La Maison aux mille étages
  • Date de parution 11/02/2025
  • Nombre de pages 288
  • Poids de l’article 152 gr
  • ISBN-13 9782253247302
  • Editeur LGF
  • Format 178 x 110 mm
  • Edition Livre de poche
Dystopie et Uchronie Etranger Ouvrage de référence de l'auteur Réédition moins de 3 mois

La Maison aux mille étages

3.15 / 5 (82 notes des lecteurs Babelio)

Résumé éditeur

Une tour de mille étages où l'humanité est enfermée. Un homme s'y réveille, seul, amnésique, invisible, hanté par des images insoutenales de salles obscures, remplies de corps décharnés enchaînés les uns aux autres. Qui est-il? Quelle est sa mission?  Une société reconstituée dans tous ses excès, sous la tyrannie arbitraire et sadique du mystérieux Muller : tel est ce cauchemar dystopique incroyablement visionnaire écrit en 1929, qui pointe, avec une acuité douloureuse, toutes les dérives à venir: le contrôle des hommes et des cerveaux par les écrans, le culte de la personnalité poussé à son extrême, le délire de la surconsommation, l'exploitation des vices et des obsessions... Le tout traversé par des scènes qui évoqueront doulouresement les abonimations à venir: camp de concentration, chambres à gaz, utilisation massive des drogues, des bas instincts, de la violence et des femmes...  Un livre majeur, dont on ne ressort pas indemne.  Jass Weiss est tchèque, contemporain de Karel Capek et de Zamiatine. Sa maison aux mille étages évoque la puissance de Nous autres. Dans une langue fascinante, hantéee de visions oniriques teintées d'allégories, ce roman est aussi un incroyable exercice graphique utilisant toutes les possibilités de l'époque. Ici entièrement retraduit et réinventé sur un plan artistique, il est un premier pas vers la redécouverte de cet écrivain majeu célébré dans le monde entier.

livré en 5 jours

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  • Date de parution 11/02/2025
  • Nombre de pages 288
  • Poids de l’article 152 gr
  • ISBN-13 9782253247302
  • Editeur LGF
  • Format 178 x 110 mm
  • Edition Livre de poche

l’avis des lecteurs

La maison aux mille étages est le premier livre que je lis de la nouvelle collection dédiée à l’Imaginaire chez Hachette, le Rayon Imaginaire. « Ouvrir et faire aimer l’Imaginaire à tous ceux qui ne savent pas qu’ils ont l’adorer »« Nourrir les amateurs du genre en proposant les meilleurs voix d’aujourd’hui et d’hier » : voici la ligne édito de cette nouvelle collection qui veut séduire un lectorat plus large, certainement la raison pour laquelle les couvertures sont très sobres. La maison aux mille étages est un roman de 1929 écrit par Jan Weiss, écrivain tchécoslovaque. C’est son seul roman traduit en français.

Un roman théâtral

Une scène théâtrale gigantesque

A l’instar de La maison des feuillesLa maison aux mille étages est également un sacré casse-tête. Evidemment, avec 1 000 étages, ça rend le repérage un peu complexe dans l’espace. Le début s’ouvre sur des étages muets, sans portes ni fenêtres, et très vite, au gré des montées et descentes paniquées par notre bonhomme, on ne sait déjà plus où on se trouve.

Le schmilblick se corse quand, par des moyens très théâtraux (ah tiens, un truc qui s’enfonce, oh tiens, un truc qui bouge, ah mais ça c’était pas là tout à l’heure, oh ça alors, une porte !), les étages s’avèrent être des rues. Une multitude de rues qui dessinent une ville à grande échelle, et qui vont même au-delà puisqu’il est question d’univers et de planètes. Plus on monte dans les étages, plus la population s’appauvrit. Plus on descend, plus c’est clinquant.

