Le passe-partout
  • Date de parution 13/06/2024
  • Nombre de pages 192
  • Poids de l’article 1 gr
  • ISBN-13 9782073071590
  • Editeur FOLIO
  • Format 178 x 108 mm
  • Edition Livre de poche
Romans noirs Réédition moins d'1 an

Le passe-partout

3.56 / 5 (157 notes des lecteurs Babelio)

Résumé éditeur

La résidence K, édifice de briques rouges abritant des femmes célibataires, apparaît aux habitants de Tokyo comme une demeure tranquille pour dames respectables. Lorsque le passe-partout qui permet de pénétrer dans les cent cinquante chambres de I'immeuble disparaît de la loge de la gardienne, les locataires retiennent Ieur souffle. Car la clé n'ouvre pas seulement les portes, mais donne aussi accès aux secrets les plus intimes des résidentes. Certaines femmes ont tout intérêt à brouiller les pistes. Publié en 1962 au lapon, Le Passe-Partout est un grand classique du roman noir. Une pépite pleine de tension délicieusement tokyoïte.

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  • Date de parution 13/06/2024
  • Nombre de pages 192
  • Poids de l’article 1 gr
  • ISBN-13 9782073071590
  • Editeur FOLIO
  • Format 178 x 108 mm
  • Edition Livre de poche

l’avis des lecteurs

TTTT - Bravo "Le 1er avril 1951, une fine couche de neige a recouvert Tokyo. Un chauffeur imprudent perd le contrôle de sa camionnette et vient faucher une femme qui attendait au carrefour. Morte sur le coup, la victime que rien ne permet d’identifier, s’avère être un homme… Pas de détectives, ni d’enquêteurs dans ce roman noir de Masako Togawa. S’il évoque souvent l’atmosphère d’un (très) bon Simenon, tant dans sa peinture clinique et dépassionnée d’une microsociété que dans son économie de moyens, Le Passe-partout n’a pas son Maigret, mais une toute-puissante narratrice qui déroule le récit à son gré et prend surtout un malin plaisir à brouiller les pistes. Rapt d’enfant, vol d’un violon d’une valeur inestimable, secte apocalyptique, séances de spiritisme, effractions, lettres anonymes, crime, suicide, cadavre enterré au sous-sol : derrière sa façade austère et désuète, la Résidence K n’est pas exactement le havre de paix promis à ses pensionnaires ! Exclusivement réservé aux femmes seules, l’immeuble caritatif abrite une galerie d’habitantes singulières qui, sous les dehors proprets de l’indéfectible civilité japonaise, dissimulent d’insondables drames et des secrets couleur d’encre. Des « vies forteresses », n’était ce satané passe-partout qui ouvre tous les appartements de la résidence et passe de main en main. Portrait en creux d’une époque, l’immédiat après-guerre au Japon, les années grises de l’occupation américaine et de la reconstruction, le roman de Masako Togawa montre - non sans cruauté — qu’érudite, musicienne ou « simple » gardienne d’immeuble, il ne fait pas bon vieillir seule. No country for old (wo)men ! Grande figure de la littérature de genre dans l’archipel, Masako Togawa (1932-2016), qui fut également chanteuse, actrice et tenancière de boîte de nuit, livre ici un petit chef-d’œuvre de machiavélisme, un labyrinthe parfaitement conçu et agencé où le lecteur a autant de libre arbitre qu’un rat de laboratoire ou un moucheron dans une toile d’araignée. Horriblement délicieux."

