The Elements Tome 2 The fire

Alors, alorss ! Beaucoup de choses à dire sur ce roman ! Un coup de cœur ? Non, plus que cela… Cette série, déjà… Ces tomes nous décrochent le cœur, ils nous le mettent hors de portée. Ils nous arrachent le souffle, nous ne pouvons plus respirer, cherchant de l’air sans cesse durant notre lecture. Nos mains tremblent, nos pieds, nos jambes, notre tête. Le pire ? C’est notre organe vital, notre petit cœur qui n’est pas préparé. Il se serre, il se tord, il nous fait mal, il nous fait pleurer. Oh Brittainy C. Cherry, ta plume fait mal. Tes personnages font mal. Tes histoires font mal… Mais tout cela est d’une beauté, un ciel rempli d’étoiles, le rayon de soleil après un long hiver. Une joie si intense, un amour si intense, un désespoir si intense qui nous donne envie de pleurer, de rire, de crier, de rage, de douleur, de bonheur. Pourquoi les meilleurs partent-ils en premier ? Pourquoi pas moi ? Pourquoi lui ? Qu’ai-je fais pour ressentir tout cela ? Des milliards de questions, s’enchaînant sans aucune réponse, comme des messages que l’on enverrai dans le vide. Des messages que le destinataire ignore. Lis-moi ! Réponds-moi ! Un supplice, une torture, ce manque qui vous assaille sans aucune raison. Je le veux de nouveau. Pourquoi tu n’es plus là ? Juste un petit retour en arrière… Et si… Je suis seule… Avec ces souvenirs qui me brisent le cœur à la seule pensée de ne jamais les revivre…

« Quand il avait envie de pleurer, les larmes commençaient toujours par couler de mes yeux. Quand son cœur menaçait de se briser, le mien volait en éclats. »

Vous l’aurez compris, ce roman ne peut pas être décrit par des mots, mais seulement par des émotions. Mais je vais tout de même essayer de vous donner mon avis comme je le fais habituellement. Déjà, petit conseil : éviter de lire ce roman en lecture commune, car si j’ai eu de la chance d’avancer vite dessus et de pouvoir beaucoup échanger, ça a été très dur d’arrêter tellement il était addictif. Lorsque je l’ai fini, j’avais l’impression d’être vidée. De tout. Plus de mots. Plus de souffle. Plus de larmes. Vidée.

Alyssa et Logan. Ils permettent à l’autre de vivre, de respirer, d’aimer. Ils sont aux antipodes de l’autre mais se complètent tellement bien. En effet, Logan, le côté sombre de l’histoire, le désespoir et Alyssa, le rayon de soleil, l’espoir. Leur amour ardent les consume, ils sont protecteurs l’un envers l’autre. Le manque puissant qui émanait d’Alyssa et de Logan est ce qui m’a le plus retournée dans ce roman. C’était d’une puissance telle que j’en étais moi-même atteinte. La dure vie des personnages ne les a pas épargné en les marquant de façon indélébiles.

« Il s’était avéré que chez soi n’était pas un lieu, c’était un sentiment que vous procuraient les êtres à qui vous teniez le plus, un sentiment de paix qui éteignait les incendies de votre âme. »

Parlons des messages. Ces messages d’Alyssa qui séparent la première et la seconde partie du roman. Ces messages puissants qui laisse apercevoir le désespoir d’Alyssa, son mal-être. Ces messages m’ont brisé le cœur par leur force. J’ai trouvé que c’était la plus belle partie du roman.

La tornade d’émotions qui m’envahie dès que j’ouvre ce roman, n’importe où. Cette plume magique, magnifique, incroyable de Brittainy C. Cherry. Tout cela explique la difficulté a choisir une citation de ce roman… Il y en a trop. Toutes les phrases nous font passer par diverses émotions, ne nous épargnent pas une seule fois.

Logan, si douleureux. Mais tant rempli de tendresse envers ceux qu’il aime. Mon Logan… La vie, ses difficultés se sont acharnées sur Logan, lui retirant le peu de bonheur qu’il possède. Cette vie incroyablement injuste qui nous fait hurler de rage, rend cette histoire entre Logan et Alyssa impossible, brise leurs rêves. ET CELA, C’EST INJUSTE ! Deux personnages bouleversant, si beaux, qui perdent espoir aux fil des pages…

« La vie est trop courte pour ne pas faire ce qui nous rend heureux »

Le fait qu’ils soient meilleurs amis rend leur relation encore plus intime, plus touchante. Les personnages secondaires sont aussi bien travaillés que les héros. On apprend à les aimer, à les détester…

J’arrive à la fin de cette chronique qui a été dure à écrite, les mots me sont venus tous seuls, mais émotionnelment parlant, cela a fait ressortir les émotions que j’avais ressenties durant cette lecture.

« On ne se rend pas compte de ce qu’on a tant qu’on n’a pas vu ce que les autres n’ont pas. »

Et vous ? Qu’en pensez-vous ? L’avez-vous lu ?