s’attache à ce qu’elle perçoit de métamorphose en germe dans le monde et l’humanité d’aujourd’hui, et, par un décalage dans l’ailleurs et demain, ou dans la fable utopique, elle en présente l’image excédée.Les avenirs d’Orson Scott Card sont souvent terrifiants et les mutations qui nous guettent redoutables. C’est aussi que l’auteur est un moraliste, et les moralistes apprécient de frapper fort.Auprès de quoi L’Originiste, la dernière nouvelle du recueil, apparaît comme un apaisement : elle est, à travers l’emprunt de l’univers d’Isaac Asimov dans Fondation, une réflexion en amont sur la mutation primitive, celle qui a fait de l’animal un homme ; le créateur de récits, l’écrivain donc, y recueille son dû.Traduit de l'anglais par Arnaud Mousnier-Lompré.
Portulans de l'imaginaire Tome 4 : Cruels miracles - Contes de la mort, l'espoir et la sainteté
Résumé éditeur-
« Dans Cruels miracles, j’ai réuni celles de mes histoires qui traitent avec le plus d’évidence de questions religieuses rarement soulevées par les écrivains américains d’aujourd’hui, telles que la sainteté, la vénération, la foi, le réconfort, la responsabilité, la communauté. »On sait l’engagement de Card dans l’Église mormone. De fait, la lecture de ses livres majeurs – La Voix des morts et Xénocide, Les Maîtres Chanteurs, les Chroniques d’Alvin le Faiseur, etc. – révèle son intérêt profond pour la spiritualité et la façon dont elle s’exprime au sein des communautés humaines.L’homme n’avance pas masqué. Mais, auprès du croyant, il y a toujours le conteur, avec le même sens extraordinaire du récit et cette attention douloureuse aux personnages qui ont fait sa renommée.Traduit de l'anglais par Arnaud Mousnier-Lompré et Luc Carissimo.