TTTT - Bravo "Le 1er avril 1951, une fine couche de neige a recouvert Tokyo. Un chauffeur imprudent perd le contrôle de sa camionnette et vient faucher une femme qui attendait au carrefour. Morte sur le coup, la victime que rien ne permet d’identifier, s’avère être un homme… Pas de détectives, ni d’enquêteurs dans ce roman noir de Masako Togawa. S’il évoque souvent l’atmosphère d’un (très) bon Simenon, tant dans sa peinture clinique et dépassionnée d’une microsociété que dans son économie de moyens, Le Passe-partout n’a pas son Maigret, mais une toute-puissante narratrice qui déroule le récit à son gré et prend surtout un malin plaisir à brouiller les pistes. Rapt d’enfant, vol d’un violon d’une valeur inestimable, secte apocalyptique, séances de spiritisme, effractions, lettres anonymes, crime, suicide, cadavre enterré au sous-sol : derrière sa façade austère et désuète, la Résidence K n’est pas exactement le havre de paix promis à ses pensionnaires ! Exclusivement réservé aux femmes seules, l’immeuble caritatif abrite une galerie d’habitantes singulières qui, sous les dehors proprets de l’indéfectible civilité japonaise, dissimulent d’insondables drames et des secrets couleur d’encre. Des « vies forteresses », n’était ce satané passe-partout qui ouvre tous les appartements de la résidence et passe de main en main. Portrait en creux d’une époque, l’immédiat après-guerre au Japon, les années grises de l’occupation américaine et de la reconstruction, le roman de Masako Togawa montre - non sans cruauté — qu’érudite, musicienne ou « simple » gardienne d’immeuble, il ne fait pas bon vieillir seule. No country for old (wo)men ! Grande figure de la littérature de genre dans l’archipel, Masako Togawa (1932-2016), qui fut également chanteuse, actrice et tenancière de boîte de nuit, livre ici un petit chef-d’œuvre de machiavélisme, un labyrinthe parfaitement conçu et agencé où le lecteur a autant de libre arbitre qu’un rat de laboratoire ou un moucheron dans une toile d’araignée. Horriblement délicieux."

TTTT - Bravo "Le 1er avril 1951, une fine couche de neige a recouvert Tokyo. Un chauffeur imprudent perd le contrôle de sa camionnette et vient faucher une femme qui attendait au carrefour. Morte sur le coup, la victime que rien ne permet d’identifier, s’avère être un homme… Pas de détectives, ni d’enquêteurs dans ce roman noir de Masako Togawa. S’il évoque souvent l’atmosphère d’un (très) bon Simenon, tant dans sa peinture clinique et dépassionnée d’une microsociété que dans son économie de moyens, Le Passe-partout n’a pas son Maigret, mais une toute-puissante narratrice qui déroule le récit à son gré et prend surtout un malin plaisir à brouiller les pistes. Rapt d’enfant, vol d’un violon d’une valeur inestimable, secte apocalyptique, séances de spiritisme, effractions, lettres anonymes, crime, suicide, cadavre enterré au sous-sol : derrière sa façade austère et désuète, la Résidence K n’est pas exactement le havre de paix promis à ses pensionnaires ! Exclusivement réservé aux femmes seules, l’immeuble caritatif abrite une galerie d’habitantes singulières qui, sous les dehors proprets de l’indéfectible civilité japonaise, dissimulent d’insondables drames et des secrets couleur d’encre. Des « vies forteresses », n’était ce satané passe-partout qui ouvre tous les appartements de la résidence et passe de main en main. Portrait en creux d’une époque, l’immédiat après-guerre au Japon, les années grises de l’occupation américaine et de la reconstruction, le roman de Masako Togawa montre - non sans cruauté — qu’érudite, musicienne ou « simple » gardienne d’immeuble, il ne fait pas bon vieillir seule. No country for old (wo)men ! Grande figure de la littérature de genre dans l’archipel, Masako Togawa (1932-2016), qui fut également chanteuse, actrice et tenancière de boîte de nuit, livre ici un petit chef-d’œuvre de machiavélisme, un labyrinthe parfaitement conçu et agencé où le lecteur a autant de libre arbitre qu’un rat de laboratoire ou un moucheron dans une toile d’araignée. Horriblement délicieux."

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