Série A-gruppen Arne Dahl

L’inspecteur Paul Hjelm est de la vieille école. À Stockholm, au milieu des années 1990, il est impulsif, nul en informatique et adepte des coups d’éclat musclés. La police criminelle lui propose pourtant d’intégrer une unité spéciale chargée d’arrêter un tueur qui s’en prend aux magnats suédois de la finance. Étrangement, Hjelm a l’impression de comprendre l’assassin, peut-être même qu’ils se ressemblent…Arne Dahl, né en 1963, est le pseudonyme d’un auteur de romans policiers. Il est également critique et collaborateur de l’Académie suédoise qui décerne le prix Nobel. Il est également l’auteur de Qui sème le sang.« Un livre dont on ne se défera qu’après quelques jours de deuil… » Le Devoir Traduit du suédois par Rémi Cassaigne

Un célèbre critique littéraire suédois a été retrouvé, torturé à mort, à l’aéroport de New York. L’assassin aurait pris sa place dans l’avion pour Stockholm. S’ensuivent deux nouveaux meurtres portant les marques caractéristiques d’un tueur en série américain soupçonné d’être un vétéran du Vietnam, membre d’un commando secret pratiquant ces tortures sur des prisonniers vietcong. Mais la CIA et l’appareil militaire ont toujours nié l’existence de ce commando.L’enquête à péripéties multiples est menée par le « groupe A ». En réalité, le meurtrier est un fou transformé en machine à tuer pour le compte des services secrets américains.Que peut la police suédoise contre un monstre placé sous haute protection ?Arne Dahl, né en 1963, est le pseudonyme d’un auteur et critique travaillant à l’Académie suédoise, qui décerne le prix Nobel. Après Misterioso (le Seuil, 2008), Qui sème le sang est la deuxième enquête du « groupe A ».

Quatre enquêtes débutent ici parallèlement. Une sur le meurtre d’un jeune homme dans un bar lors d’une rixe, en présence d’un gang de criminels de guerre des Balkans reconvertis en Suède dans le trafic de drogue. Une deuxième sur l’assassinat sanglant de trois trafiquants de drogue yougoslaves par cinq assaillants inconnus, membres d’une organisation néo-nazie. Une troisième concerne un truand serbe emprisonné dans le centre de haute sécurité de Kumla tué dans sa cellule par explosion, le jour même où sortait de la même prison un néo-nazi très dangereux. La quatrième file des réseaux pédophiles qui communiquent par Internet. Peu à peu, les différentes enquêtes convergent, le commissaire retraité Hultin est rappelé dans ses fonctions. L’enquête aura-t-elle cette fois une fin heureuse ?Humour et écriture enlevée, au rythme de la course poursuite des personnages à travers la Suède, caractérisent cette enquête-puzzle habile au royaume des ombres.Arne Dahl, né en 1963, est le pseudonyme d’un auteur et critique travaillant à l’Académie suédoise qui décerne le prix Nobel.Traduit du suédois par Rémi Cassaignetraduit du suédois par Rémi Cassaigne

Stockholm : la police fait une découverte macabre dans l’enclos des gloutons au zoo du Skansen. Non loin de là, une fillette est blessée par balle. Huit femmes originaires des pays de l’Est disparaissent d’un camp de réfugiés sans laisser de traces. Dans le métro, un professeur émérite de quatre-vingt-huit ans erre en compagnie de la mort. Sur la voie, un téléphone portable sonne dans une main arrachée.Quand les plaies mal refermées du passé se rouvrent et que l’on se remémore le rôle ambigu de certains pays nordiques pendant la Seconde Guerre mondiale, ces événements apparemment indépendants s’enchaînent par des liens inattendus. Le groupe A du commissaire Jan-Olov Hultin est à l’œuvre. Un de ses membres, le surprenant Finlandais Arto Söderstedt, en vacances au bord de la mer Tyrrhénienne, devra exécuter un plongeon hors norme dans les poubelles de l’Histoire.Quatrième roman de la série, Europa Blues est un thriller à la structure implacable qui tranche dans le vif pour explorer le destin de l’Europe contemporaine.Arne Dahl, né en 1963, est le pseudonyme d’un auteur et critique travaillant à l’Académie suédoise qui décerne le prix Nobel.Traduit du suédois par Rémi Cassaigne