Alors on se balade d’étage en étage, sans vraiment comprendre la logique de ces pérégrinations, ni bien saisir où on se trouve, d’autant que là encore des moyens très théâtraux permettent de rejoindre plusieurs endroits. On dirait une scène baroque, bourrée de trucs et de machineries pour abaisser ceci, élever cela, faire disparaître ci, décaler ça.

C’est certes labyrinthique, mais on s’amuse un peu à parcourir ces endroits, d’autant que c’est très visuel. La mise en page très graphique permet de rendre vivants ces lieux, à coups de réclames, enseignes et messages muraux retranscrits dans leur forme visuelle. C’est d’abord un roman qui se regarde.

Une mise en scène théâtrale

Cet aspect théâtral, je l’ai également retrouvé dans la narration. Les chapitres sont très courts, et chacun fonctionnent comme une mini scène.

En effet, la fin d’un chapitre se clôt sur la sortie d’un ou plusieurs personnages, l’ouverture d’une porte, la découverte d’une autre pièce ou d’une autre rue. Alors, le chapitre suivant embraye sur ce nouveau décor, qui est d’ailleurs présenté de manière très succincte au présent, comme une indication scénique :

« Un déferlement de lumière inonde une salle rouge à la parfaite forme conique. Au centre, une table ronde, sur laquelle une figurine de ballerine en ivoire fait ses pointes » (p 137).

Apparaissent alors de nouveaux personnages, qui souvent, nous offrent un monologue complètement absurde, puis notre bonhomme, Petr Brok, s’en va fouiner ailleurs. Sa sortie clôt la scène et le chapitre, et hop, on enchaîne sur la scène suivante.

De ce fait, ça défile, et on a vraiment l’impression d’assister à une représentation théâtrale, où personnages se succèdent au gré des changements de décors scéniques. Le rythme est assez soutenu, pas le temps de s’ennuyer, c’est aussi divertissant, a priori, qu’une bonne comédie, l’illusion est parfaite.

De quoi parle ce roman ?

Ah, là on entre dans les choses sérieuses. Et je regrette, d’ailleurs, que le texte n’ait pas été accompagné d’un petit appareil critique, ne serait-ce qu’une postface. L’ancienne édition de 1967 (Marabout) contenait une préface de Jiri Hajek, qui donnait quelques éléments de contextualisation et d’analyse pour appréhender ce texte très particulier. Là, c’est le texte brut, sans rien. Personnellement, je trouve ça un peu léger et fort dommage pour un texte comme ça.

Bref, ça c’est dit, passons maintenant à ce que j’ai cru comprendre – interprété. Parce qu’il s’agit de ça : La maison aux mille étages est un texte assez cryptique.

Quelques éléments d’intrigue

Notre bonhomme, qui s’appelle Petr Brok, se réveille au cœur de cette maison aux mille étages. Il comprend rapidement, au gré de ses rencontres et échanges avec toute une tripotée de personnages, que cette baraque est malsaine.

D’abord, parce que ce n’est pas juste une maison, mais comme on l’a vu, un labyrinthe qui bouge sans cesse, aux dimensions beaucoup plus faramineuses qu’une maison, tant verticalement qu’horizontalement.

Ensuite, les personnages semblent tous entichés d’un dieu local, Muller, qui est à l’origine de Mullerdome, cette maison. Une création entre enfer et paradis, qui a poussé à son maximum le culte de la personnalité, le contrôle des esprits, la voix unique. Autrement dit, cette maison est un huis-clos dirigé par un dictateur en puissance, qui a fait de sa création un univers totalitaire.

Notre homme ne semble pas être un lâche, et va donc tout faire pour rencontrer Muller et le renverser. On a des échos à des luttes sociales, des révoltes populaires, des résistances plus musclées, mais aussi à des répressions sanglantes (il y a un crematorium tout en haut de cette maison, et ailleurs sont évoqués aussi dans le roman des sortes de camps de travail) et à un contrôle des individus particulièrement glaçant (une sorte de Big Brother is watching you en avance).

