Série Cahiers Georges Perec Georges Perec

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Cahiers Georges Perec Cahiers Georges Perec, n°1 : Colloque de Cerisy

Résumé éditeur

I. Pistes Marcel Bénabou, Perec et la judéité Claude Burgelin, Perec et la cruauté Constantin Crisan, Perec ou le paysage du conditionnel utopique : pour une syntaxe de la logique littéraire Anne Roche, L'auto(bio)graphie II. Pièges Jean-Michel Raynaud, Du double-jeu Vincent Colonna, Fausses notes Warren Motte, Embellir les lettres Bemard-Olivier Lancelot, Georges Percé Mireille Ribière, Alphabets Claudette Oriol-Boyer, Le Voyage d'hiver III. Paris, 11 rue Simon-Crubellier Bemard Magné, Cinquième figure pour La Vie mode d'emploi Benoît Peeters, Échafaudages Alain Goulet, La Vie mode d'emploi : archives en jeu Ewa Pawlikowska, Citation, prise d'écriture Bemard Magné, Lavis mode d'emploi Marie-Odile Martin, L'inscription de la pièce du lecteur dans le puzzle de La Vie mode d'emploi IV. Partition Philippe Drogoz, Perec et la musique V. Parutions Éric Beaumatin, L'autobibliographie. Notes préliminaires à l'étude d'un corpus et d'un genre VI. Pièces originales Pièce n°1 : "Manuscrit préparatoire du Voyage d'hiver Pièce n°2 : "La Vie mode d'emploi : les peintures" (dactylogramme) Pièce n°3 : "Souvenir d'un voyage à Thouars" (partition) Pièce n°4 : "Bibliographie approximative" (dactylogramme) Pièce n°5 : "Tentative de description d'un programme de travail pour les années à venir" (dactylogramme)

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Cahiers Georges Perec Cahiers Georges Perec, n°2 : W ou Le souvenir d'enfance

Résumé éditeur

Il y a dans ce livre deux textes simplement alternés ; il pourrait presque sembler qu'ils n'ont rien en commun, mais ils sont pourtant inextricablement enchevêtrés, comme si aucun des deux ne pouvait exister seul, comme si de leur rencontre seule, de cette lumière lointaine qu'ils jettent l'un sur l'autre, pouvait se révéler ce qui n'est jamais tout à fait dit dans l'un, jamais tout à fait dit dans l'autre, mais seulement dans leur fragile intersection.L'un de ces textes appartient tout entier à l'imaginaire : c'est un roman d'aventures, la reconstitution, arbitraire mais minutieuse, d'un fantasme enfantin évoquant une cité régie par l'idéal olympique. L'autre texte est une autobiographie : le récit fragmentaire d'une vie d'enfant pendant la guerre, un récit pauvre d'exploits et de souvenirs, fait de bribes éparses, d'absences, d'oublis, de doutes, d'hypothèses, d'anecdotes maigres. Le récit d'aventures, à côté, a quelque chose de grandiose, ou peut-être de suspect. Car il commence par raconter une histoire et, d'un seul coup, se lance dans une autre : dans cette rupture, cette cassure qui suspend le récit autour d'on ne sait quelle attente, se trouve le lieu initial d'où est sorti ce livre, ces points de suspension auxquels se sont accrochés les fils rompus de l'enfance et la trame de l'écriture."Georges Perec.

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Cahiers Georges Perec Cahiers Georges Perec, n°6 : L'Oeil d'abord... Georges Pérec et la peinture

Résumé éditeur

PrésentationJean-Yves PouillouxSur un « écrit de jeunesse »Georges PerecDéfense de KleeGeorges PerecVoyage en Suisse avec PierreGeorges PerecNotes sur KleePatrizia MolteniFaussaire et réaliste : le premier gaspard de Georges PerecSantino MelePerec et Klee : l’encre et l’aquarelleBernard Magné Saint Jérôme mode d’emploiPierre VilarLa peinture dans les mots : quelques remarques sur l’accrochage des toiles et l’installation du regard dans La Vie mode d’emploiAndrée Chauvin, Hans Hartje, Véronique Larrivé, Ian MonkLe « cahier des charges » d’Un cabinet d’amateurÉlisabeth MartyDe Georges à GiorgioneCatherine BallestroUn cabinet d’amateur ou le « testament artistique » de Georges PerecDominqiue Quélen, jean-Christophe RebejkowUn cabinet d’amateur : le lecteur ébloui Anita MillerPeinture et projet d’anamnèseGeorges Perec « Je ne suis absolument pas critique d’art »Entretien avec Gérard GuyomardLa 101e chambreGuillaume PôPerec et Boltanski, deux interrogations sur la disparitionRéférencesBibliographie des études perecquiennes 1965-1981

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Cahiers Georges Perec Cahiers Georges Perec n°10 : Perec et l'art contemporain

