Octobre
Résumé éditeur
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l’avis des lecteurs
Quatrième de couverture
Début octobre, dans la banlieue de Copenhague, la police découvre le cadavre d'une femme amputée d'une main. À côté du corps, un petit bonhomme fabriqué à partir de marrons et d'allumettes. Chargés de l'enquête, la jeune inspectrice Naia Thulin et l'inspecteur Mark Hess découvrent vite que cette figurine est porteuse de mystérieuses empreintes : celles de la fille de Rosa Hartung, ministre des Affaires Sociales, enlevée un an plus tôt et présumée morte. Thulin et Hess explorent toutes les pistes qui leur révèleraient un lien entre la disparition de la fille de la ministre et la victime à la main coupée.
Mon avis
Avant de commencer ce gros roman, je ne connaissais rien de l’auteur mais j’ai découvert ensuite qu’il avait créé une série réputée appelée « The Killing ». Maintenant que j’ai terminé ma lecture, je vais attendre avec impatience qu’il écrive à nouveau.
Au tout début du roman, une scène dans une ferme, aucun indice pour savoir comment elle va être liée à la suite du récit. Tout ne s’éclairera qu’à la fin. On passe ensuite au présent, en 2019, trente ans après. Des femmes sont découvertes mortes et il est très difficile pour les enquêteurs de comprendre pourquoi elles. Tout cela rebondit sur une affaire pourtant classée... Plus personne ne comprend, même pas le lecteur qui pourtant reste scotché aux pages tant ce récit est prenant.
Deux enquêteurs majeurs ont les rênes des investigations. Naia Thulin a de l’ambition, elle est vive, intuitive. Son collègue Mark Hess est là parce qu’il a été « puni » et éjecté d’Europol jusqu’à ce que les chefs décident de le réintégrer. Ils ne fonctionnent pas de la même façon et ont parfois du mal à collaborer, tant chacun veut préserver son jardin secret. Au-dessus d’eux, Nylander qui a résolu l’affaire classée et qui n’a pas du tout envie qu’on la ressorte. Inutile de dire que pour les deux policiers ce ne sera pas facile car il ne va en rien leur faciliter la tâche.
Ce recueil est captivant. On voit nettement les jeux d’influence entre les policiers, dans le milieu politique, ce qu’il est bon de faire pour rester politiquement correct. Il y a une atmosphère tout à fait palpable. Et surtout, pas un seul temps mort malgré le nombre de pages.
L’écriture (merci à la traductrice) est addictive. Le rythme ne faiblit pas et il y a continuellement quelque chose à découvrir. On ne peut pas comprendre qui agit dans l’ombre et pourtant on veut savoir alors on ne lâche plus le livre ! C’est ce qui m’est arrivé.
Récemment noté chez Dasola, "Octobre" n’a pas fait long feu sur mes étagères… Et il a tenu ses promesses, en alliant suspense haletant, richesse de l’intrigue et personnages consistants.
Une jeune mère est retrouvée morte et mutilée dans un square pour enfants de la banlieue de Copenhague. Ce meurtre est bientôt suivi d’un autre perpétré selon le même mode opératoire. La présence sur les scènes de crime de bonhommes en marron s’accompagne par ailleurs d’une inexplicable découverte, celle des empreintes de la fille adolescente de la ministre des affaires sociales Rosa Hartung, disparue un an auparavant et présumée morte, bien que les aveux de son assassin n’aient pas permis de retrouver son cadavre.
