L'assassin Eighteen

Besoin d’un petit shoot d’adrénaline ? John Brownlow est de retour avec L’assassin eighteen.

Vous vous souvenez de Agent Seventeen ? Ce tueur à gage au service des agences diverses et variées pour les sales coups que mêmes elles ne peuvent assumer ? Dur d’en parler sans révéler une partie du roman précédent. Tout ce que vous avez besoin de savoir est qu’il se terre, incognito, quelque part dans le Dakota. Et qu’il ne tient pas spécialement à la vie. Il attend que celui, ou celle qui lui succédera vienne l’abattre. Et s’il le rate, les dés en seront jetés, il reprendra sur service.

Mais voilà, le jour où la balle manque son coup il trouve à côté d’un fusil de précision une fillette de moins de dix ans terrifiée. C’est donc reparti pour un tour, seventeen est de retour et ça va saigner.

Comme pour le premier, surtout ne cherchez pas la vraisemblance de l’intrigue. Si vous n’appréciez pas James Bond ou Mission Impossible parce que ce n’est pas réaliste, vous pouvez passer votre chemin. Mais si parfois vous avez envie de redevenir un gosse et de lire avec un sourire béat sur le visage, foncez. Il faut dire qu’à côté de Seventeen James Bond et Ethan Hunt jouent dans la catégorie poussin, au mieux benjamin.

Ça canarde, ça fuse, le héros se sort de situations absolument impossibles, les enfile comme des perles, et ça marche ! Ajoutez que les méchants sont particulièrement réussis, et vous aurez un roman qui certes ne va pas changer votre vision du monde mais que vous lirez avec la banane.