Une enquête de William Wisting Tome 3 L'usurpateur
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l’avis des lecteurs
J’avais beaucoup apprécié le précédent roman du norvégien Jørn Lier Horst. Il était hors de question de manquer le nouveau : L’usurpateur.
Où l’on retrouve William Wisting, commissaire de police d’une petite ville norvégienne, et sa fille, Line, journaliste spécialisée dans les faits divers à Oslo …
Un homme est trouvé mort, complètement desséché, chez lui. Nous sommes en décembre, et tout indique que l’homme est mort en août. C’est parce qu’il ne payait plus l’électricité qu’un employé de la compagnie s’est aperçu qu’il était mort. En cette période proche de Noël, Line voit un beau sujet à développer : comment une solitude telle que personne ne s’aperçoive de votre disparition pendant des mois est-elle possible ? Un sujet qui la motive d’autant plus que l’homme vivait dans la même rue que son père et qu’elle le connaissait de nom.
Alors qu’elle vient s’installer chez lui pour quelques jours, William est appelé : un corps a été découvert dans une sapinière, caché là depuis des mois. Mais celui-là a été tué. Difficile après autant de temps de l’identifier, sans parler de trouver son assassin. Alors que père et fille, chacun de son côté, mène son enquête, une vérité bien plus sinistre va commencer à apparaitre.
De mon point de vue, William Wisting et sa fille Line sont en train de prendre place aux côtés d’enquêteurs comme Wallander et Erlendur. Qui, hasard, ont eux aussi des filles …
On retrouve ici cette qualité scandinave. Certes c’est moins rock and roll que Harry Hole ou Santiago Quiñones. Ici on enquête dans le calme, avec méthode, sans grands éclats de voix. Mais c’est du sérieux, et cela n’empêche pas Wisting de douter, d’être en désaccord avec sa hiérarchie, et de s’inquiéter pour sa fille.
Les personnages sont réellement incarnés, le paysage et la saison, ici avec la neige, le froid, le vent, sont très présents, on vit cette vie de flic norvégien. Et au-delà de l’investigation, c’est à une réflexion sur la solitude, la mise à l’écart, l’indifférence que se livre l’auteur.
Et puis dans un monde que l’on dit de plus en plus uniforme, il suffit de lire Jørn Lier Horst et Leonardo Padura et Andrea Camilleri, pour n’en citer que trois, pour confirmer que, si les crimes sont à peu près les mêmes partout, on ne vit pas, et n’échange pas avec les autres de la même façon en Norvège, à Cuba et en Italie.
Pour le voyage en Norvège, je vous conseille l’humanité et la solide qualité scandinave signée Jørn Lier Horst.
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