Naia Thulin est chargée de l’enquête. Cette jeune inspectrice et mère célibataire se languit de sa future mutation à la division de la cybercriminalité, où elle pourra bénéficier d’équipements high-tech au sein d’une équipe jeune et dynamique. Elle se voit adjoindre pour cette mission Mark Hess, qui vient d’être temporairement mis sur la touche par Europol, où il exerce depuis une dizaine d’années, dans le cadre d’une mesure punitive dont on ignore les motifs. Il la seconde en dilettante, ne pensant qu’à son retour à La Haye, ce qui finalement arrange Thulin, qui préfère enquêter seule, sans avoir dans les pattes cet importun collègue sans cesse collé à son portable…
Mais peu à peu, aiguillonnés par leur curiosité respective, ils s’investissent dans l’affaire au point de faire grincer des dents une hiérarchie réticente à rouvrir l’affaire Hartung, car davantage préoccupée par l’avancement et son taux de réussite que par la vérité. Le duo, tenace, et bien que souvent à contretemps, s’engage sur un terrain miné, et patauge…
On ne s’ennuie pas une seconde à la lecture d'"Octobre", roman addictif et très réussi, riche de rebondissements et de fausses pistes, dont l’intrigue, dense, est portée par des personnages (même secondaires) dotés d’une complexité qui les rend palpables. Søren Sveistrup nous fait entrevoir les dessous de cette société du bonheur qu’est censé représenter le froid Danemark, en abordant le glauque et douloureux sujet de la maltraitance infantile, et d’institutions qui peinent à y faire face…
Début octobre. La police fait une découverte macabre dans une banlieue de Copenhague. Une jeune femme a été tuée et abandonnée sur un terrain de jeu. On l’a amputée d’une main et au-dessus de sa tête pend un petit bonhomme en marrons. On confie l’affaire à la jeune inspectrice Naia Thulin, à qui on donne comme coéquipier un inspecteur en burn out, Mark Hess. Ils ne tardent pas à découvrir que le bonhomme en marrons est porteur de mystérieuses empreintes, celle de la fille de Rosa Hartung, ministre des Affaires Sociales, enlevée un an plus tôt et présumée morte. Mais un suspect a déjà avoué avoir assassiné la fillette et le dossier semble clos. Quelques jours plus tard, on découvre une deuxième femme assassinée et au-dessus de sa tête, un autre bonhomme en marrons sur lequel se trouvent à nouveau les empreintes de Kristine Hartung. Thulin et Hess cherchent un lien entre l’affaire de la disparition de la fille de la ministre, les femmes mortes et l’assassin qui sème la terreur dans tout le pays, et s’engagent dans une course contre la montre. Car ils en sont convaincus : le meurtrier est en mission et il n’en a pas encore terminé…
Tu le sens le gros coup de cœur là? Sans surprise, Octobre est LE thriller à lire en cette rentrée littéraire (il sort le 1er mars). Dès les premières pages, l’auteur nous propulse dans un bouquin qui happe le lecteur et qui ne le lâche qu’au bout des 634 pages, sans aucun regret.
Octobre fonctionne sur le mode de chapitres courts, resserrés sur l’intrigue et qui laisse toujours son lecteur en suspens, comme un équilibriste. Naia est flic à Copenhague. Elle se lasse de son travail et demande sa mutation. Mais voilà qu’on lui colle dans les pattes, Mark Hess, viré d’Europol. Les deux enquêteurs vont se retrouver face à une sombre affaire: on retrouve le cadavre mutilé d’une jeune mère de famille. A ses côtés, un drôle de petit bonhomme fabriqué en marrons, porteur d’empreintes! Oui mais voilà, ça ne colle pas. Les empreintes appartiennent à la fille de la ministre des affaires sociales, enlevée et présumée morte il y a un an! Est-elle toujours en vie? Qui a commis ce meurtre terrible? D’autant plus que les meurtres s’enchaînent et que le tueur court toujours…
Il y a tout dans ce thriller pour en faire un best-seller. Le rythme d’abord. Comme je le disais les chapitres sont courts et vous laisse toujours sur une phase ascendante qui vous oblige à enchaîner pour connaître la suite de l’intrigue. Cette dernière est le deuxième point fort du livre. Le lecteur est face à des crimes odieux: de jeunes mères de famille sont assassinées et mutilées sauvagement. Mais qu’ont-elles en commun? Plus on avance dans l’intrigue, plus on pénètre dans des affaires sombres et bien glauques. Et puis, il y a ce mystérieux tueur qui a toujours un coup d’avance sur la police, narguant les inspecteurs avec ces petits bonhommes en marrons, brouillant les pistes avec les empreintes d’une jeune adolescente disparue et présumée morte.
Soren Sveistrup joue avec les nerfs du lecteur et jusqu’au bout, je n’avais aucun soupçon quant à l’identité du tueur. Et j’ai été véritablement surprise. Je peux vous dire que cela fait du bien car très souvent je devine avant l’heure qui est le tueur. Et les 634 pages tiennent toute leur promesse. Je me suis éclatée avec ce livre et cela faisait bien longtemps que je n’avais pas ressenti cela pour un thriller. Soren Sveistrup nous tient en haleine jusqu’à la dernière page et on referme ce roman en ayant l’impression d’avoir lu un très très bon bouquin.
Un grand grand merci à Babelio et Albin Michel pour ce roman au rythme effréné, à l’ambiance angoissante que vous ne serez pas près de lâcher!
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