Sur son chemin, Petr Brok (qui est invisible, c’est pratique) va rencontrer plein de personnages, notamment une princesse qu’il va vouloir également sauver de sa condition. Bref, celapourrait ressembler à un roman d’aventures, d’autant que les péripéties s’enchaînent et reculent l’échéance de la rencontre avec le grand méchant dont on n’entend que la voix et ne voit que l’œil partout.

Des traces de réalité, passée et à venir

La 4ème de couverture indique que la société reconstituée ici est un aperçu visionnaire de l’Histoire. En effet, tout ce que j’ai décrit brièvement plus haut ressemble certes à un cauchemar dystopique, mais s’avère particulièrement juste…

Si on ne sait absolument pas où on est ni quand on est dans ce roman (tant les temps se mélangent en plus), l’auteur intègre par moments des petits indices. Il fait notamment référence plusieurs fois au krach boursier de 1929, et on sent bien aussi que la vision des camps décrite dans le roman est clairement une retranscription de l’enfer que l’auteur a vécu dans les camps sibériens pendant la 1ère guerre mondiale.

Il y a alors un décalage assez fort entre l’intrigue qui tient en deux lignes, et ce qui se déroule réellement dans ce roman. Déjà, parce que Brok avance, mais recule en même temps. C’est à dire que ses avancées l’amènent à se perdre davantage dans des rencontres abracadabrantesques, dans des endroits improbables. D’ailleurs, c’est un peu difficile de le suivre, de comprendre où il va, ce qu’il fabrique… bref, de rester dans du concret, du palpable et du vraisemblable. Et alors, quand dans ce fatras se mêlent des fulgurances d’Histoire et des visions de futur… difficile de garder le cap et de saisir pleinement ce qui est en jeu ici.

Un texte surréaliste ?

Ecriture automatique

L’auteur était proche des surréalistes, et cela se ressent très clairement dans le roman. Qui semble rédigé par écriture automatique. En effet, les phrases en elles-mêmes, on les saisit. Mais les unes à la suite des autres, c’est complètement incongru. J’ai eu l’impression de lire un poème de Desnos ou la prose de quelqu’un qui a snifé un rail de coke avant d’écrire (d’ailleurs, les drogues sont très présentes dans le roman). 

Je vous laisse en juger par vous-même :

« Et c’est à cette époque – piou-piou-piou-piou -, au dernier moment, tandis que Muller était déjà au bord de la faillite, c’est à cette époque que j’ai commencé à soigner le vieux Galio pour ses rhumatismes. Co-co-co-co. un soir – je m’en souviens comme si c’était aujourd’hui -, ses douleurs articulaires s’étaient calmées et il était d’humeur printanière. 

Je lui demandais combien d’étoiles il avait déjà vendues à Muller et combien il lui en restait encore. 

« Autant que j’en avais au début. Si je Lui vendais chaque jour un million d’étoiles, Muller devrait vivre encore un million d’années pour en avoir ne serait-ce que le millionième ».

Mêêêê !

Et cette même nuit, quand le vieux Galio a été endormi, je lui ai injecté trois gouttes de Kawai sous la peau. Piou-piou-piou ! Au matin , Galio a bondi : « Un crayon ! – Du papier ! Combien j’ai d’argent ? » Il a écrit un neuf et ajouté des zéros… Miaou ! Il a empli dix feuilles de zéros le premier jour. Et depuis, son cerveau est devenu une machine à faire des zéros. Toutes se pensées sont devenues des zéros Miaou ! »

Une lecture à double sens

Le surréalisme, il est dans la narration, donc, et dans les décors, évanescents, changeants, comme Les montres molles de Dali. Ca clignote, ça disparait, ça change de forme, ça s’illumine… La plume de l’auteur est pareille, imagée; allégorique. Il y a une beauté poétique dans cette prose, qui rend la lecture fort belle, mais difficile aussi. Sans nulle doute, derrière ce déluge verbal complètement fumesque se trouvent sans doute des évocations de choses et d’autres, que je ne suis cependant pas parvenue à toujours décoder. C’est une vraie lecture à double sens qu’il faut déchiffrer.