Résumé éditeur

LE LIVRE Une réflexion sur les raisons qui font aujourd'hui de Georges Perec une référence pour l'art contemporain international ; des études sur les conjonctions entre l'ouvre de Perec et l'art contemporain de son temps (Fluxus, l'Hyperréalisme, le Pop Art.) ; des articles sur ce qui rapproche Perec de créateurs plasticiens majeurs de notre temps, par catégories (art du quotidien, art de la rue et de la ville, art infra-ordinaire, genre du " Je me souviens. ", art de la collection ou du classement.), ou approches monographiques (Perec et : Joachim Schmid, Sophie Calle, Thomas Demand, Edouard Levé, Christian Boltanski, Claude Closky, On Kawara, Roman Opalka, Gérard Collin-Thiébaut, Valérie Mréjen.) ; des parallèles entre Perec et des pratiques contemporaines dans les domaines du design, de la bande dessinée, de l'illustration, de la musique. Des entretiens (avec Joachim Schmid, François Morellet, Philippe Cazal) ; des présentations illustrées de travaux en lien avec l'ouvre perecquienne. Différentes bibliographies achèvent le volume. LES AUTEURS Des chercheurs spécialistes de Perec ou d'art contemporain : Maud Assila, Jan Baetens, Philippine Cruse, Cécile de Bary, Lætitia Desanti, Nadine Descendre, Mickaël Ferrier, Laurent Grison, Eléonore Hamaide-Jager, Maryline Heck, Pierre Hyppolite, Jean-Luc Joly (directeur du numéro), Bernard Magné, Sophie Mariani-Rousset, Véronique Montémont, Isabelle Parnot, Catherine Pomparat, Tonia Raus, Christelle Reggiani, Matthieu Rémy, Mireille Ribière, Irène Salas, Ravindranathan Thangam, Diane Watteau ; mais aussi des critiques d'art : Jean-Max Colard, Jean-Pierre Salgas ; des créateurs (écrivain, plasticiens, photographe, cinéaste) : François Bon, Philippe Cazal, Dominique de Liège, Marie-France Dubromel, Elisabeth Girard-Léthier, Pauline Horovitz, François Morellet, Marylin Rolland, Joachim Schmid ; et des étudiants de l'Ecole des Beaux-Arts de Bordeaux.

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Cahiers Georges Perec Cahiers Georges Perec, n°12 : Espèces d'espaces perecquiens

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(Texte provisoire) Georges Perec s'impose aujourd'hui de plus en plus comme un " contemporain capital ", pour reprendre le mot de Malraux à propos de Gide. " Contemporain capital posthume ", dans la mesure où la fortune de son ouvre n'a cessé de croître depuis sa mort prématurée, en 1982. À la suite des numéros 9 (Le Cinématographe), 10 (Perec et l'art contemporain) et 11 (Filiations perecquiennes), qui avaient permis de mesurer le rapport de Perec à diverses pratiques extra-scripturales (cinéma, arts plastiques, musique) ou sa résonance dans l'art et la littérature d'aujourd'hui, le numéro 12 des Cahiers Georges Perec souhaite interroger la fécondité du travail perecquien sur l'espace et la manière dont il innerve actuellement certaines parts de ce que l'on pourrait appeler les sciences et arts de l'espace (géométrie, topologie, géographie, cartographie, architecture, urbanisme, arts de la ville, typographie.) ou y trouve écho. Les spécialistes de l'ouvre de Georges Perec : Alberto BEJARANO, Morgane CADIEU, Danielle CONSTANTIN, Laurence CORBEL, Vincen CORNU, Isabelle DANGY, Florence de CHALONGE, Maxime DECOUT, Raoul DELEMAZURE, Maxime FOISSEAU, Carlos G. GIMENEZ, Éléonore HAMAIDE-JAGER, Jean-Luc JOLY, Mireille KINTZ, Marta MIRAS, Guillemette MOREL JOURNEL, Mireille RIBIERE, Anne ROCHE, Annelies SCHULTE NORDHOLT, Virginie TAHAR, Julio VALENTINO, Julie ZAMORANO. Les écrivains : Michèle AUDIN, Michel BUTOR, Jacques ROUBAUD, Georges PEREC. Un plasticien : Daniel de PAULA. Les étudiants du département d'Arts visuels de la faculté des arts de l'université de Strasbourg ; de l'École nationale supérieure d'architecture de Paris-la-Villette.

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Cahiers Georges Perec Cahiers Georges Perec, n°13 : La disparition

Résumé éditeur

Un hommage à Georges Perec !Georges Perec s'impose aujourd'hui de plus en plus comme un " contemporain capital ", pour reprendre le mot de Malraux à propos de Gide. " Contemporain capital posthume ", dans la mesure où la fortune de son oeuvre n'a cessé de croître depuis sa mort prématurée, en 1982. La Disparition est l'une de ses œuvres les plus emblématiques. Elle marque une prouesse linguistique. Entièrement écrite sans la lettre " e ", ce roman policier impressionne non seulement par la difficulté de sa contrainte mais aussi par ses recherches lexicales. La contrainte donne prétexte à la résurgence d'un vocabulaire original voire inconnu. 13e volume des Cahiers Perec : revue de critique littéraire qui effectue des recherches sur l'œuvre de Perec, ses filiations et ses prolongements. Elle est dirigée par l'association des Amis de Georges Perec dont Jean-Luc Joly est président.