Série Les Ferrailleurs Edward Carey
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Les Ferrailleurs Tome 1 : Le château
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Au milieu d'un océan de détritus composé de tous les rebuts de Londres se dresse la demeure des Ferrayor. Le Château, gigantesque puzzle architectural, abrite cette étrange famille depuis des générations. Selon la tradition, chacun de ses membres, à la naissance, se voit attribuer un objet particulier, qui le suivra toute sa vie.Clod a quinze ans et possède un don singulier : il est capable d'entendre parler les objets... Tout commence le jour où la poignée de porte appartenant à Tante Rosamud disparaît. Les murmures des objets se font de plus en plus insistants. Dehors, une terrible tempête menace. Et voici qu'une jeune orpheline se présente à la porte du Château... Entre Gormenghast, de Mervyn Peake, et les délices steampunk d’Otomo ou de China Miéville, féerie machinique peuplée de cauchemars gothiques, telle s’annonce l’histoire de la déchetterie fantastique d’Edward Carey. François Angelier, Le Monde des livres.
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Les Ferrailleurs Tome 2 : Le faubourg
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Rien ne va plus depuis que le château de l'extravagante famille Ferrayor a croulé sous l'assaut des objets rendus à la vie. Clod erre dans une ville ravagée. Lucy Pennant, sa complice, perdue dans les profondeurs d’une décharge, fait la rencontre d’une créature aussi monstrueuse qu’attachante. Pourchassés, nos deux héros vont devoir s’unir pour déjouer les plans du tyran qui asservit le peuple du Faubourg.Ce deuxième volume de la « Trilogie des Ferrailleurs » confirme le génie visionnaire d’un écrivain et dessinateur unique en son genre, « héritier des rêves illuminés de Borges, Calvino et Perec » (The New York Times Review of Books), démiurge d'un monde dont l'inquiétante étrangeté n'est pas sans rappeler notre propre réalité. On peut difficilement rester insensible au charme obscur et drolatique de cet univers. Ludovic Barbiéri, Chronic’art.Dickens revu et corrigé sur un mode fantaisiste. Bernard Quiriny, Le Magazine littéraire.
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Les Ferrailleurs Tome 3 : La ville
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La famille Ferrayor a laissé derrière elle les ruines fumantes de Fetidborough pour s'installer à Londres. Depuis, les Londoniens observent d'étranges phénomènes : des disparitions, des objets qui apparaissent, d'autres qui se transforment. Et cette nuit perpétuelle qui a envahi la ville…Pour éradiquer le fléau, la police est à la recherche de ces dangereux personnages. Clod va devoir choisir son camp, déchiré entre sa famille et les habitants de la capitale. À moins que la lumière ne vienne finalement d'un amour que Clod pensait enseveli. Dernier volume de la « Trilogie des Ferrailleurs », La Ville tient toutes ses promesses en concluant l'incroyable épopée de la famille Ferrayor. Après Le Château et Le Faubourg, Edward Carey déploie son talent d'écrivain et de dessinateur au service d'un univers inoubliable. Un héritier des rêves illuminés de Borges, Calvino et Perec. The New York Times Review of Book.Traduit de l’anglais par Alice Seelow.