En témoigne ce fort beau passage très sensoriel où Petr se retrouve dans des ténèbres blanches, assailli par des parfums de toutes sortes. Les premières effluves lui évoquent un joli locus amoenus, fleuri, paisible, moussu. Puis, peu à peu, les odeurs changent… :

« Les senteurs se succèdent rapidement.

L’odeur forte d’une locomotive lancée à toute allure et de la suie.

La puanteur de wagons ouverts : six chevaux, trente hommes…

Une atmosphère meurtrière de saleté, de gnôle, de pieds qui puent et de latrines.

Loin.

La terre franchement retournée.

La poudre des fusils.

Ma fumée des lieux brûlés.

Le sang.

La putréfaction des détritus, des conserves, des plaies suppurantes, le phénol, une puanteur de punaise écrasée, la décomposition et la fermentation des chairs, les noires purulences des membres mutilés sous les bandages sales

Au plafond, empeste une lampe à pétrole jaune…

Petr Brok bondit. Ceci est mon passé ! Ce sont mes souvenirs perdus ! »

Le roman laisse donc chacun interpréter les choses à sa sauce, mais le final du roman, dont la chute est particulièrement déroutante, apporte un éclairage intéressant.

Entre rêve et réalité

Et le surréalisme se situe enfin, dans les thématiques. Le rêve est indissociable du récit, tant il se confond avec « la réalité ». Difficile de deviner où il commence, et où il se termine… Il s’associe toujours au cauchemar, avec des images fixes, aveuglantes, douloureuses, seuls phares de ce roman.

Difficile de dire, alors, où est la réalité, où elle commence, et où se situe le rêve. Il y a un subtil mélange entre les deux, que ce soit dans le roman même ou entre celui-ci et la vie de l’auteur. La maison aux mille étages pourrait alors se lire comme une sorte de témoignage parallèle de ce qu’a vécu l’auteur dans les camps, ou un rêve prémonitoire, ou les deux… Ou rien de tout cela ? Le roman joue alors avec les frontières du genre romanesque qu’il aime brouiller, sans pour autant les dépasser : jusqu’aux dernières lignes, le roman aime nous perdre, comme ses personnages.

La maison aux mille étages est un roman de science-fiction publié en 1929. Par bien des aspects, ce roman de Jan Weiss, considéré comme le père de la SF en Tchécoslovaquie, déroute. Entre réalisme, vraisemblance et surréalisme, il oscille, joue avec les codes du genre romanesque. Tantôt, il offre des pages de prose poétique surréaliste, semblant sans queue ni tête, tantôt l’auteur évoque avec un œil vif des événements terrifiants qui nous parlent, comme s’il avait un don prémonitoire… Ce roman est un labyrinthe à plusieurs titres, et comme tous les ouvrages de ce type, il offre une expérience de lecture assez active, remue-méninges et intéressante, que je ne peux que vous recommander de tenter… !

Synopsis

Une tour de mille étages où l’humanité est enfermée. Un homme s’y réveille, seul, amnésique, invisible, hanté par des images insoutenables de salles obscures, remplies de corps décharnés enchaînés les uns aux autres. Qui est-il ? Quelle est sa mission ?

Une société reconstituée dans tous ses excès, sous la tyrannie arbitraire et sadique du mystérieux Muller : tel est ce cauchemar dystopique incroyablement visionnaire écrit en 1929, qui pointe, avec une acuité douloureuse, toutes les dérives à venir : le contrôle des hommes et des cerveaux par les écrans, le culte de la personnalité poussé à son extrême, le délire de la surconsommation, l’exploitation des vices et des obsessions… Le tout traversé par des scènes qui évoqueront douloureusement les abominations à venir : camp de concentration, chambres à gaz, utilisation massive des drogues, des bas instincts, de la violence et des femmes…

Un livre majeur dont on ne ressort pas indemne.


