Les sept soeurs
  • Date de parution 11/10/2022
  • Nombre de pages 544
  • Poids de l’article 757 gr
  • ISBN-13 9782368129005
  • Editeur CHARLESTON
  • Format 158 x 240 mm
  • Edition Grand format
Romance Anglo-Saxon Romans étrangers Réédition moins de 3 mois

Les sept soeurs Tome 1 Maia

4.29 / 5 (8974 notes des lecteurs Babelio)

Résumé éditeur

À la mort de leur père, énigmatique milliardaire qui les a adoptées aux quatre coins du monde lorsqu’elles étaient bébés, Maia d’Aplièse et ses soeurs se retrouvent dans la maison de leur enfance, Atlantis, un magnifique château sur les bords du lac de Genève. Pour héritage, elles reçoivent chacune un mystérieux indice qui leur permettra peut-être de percer le secret de leurs origines.La piste de Maia la conduit au-delà des océans, dans un manoir en ruines sur les collines de Rio de Janeiro, au Brésil. C’est là que son histoire a commencé… Secrets enfouis et destins brisés : ce que Maia découvre va bouleverser sa vie.Les Sept Soeurs est le premier tome de la série événement du même nom, qui a conquis 40 millions de lecteurs dans le monde entier. À travers ces romans au souffle unique, peuplés de personnages inoubliables, liés par les drames et l’amour, Lucinda Riley a affirmé comme jamais auparavant son immense talent, créant un nouveau genre littéraire à part entière.Lucinda Riley est née en 1965 en Irlande, et après une carrière d’actrice au théâtre, au cinéma et à la télévision, elle écrit son premier roman à 24 ans. Ses livres ont depuis été traduits dans 37 langues, ont été vendus à plus de 40 millions d’exemplaires, et continuent de toucher et d’émouvoir dans le monde entier. Sa série Les Sept Soeurs, qui suit le destin de soeurs adoptées et s’inspire de la mythologie qui entoure la célèbre constellation des Pléiades, est devenue un phénomène mondial, créant un genre littéraire à part entière. Après avoir élevé ses quatre enfants principalement dans le comté de Norfolk, en Angleterre, elle a réalisé son rêve en 2015 et acheté une ferme isolée en Irlande, où elle a écrit ses cinq derniers romans. Atteinte d’un cancer depuis 2017, Lucinda s’est éteinte le 11 juin 2021, entourée de sa famille.

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  • Date de parution 11/10/2022
  • Nombre de pages 544
  • Poids de l’article 757 gr
  • ISBN-13 9782368129005
  • Editeur CHARLESTON
  • Format 158 x 240 mm
  • Edition Grand format

l’avis des lecteurs

De temps en temps, histoire de changer un peu et de ne pas me confiner injustement à juste un genre, j’ai envie d’aller voir en dehors de l’imaginaire ce qui plait pour voir si ça peut m’intéresser.

C’est ainsi que j’ai décidé d’emprunter celui ci à la médiathèque de mon village.


Malheureusement celui ci n’a pas vraiment été le succès que j’attendais vu les avis très positifs qu’on continue à voir passer de partout parmi les lecteurs. Voici pourquoi.

Commençons par l’intrigue.


Maia est l’aînée d’une grande fratrie (que des filles) adoptée par leur père, un vieil homme riche excentrique, en Suisse. Mais voila qu’une mauvaise nouvelle lui parvient : leur père est mort. Arrive le temps des funérailles et de la succession. Toutes les sœurs sont rassemblées et leur père leur offre un beau cadeau dans son testament : pour chacune un indice et une localisation pour retrouver sa famille biologique si elles le souhaitent.

Maia ne c’était jamais posé la question jusqu’ici, le sujet ne l’intéressait pas.

Mais évidemment cette fois ci ce n’est pas quelque chose qu’elle peut oublier, vu que son père adoptif a voulu qu’elle aille voir et qu’elle découvre d’où elle vient.

La voila embarquée pour le Bresil, à la découverte de ses racines, aidé par le fait qu’elle est traductrice du portugais donc la langue ne lui posera pas de problème. Et sur place un des auteurs dont elle a traduit les œuvres en français accepte de l’aider dans ses recherches.

Dans l’ensemble ça se laisse lire, c’est assez page-turner si on arrive à s’intéresser à l’intrigue, mais qu’il y a quand même des défauts qui m’ont vraiment gêné.

Premièrement c’est très long. Quasiment 700 pages pour un mystère qui n’en est pas vraiment un parce qu’il suffisait de trouver la bonne personne et que celle ci soit disposée à lui raconter ce qui c’est passé. Du coup ça m’a semblé un peu artificiel d’entretenir le mystère alors qu’ils auraient pu trouver la réponse à la moitié du livre (quand ils rencontrent la personne en question).

Je ne dis pas ça dans le vide, mais parce qu’il y a toute une partie en flash back qui arrive après et qui en fait ne sert strictement à rien pour moi. En effet ce raconte une histoire à la première personne, histoire qui se déroule au début du 20ième siècle et donc qui n’a aucun rapport direct avec la naissance de Maia.

