Série A Boy's Own Story Edmund White

A Boy's Own Story Un jeune américain
Résumé éditeur-
Premier volume d'une trilogie autobiographique, qui s'est poursuivie avec La Tendresse sur la peau et La Symphonie des adieux, Un jeune Américain parcourt les années d'adolescence d'Edmund White. Années au cours desquelles il connaît ses premières expériences sexuelles, mais aussi période de la prise de conscience difficile de son homosexualité. Le héros du livre évolue ainsi lentement du déni à l'acceptation. " Edmund White est l'un des prosateurs les plus étonnants de l'Amérique d'aujourd'hui (...), il a accompli une trajectoire remarquable. " Susan Sontag

A Boy's Own Story La Tendresse sur la peau
Résumé éditeur-
" Le second tome de la trilogie, La Tendresse sur la peau, est l'histoire d'une solitude. Celle d'un jeune homosexuel plein de honte et de haine de soi, qui longtemps se crut seul de son espèce, seul avec sa " maladie ", et qui, afin de s'en guérir et de rejoindre la voie de la normalité, celle qui lui permettrait d'écrire sur les sujets importants que sont le couple, l'enfantement ou l'adultère, suivit pendant des années une cure psychanalytique. (...) Émerge le portrait d'un personnage lourdaud, naïf et provincial, souvent comique, qui " monte " à New York, la grande ville avec ses bas-fonds, où, telle Alice au pays des merveilles, il marche de découvertes en déconvenues, enivré par tout ce qui contredit les valeurs familiales, épaté par le vice et la liberté dont il semble témoigner. " Christine Jordis, Le Monde

A Boy's Own Story La Symphonie des adieux
Résumé éditeur-
La Symphonie des adieux est l'histoire d'un homme qui a vu la plupart de ses amis quitter avant lui la scène de sa vie. Le jour où il célèbre le sixième mois anniversaire de la mort de son amant, il effectue le voyage du souvenir qui le ramène vers ses difficultés d'autrefois à devenir écrivain et la découverte du sens de son homosexualité. Sa narration pleine d'esprit, menée sur le ton de la conversation, nous transporte des années soixante jusqu'à nos jours, des scènes érotiques les plus crues dans les back-rooms des clubs new-yorkais jusqu'à des épisodes d'une franche hilarité dans certains salons parisiens, ou encore des moments intenses de vérité familiale dans le Midwest américain. L'incroyable variété des amis et relations qui rencontrent ou accompagnent le narrateur constitue peu à peu le ciment du récit et lui insuffle une force inouïe, emportée par les sentiments vrais que sont l'amitié, l'amour et la perte de l'être aimé.

A Boy's Own Story L'Homme marié
Résumé éditeur-
"C'est un roman au cœur triste et à l'esprit gai, sans stupide jeu de mots. Le cœur est triste puisqu'un homme aime un homme qui va mourir. L'esprit est gai puisque, derrière les sanglots longs des violons, pointe l'entêtement au bonheur, la formidable envie de vivre jusqu'à l'arête fine qui sépare du gouffre. [...] Edmund White, dont on sait que le difficile Nabokov avait salué les débuts, signe son plus beau livre depuis Un jeune Américain. Une œuvre où se regardent et, parfois, s'affrontent des univers parallèles, homos et hétéros, aristos chics et bohème toc, Français imbus et Américains imbuvables, jeunesse dorée et âge d'airain et, bien sûr, la vie mangée par la mort. Edmund White a su éviter le pathos qui plombe tant de récits des années sida. Sa fresque, économe des effets de larmes, réussit souvent à nous faire sourire. Fabrice Gaignault, Elle Traduit de l'américain par Anne Rabinovitch "Domaine étranger" dirigé par Jean-Claude Zylberstein