Critique

Jamais deux sans trois

Après Destination Outreterres et Analog / Virtuel, les éditions Hachette Heroes m’ont proposé une nouvelle parution de leur collection Le Rayon imaginaire. Je veux bien évidemment parler de La Maison aux milles étagesÀ la fois sombre et dystopique, ce roman avait tout pour me plaire au premier abord.

Toutefois, ce que j’ignorais en dépit des quelques indices laissés par la maison d’édition, c’est qu’il appartient aussi au genre du surréalisme, que j’affectionne très peu. Alors, malgré des idées intéressantes et une construction minutieuse, je n’ai pas pris beaucoup de plaisir à ma lecture. Mais qui sait, ça sera peut-être différent pour vous ?


Le surréalisme à l’honneur

Visions oniriques, songes teintés d’horreur et douce folie : voilà ce qui se cache entre les pages de ce one-shot. Si l’histoire paraît complètement délirante à première vue, il suffit d’y regarder de plus près pour comprendre qu’elle cache une véritable profondeur.

Le hic ? Je l’ai dit plus haut, je n’aime pas le surréalisme. C’est aussi simple que ça ! C’est pour moi un genre qui s’intéresse moins à l’intrigue elle-même qu’à ce qu’elle dissimule. Bref, je n’étais pas la mieux placée pour apprécier ce roman, j’en ai bien peur !


Un style qui m’a donné le tournis

Avant de vous en dire plus, je tiens à rappeler que La Maison aux mille étages a été écrit en 1929. Malgré une traduction récente, on ne peut donc qualifier le style de moderne. Pour autant, je ne l’ai pas forcément trouvé vieillot.

En fait, c’est très fouillis. Mais volontairement fouillis. Les idées et les passages s’enchaînent très rapidement, il n’y a pas de place pour l’hésitation. S’attarder sur chaque détail est même inutile – sachant que l’univers est particulièrement dense -, l’important se cache dans les émotions des héros et dans les messages de l’auteur. C’est d’ailleurs ce que traduit la quatrième de couverture.


Une tour vertigineuse pour seul univers

Et ça, j’étais vraiment curieuse de le découvrir ! Verdict ? Je pense que c’est plutôt réussi. Jan Weiss ne manque pas d’imagination pour nous montrer la scène où tout se joue et puis nous révéler l’envers du décor. Pour concevoir des lieux à la fois perturbants et révélateurs de concepts très abstraits !

Mais tout comme le style, le résultat est un peu désorganisé. C’est un imbroglio qu’il est impossible de démêler, et tel n’est pas le but bien entendu. Sauf que j’étais en quête d’un monde, certes élaboré, mais aussi codifié. Dommage !


Je n’ai pas non plus trouvé ce que je cherchais dans l’intrigue

Ce que je voulais, c’était une dystopie et une rébellion. Or, La Maison aux mille étages est davantage un conte surréaliste et une dénonciation des pires travers de l’humanité. Je me répète, mais je n’étais pas en phase avec l’histoire dès le début.

Néanmoins, en toute objectivité, je dois le reconnaître : l’auteur narre une aventure aussi incroyable qu’horrible. Celle-ci dépasse la réalité elle-même pour déconstruire le cauchemar du héros à travers sa mission : provoquer la chute de l’antagoniste tyrannique et tout-puissant, Muller. Bien qu’elle semble simple, l’histoire se révèle donc complexe au niveau du sous-textePersonnellement, j’en ai perdu la tête, et pas dans le bon sens du terme.


Le dénouement, un vrai flop ?

Aïe ! Autant je reconnais toutes les qualités du roman, même si je ne l’ai pas apprécié plus que cela, autant la fin me reste en travers de la gorge. J’aurais pourtant dû m’y attendre, car elle est en accord avec le côté surréaliste du récit et donc prévisible sous certains aspects, cependant j’ai progressivement perdu tout intérêt pour l’histoire au fil de ma lecture, alors…

Bref, je n’ai pas aimé le dénouement que j’ai trouvé trop facile !

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