Série Le bureau des défunts Antoine Lencou
Le bureau des défunts Tome 1 : Votre mort nous appartient
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Roïn Venkoo veut en finir avec sa vie qu’il juge absurde. Sauf que dans ce monde parfait, au bonheur obligatoire et policé, tout est réglementé. Pour mourir, il lui faut demander l’autorisation... qu’on tarde à lui donner. Les machines sont formelles : il faut attendre. Alors, Roïn craque et passe outre. Il se jette du haut d’un immeuble et... est ressuscité. De force, puisqu’il n’avait pas obtenu la permission. Les mâchoires de la société se referment sur lui.S’ensuivent un procès et une sentence : l’interdiction de mourir pour un minimum de cent sept ans adjointe d’une obligation de travailler dans une officine d’état. Au désespoir, Roïn choisit le Bureau des Défunts, l’administration qui veille sur la mort des citoyens... Son choix est-il un hasard ? Car dès lors, Roïn va faire d’incroyables découvertes...Antoine Lencou est du genre préoccupé. Nos origines, notre devenir, notre conscience, le but de notre existence, celui de l’univers, où il a rangé ses clefs... Des questions simples, quoi.Et puis, bien sûr, la Mort. D’ailleurs, s’il était breton, son nom, Lencou, s’écrirait probablementainsi :«L’Ankou». La Mort. Dans ses récits, la mort est souvent présente. Avec le nom qu’Antoine porte, elle ne devrait pas lui faire peur. Rien n’est moins sûr. Même ses personnages souffrent de ce handicap. Alors, dans le doute, restez courtois avec lui. On n’est jamais trop prudent.Antoine Lencou est aujourd’hui l’auteur d’une trentaine de nouvelles, d’une novella et deux romans. «Votre mort nous appartient» est le premier volet de la tétralogie «Le Bureau des Défunts».
Le bureau des défunts Tome 2 : A corps perdu
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Désormais directeur du service des Suicidés au ministère des Défunts, Roïn Venkoo se voit confier une enquête visant Syscom.dth, l’interface virtuelle où les morts, dépourvus d’enveloppe charnelle, poursuivent leur vie… sans l’avoir demandé. Conçu pour y recevoir les personnes décédées que la médecine traumatologique d’autrefois était incapable de faire renaître dans un nouveau corps, ce microcosme improbable est le théâtre d’un étrange problème, de taille : les morts se suicident en masse.Aidé de ses automates, Roïn Venkoo se rend dans Syscom.dth, mais se retrouve piégé dans ce monde numérique par une poignée de révoltés, morts plusieurs siècles auparavant. Ils ne rêvent que d'une chose : se venger de la société moderne.Quelle est cette étrange machination des morts ? Roïn parviendra-t-il à y mettre fin ? Encore faudrait-il qu’il récupère son corps...Antoine Lencou est du genre préoccupé. Nos origines, notre devenir, notre conscience, le but de notre existence, celui de l’univers, où il a rangé ses clefs… Des questions simples, quoi.Et puis, bien sûr, la Mort. D’ailleurs, s’il était breton, son nom, Lencou, s’écrirait probablement ainsi : «L’Ankou». La Mort.Dans ses récits, la mort est souvent présente. Avec le nom qu’Antoine porte, elle ne devrait pas lui faire peur. Rien n’est moins sûr. Même ses personnages souffrent de ce handicap. Alors, dans le doute, restez courtois avec lui. On n’est jamais trop prudent.Antoine Lencou est aujourd’hui l’auteur d’une trentaine de nouvelles, d’une novella et deux romans.«À corps perdu» est le deuxième volet de la tétralogie «Le Bureau des Défunts».
Le bureau des défunts Tome 3 : Ligatures
Résumé éditeur-
Alors qu’il était directeur du service des Suicidés, Roïn Venkoo a détruit l’existence légale de Syscom.dth, la plateforme informatique destinée à recevoir l’âme des morts.La dirigeante des Défunts veut se venger de lui en le faisant disparaître sans espoir de renaissance. Engagé pour accomplir la besogne, son agent monte un plan machiavélique et l’expédie dans un lieu inconnu et dévasté. Roïn atterrit là-bas, inconscient et gravement blessé. Loin de chez lui, meurtri, sans ses automates ni aucun moyen de communiquer avec eux, Roïn sombre.La dirigeante des Défunts consommera-t-elle sa vengeance jusqu’au bout ? Quel est cet endroit hors du temps où se trouve Venkoo ? Parviendra-t-il à rentrer chez lui ? Et surtout, le désirera-t-il encore ?Antoine Lencou est du genre préoccupé. Nos origines, notre devenir, notre conscience, le but de notre existence, celui de l’univers, où il a rangé ses clefs… Des questions simples, quoi.Et puis, bien sûr, la Mort. D’ailleurs, s’il était breton, son nom, Lencou, s’écrirait probablement ainsi : « L’Ankou ». La Mort.Dans ses récits, la mort est souvent présente. Avec le nom qu’Antoine porte, elle ne devrait pas lui faire peur. Rien n’est moins sûr. Même ses personnages souffrent de ce handicap. Alors, dans le doute, restez courtois avec lui. On n’est jamais trop prudent.Antoine Lencou est aujourd’hui l’auteur d’une trentaine de nouvelles, d’une novella et deux romans.« Ligatures » est le troisième volet de la tétralogie « Le Bureau des Défunts ».