En gros on perd facilement 200 pages à suivre cette personne, l’arrière grand mère de l’héroïne, alors qu’il ne se passe vraiment pas grand chose en dehors du fait qu’on attends son mariage, qu’elle voyage à Paris (oui, le coté « ville romantique » est très exacerbé, ça doit surement faire rêver pas mal de monde mais pas moi personnellement) et qu’on voit évoluer sa relation avec d’autres personnages. D’autant plus que certains passages m’ont vraiment mise mal à l’aise. Je n’avais pas vraiment envie de lire des histoires détaillés, avec descriptions, de viols conjugaux dans un livre qui reste dans l’ensemble assez « feel good ».

Cette histoire aurait très bien pu être résumée bien plus, voir juste racontée en quelques pages. Je vais être assez franche : pour moi c’est du blabla pour faire de l’inflation de mots et toucher sentimentalement les lecteurs.

J’avoue que tant qu’on était dedans et qu’on pouvait croire que ça servirait à quelque chose pour le mystère, ça passait, même si je lisais un peu en mode rapide parce que ce n’était pas du tout passionnant. Mais une fois que ça a été fini même l’héroïne du livre se pose cette question : mais pourquoi m’avoir donné cette histoire à lire vu qu’elle n’a pas de rapport avec ma propre naissance? et on lui répond « pour moi il était important que vous sachiez d’ou vient la famille au départ ». Et hop voila, interlude terminé, on ne reparle plus du tout de ça et on revient au mystère du départ qu’on avait mis de coté pendant tout ce temps.

Et ça m’a mise en colère, j’avoue.

J’avais l’impression d’avoir perdu mon temps !

D’autant plus que après la personne qui a toutes les réponses se réveille brutalement et se décide enfin à tout raconter, de façon très enthousiaste. En 10 pages on a les réponses, on sait pourquoi elle a été abandonnée et hop, fin du livre …

Je trouve que cette succession a encore une fois rendu cette inflation de pages encore plus artificielle, parce qu’il n’y a pas de vrai raisons qui font qu’elle ne voulait pas tout raconter avant. C’est juste … qu’elle ne le fait pas.

Bref, c’est dommage parce que l’ensemble en soi n’est pas mauvais. Il aurait juste pour moi gagné à être plus court et plus concentré sur ce qui en faisait l’intérêt. 

Pour l’instant je ne suis pas hyper motivée à tenter le second tome, mais comme c’est une sœur différente peut etre qu’on n’aura pas ce défaut dedans, donc à voir.


Quatrième de couverture

À la mort de leur père, énigmatique milliardaire qui les a adoptées aux quatre coins du monde lorsqu'elles étaient bébés, Maia d'Aplièse et ses soeurs se retrouve dans la maison de leur enfance, Atlantis, un magnifique château sur les bords du lac de Genève. Pour héritage, elles reçoivent chacune un mystérieux indice qui leur permettra peut-être de percer le secret de leur origine.

Mon avis

Sept sœurs, toutes adoptées par un homme riche. Elles ont grandi dans une immense et belle propriété sur les bords du lac de Genève où une femme dévouée et à l’écoute a toujours été présente pour elles et leur père. Maintenant elles sont adultes, chacune a sa vie. Seule Maia habite encore la maison familiale mais dans un pavillon à part. Au retour d’un voyage, elle apprend que son père est décédé, que les funérailles ont eu lieu et qu’elle est convoquée chez un notaire avec ses frangines.

Chacune va découvrir une lettre et un indice laissés par leur cher Papa. Un moyen, si elles le souhaitent de retrouver leurs origines dont elles ne savent rien. La première Maia décide de se lancer dans un périple au Brésil pour connaître son histoire et ce sont ses recherches que nous découvrons dans ce premier livre.

C’est un récit prenant, parfois un peu « convenu » parce qu’il se laisse deviner mais ce n’est pas bien grave tant le lecteur est captivé. Je n’ai pas vu le temps passer en passant du passé au présent, en voyageant aux côtés des personnages. J’ai trouvé intéressant que l’auteur se soit renseigné sur un fond historique et que ce qu’elle écrit soit en partie vrai (pour la création Christ du Corcovado). Les lieux sont décrits comme ils étaient à l’époque ainsi que les difficultés pour la construction de cette gigantesque œuvre. Si certains protagonistes peuvent sembler caricaturaux, ils n’en restent pas moins attachants et tout cela se lit avec un réel plaisir. Il y a des rebondissements, des révélations et l’écriture est plaisante (merci à la traductrice).

J’ai ma petite idée pour le père (ne serait-ce pas le gosse des rues à Paris à qui Bella laisse son adresse au Brésil et à qui Laurent explique les étoiles (dont la Pléiade des 7 sœurs ?))

Je n’aurais jamais lu ce roman s’il n’avait pas été dans le catalogue Netgalley. J’apprécie beaucoup les livres audio que j’écoute durant les dialyses, c’est un bon moyen de faire passer agréablement ces quatre heures trois fois par semaine, surtout cela me permet de découvrir des ouvrages qu je ne lirais pas en format papier. Ce livre en est l’exemple typique, je n’en attendais pas grand chose vu son côté bestseller et mon peu de goût pour les sagas interminables, mais j’ai été agréablement surprise. On est loin du coup de coeur, mais tout autant du livre à fuir absolument.

Maya apprend le décès de son père, un homme mystérieux et très riche qui possède une superbe demeure au bord du Léman (appelé ici le lac de Genève, le renseignement est pourtant facile à trouver sur le net !!). Maya a cinq soeurs, chacune portant le nom d’une étoile de la constellation des seps soeurs justement. Pa Salt a adopté ses filles bébés dans différents pays. Il lègue à chacune, outre l’assurance de revenus plus que confortables, une lettre et un indice sur leurs origines. D’abord Maya ne s’en préoccupe pas, mais un coup de fil de son ex qu’elle désire éviter la convainc de s’envoler pour Rio. Là bas elle rencontrera un romancier qui l’aidera à enquêter sur son passé.

La partie qui concerne son arrière grand mère est nettement plus intéressante que la partie contemporaine où on devine la romance entre Maya et son beau guide dès les premiers mots. Isabella était une jeune fille de la haute bourgeoisie dans les années 1920, elle a voyagé à Paris où bien sûr elle est tombée amoureuse. Cette partie historique est très intéressante avec la conception et la construction de la statue du Christ qui domine Rio, le vie des privilégiés de l’époque puis la crise économique. La condition féminine n’est pas très enviable, le mari a évidemment tous les droits, Isabella essaie difficilement de se faire sa place dans sa belle-famille.

Il y a beaucoup de clichés, de nombreuses inexactitudes sur la Suisse où l’anglais serait une des trois langues nationales. Je suppose qu’il y en a autant sur le Brésil, mais je ne les ai pas détectées ne connaissant pas ce pays. Certaines thématiques sont vues et revues, comme l’adoption, la recherche des origines. Comme par hasard, Maya est issue d’une grande famille, avant d’être adoptée par un millionnaire, ça ne sonne pas très réaliste. Je suppose que l’histoire des autres soeurs est du même style, mais je ne compte pas lire la suite de cette saga. J’ai passé un bon moment mais sans plus et je n’aurais certainement pas la patience de lire la suite en version papier.

Un grand merci à Netgalley et Audiolib pour cette découverte.

À la mort de leur père, énigmatique milliardaire qui les a adoptées aux quatre coins du monde lorsqu’elles étaient bébés, Maia d’Aplièse et ses soeurs se retrouvent dans la maison de leur enfance, Atlantis, un magnifique château sur les bords du lac de Genève. Pour héritage, elles reçoivent chacune un mystérieux indice qui leur permettra peut-être de percer le secret de leurs origines. La piste de Maia la conduit au-delà des océans, dans un manoir en ruines sur les collines de Rio de Janeiro, au Brésil. C’est là que son histoire a commencé… Secrets enfouis et destins brisés : ce que Maia découvre va bouleverser sa vie.

Maia a été adoptée comme ses cinq autres sœurs par un milliardaire. A la mort de ce dernier, chaque sœur, reçoit une lettre lui donnant des indices sur ses origines. Maia se lance sur la piste de ses ancêtres, au Brésil…

Si vous êtes passé à côté de la saga des Sept sœurs, c’est que vous dormez dans une grotte! Comme son nom l’indique, chaque tome de la saga est consacrée à une sœur. Le premier tome nous permet de faire connaissance avec Maia, la sœur aînée.

Les premières pages ont été un peu difficiles pour moi dans le sens où je ne voyais que les grosses ficelles tirées par l’autrice avec un personnage principal un peu mièvre, des dialogues pas forcément bien construits et des clichés monstrueux. Mais j’avoue m’être prise au jeu lorsque Maia décide de mener l’enquête sur ses origines et qu’elle se rend au Brésil.

Le récit initial laisse alors place à un autre récit qui nous propulse au début du vingtième siècle. Le roman prend alors une toute autre direction et devient plus dense. Les personnages sont bien construits, intéressants. On y suit l’arrière grand-mère de Maia, qui en bonne fille de grande famille, doit épouser un homme pour allier des patrimoines plutôt que des cœurs. C’était passionnant d’abord par le cadre du récit qui se déroule en grande partie au Brésil. C’est un pays que j’ai peu visité dans mes lectures. J’ai aimé suivre les us et coutumes de tous ces personnages; les relations; la vie quotidienne dans ce pays que je connais mal au final. On est ensuite plongé dans le monde de l’art. J’ai vraiment aimé suivre l’ancêtre de Maia, tiraillée entre son désir et son devoir. Elle va faire la connaissance d’un sculpteur qui va bouleverser sa vie et son histoire d’amour aura pour toile de fond la construction du Corcovado.

Lucinda Riley est une merveilleuse conteuse et elle sait parfaitement ménager son suspens. Les pages se tournent toutes seules. Son roman est une vraie invitation au voyage!

« Les Sept sœurs » est donc une très belle découverte pour moi. Même si je n’ai pas vraiment adhéré au récit initial, j’ai adoré me plonger dans le passé de Maia. Je lirai la suite avec plaisir!

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